Exemples divers

6 décembre 1986 - Un jeune manifestant, algérien, est poursuivi par des CRS à moto armés de matraques. Un homme qui habite là rue Monsieur-le-Prince, où se passe la scène, ouvre sa porte à l'étudiant déjà titubant sous les coups et la referme. Un CRS aidé de ses compagnons défonce la porte, matraque l'Algérien à mort, puis matraque l'homme qui lui avait donné refuge.
L'étudiant, Malek Oussekine, de santé délicate, ne participait pas aux manifestations de ses camarades. Il rentrait chez lui. Détail omis par les journaux, il était devenu catholique...

il habitait Meudon, lui aussi ! (Meudon-la-Forêt, exactement)

Krystyna a écrit:

6 décembre 1986 - Un jeune manifestant, algérien, est poursuivi par des CRS à moto armés de matraques. Un homme qui habite là rue Monsieur-le-Prince, où se passe la scène, ouvre sa porte à l'étudiant déjà titubant sous les coups et la referme. Un CRS aidé de ses compagnons défonce la porte, matraque l'Algérien à mort, puis matraque l'homme qui lui avait donné refuge.
L'étudiant, Malek Oussekine, de santé délicate, ne participait pas aux manifestations de ses camarades. Il rentrait chez lui. Détail omis par les journaux, il était devenu catholique...

ils sont en taule ces batards?

Jesus Christ est mon Dieu a écrit:

Krystyna a écrit:

6 décembre 1986 - Un jeune manifestant, algérien, est poursuivi par des CRS à moto armés de matraques. Un homme qui habite là rue Monsieur-le-Prince, où se passe la scène, ouvre sa porte à l'étudiant déjà titubant sous les coups et la referme. Un CRS aidé de ses compagnons défonce la porte, matraque l'Algérien à mort, puis matraque l'homme qui lui avait donné refuge.
L'étudiant, Malek Oussekine, de santé délicate, ne participait pas aux manifestations de ses camarades. Il rentrait chez lui. Détail omis par les journaux, il était devenu catholique...

ils sont en taule ces batards?

Rassure-toi, JCMD, ça ne saurait pas tarder. Prie bien le bon Dieu que ça se fasse bien vite.

Dans les années 80, un chanteur est mort du Sida à l'âge de 23 ans (j'ignore son nom, Franck quelque chose). C'était un métis franco-péruvien. A neuf ans, un homme l'avait dévoyé, lui apprenant le plaisir. Puis, adolescent, il est allé à Paris, a commencé à être connu dans le monde du spectacle, dans un milieu homosexuel. Depusi l'enfance, il aimait Dieu et le cherchait, il voulait l'atteindre à travers ses amours, il recherchait l'Amour à travers ses manifestations humaines.
Il amené cette existence durant quelques années. En 96, il annonce à un ami qu'il a le Sida. Sa maladie s'est prolongée toute une année, il souffrait terriblement. Il est allé d'hôpital en hôpital. Dans un des ces hôpitaux, un médecin lui a dit un jour brutalement : " Vous ne croyez pas que le sida est une punition de ce que vous avez fait..." Franck a répondu : "Non, c'est une grâce."
Il a été soigné dan sl epavillo des lépreux. Les médecins et les infirmières, masqués et gantés, ne l'approchaient qu'"arnachés comme des cosmonautes". Les transfusions, les injections le transformaient en éponge. Tout ce qu'il a pu faire dans le domaine physique, tout ce qu'il appelait la débauche a été balayé par l'amour. La dévotion à la Sainte vierge tenait une place considérable dans sa vie. "Je suis crucifié", disait-il.

Le destin éternel ne se juge JAMAIS à l'aune de ce qu'on voit du destin terrestre et visible...