Pascal Balmand : « Plus deux millions d’élèves font leur rentrée dans l’enseignement catholique »

Pascal Balmand : « Plus deux millions d’élèves font leur rentrée dans l’enseignement catholique »

Publié le 04 septembre 2017



L’enseignement catholique fait aussi sa rentrée scolaire. Les établissements catholiques rouvrent leur porte ce lundi aux deux millions d’élèves.
Pascal Balmand, secrétaire général de l’enseignement catholique depuis 2013 aborde les enjeux et les défis de l’année scolaire 2017-2018 : dialogue culturel et interreligieux, politique de formation initiale et continue, et la réforme du collège et du baccalauréat.






 

Joli discours inoffensif qui n'aborde ni n'efface aucunement l'horrible réalité :

http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Les-entretiens-de-Liberte-politique-Ecole-la-haute-trahison2

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ducation_prioritaire_en_France

Ici, dans le concret, pas mal d'enfants vont dans le privé, catholiques ou pas.

A un collégien qui est revenu de la neige, j'ai demandé comment ça s'était passé : très bien et on a beaucoup discuté le soir.
Je demande "de quoi ?"

Il m'a répondu : "de tout et j'ai appris des trucs qu'on ne parle pas à la maison, comme de Dieu, de Jésus, de Marie, je pensais que c'était des histoires tout ça"...

Violette, cet exemple isolé est certes touchant et témoigne sans doute de ce que peut encore produire aujourd'hui l'enseignement catholique mais la question que je soulevais était celle de ce que cet enseignement allait devenir demain. Car, en tant qu' enseignement sous contrat - donc subsidié par l'Etat - il devra se plier demain comme aujourd'hui  aux exigences des pédagogistes dont vous avez pu prendre connaissance par les liens que j'ai donnés.

Je suis étonné, pour ne pas dire plus, que vous n'ayez pas saisi la gravité de ce qui se passe et de ce qui se prépare. Si un site comme celui-ci n'en mesure pas l'ampleur, alors il n'y a plus grand-chose à faire à part réciter le Notre-Père. C'est probablement ce que je finirai par faire.

Eleison a écrit:

Violette, cet exemple isolé est certes touchant et témoigne sans doute de ce que peut encore produire aujourd'hui l'enseignement catholique mais la question que je soulevais était celle de ce que cet enseignement allait devenir demain. Car, en tant qu' enseignement sous contrat - donc subsidié par l'Etat - il devra se plier demain comme aujourd'hui  aux exigences des pédagogistes dont vous avez pu prendre connaissance par les liens que j'ai donnés.

Je suis étonné, pour ne pas dire plus, que vous n'ayez pas saisi la gravité de ce qui se passe et de ce qui se prépare. Si un site comme celui-ci n'en mesure pas l'ampleur, alors il n'y a plus grand-chose à faire à part réciter le Notre-Père. C'est probablement ce que je finirai par faire.

Bonjour Eleison

J'ai bien compris ce que vous voulez dire, bien que je n'ai pas su ouvrir votre premier lien.

Oui, en France aussi, l'Etat subventionne les établissements privés et ce n'est pas d'aujourd'hui, puisque ça l'était déjà "de mon temps" où je suis allée à St Joseph de Cluny.

Pour ce que j'en sais, jusqu'à présent, les écoles catholiques donnent toujours des cours de religions, mais c'est sûr qu'il n'y a plus la prière à l'arrivée, avant et après la récréation, en début d'après-midi, encore avant et après la récréation et à la sortie.

Violette a écrit : J'ai bien compris ce que vous voulez dire, bien que je n'ai pas su ouvrir votre premier lien.

Je comprends mieux ainsi que votre réaction ait été aussi faible face à cet attentat contre l'enseignement. Je ne puis que vous encourager à essayer d'ouvrir ledit lien de Liberté Politique.

Voici l'adresse générale du site : http://www.libertepolitique.com/

Bonne chance !

Bonsoir Eleison.

Voici également un commentaire qui peut vous intéresser peut-être, venant de :

https://www.laselectiondujour.com/index.php?143477&lsdj=319143



De l’avis général, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer a crevé l’écran en présentant ses réformes sur le plateau de L'Émission politique de France 2 jeudi soir, 15 février.


Pour ceux qui n’ont pu suivre l’émission, Ouest-France la résume en six leçons (accompagnées d’extraits en vidéo) :


1°) Sa prestation a convaincu 71 % des téléspectateurs, droite et gauche confondues -y compris une majorité de sympathisants de « La France insoumise », performance sans précédent.


2°) La réforme du bac, effective en 2021,  a pour objectif non le « bachotage » mais de « permettre de développer des compétences dont on aura besoin dans la vie d’adulte » grâce notamment à « un socle commun d’enseignements dans tous les lycées de France » et à une part de contrôle continu dans le résultat de l’examen.


3°) Les professeurs, de par leur mission, doivent être mis « au centre de la société française », mieux considérés et mieux payés…« à la mesure des moyens ».


4°) Jean-Michel Blanquer se voit ministre de l’Education nationale dans la durée, sans envisager un autre destin politique que celui de mener à bien ses réformes

.
5°) Lui dont trois enfants sont dans l’enseignement public et un dans le privé, appelle à « une laïcité sereine » au sein de l’école en rappelant la mise en service prochaine d’un numéro vert qui permettra de signaler tout dysfonctionnement. 


6°) Enfin, le ministre de l’Éducation nationale veut que l’école « développe l’esprit d’analyse, l’esprit critique » et enseigne « la foi dans le progrès », dans la droite ligne de « l’esprit des Lumières »…ce qui mériterait en soi un vrai débat historique et philosophique !

Violette a écrit:

6°) Enfin, le ministre de l’Éducation nationale veut que l’école « développe l’esprit d’analyse, l’esprit critique » et enseigne « la foi dans le progrès », dans la droite ligne de « l’esprit des Lumières »…ce qui mériterait en soi un vrai débat historique et philosophique !

"La foi dans le progrès " ? Ça mériterait un débat en effet !

Pignon a écrit:

Violette a écrit:

6°) Enfin, le ministre de l’Éducation nationale veut que l’école « développe l’esprit d’analyse, l’esprit critique » et enseigne « la foi dans le progrès », dans la droite ligne de « l’esprit des Lumières »…ce qui mériterait en soi un vrai débat historique et philosophique !

"La foi dans le progrès " ? Ça mériterait un débat en effet  !

Vous ouvrez le fil ?

Violette3 a écrit:

Pignon a écrit:

Violette a écrit:

6°) Enfin, le ministre de l’Éducation nationale veut que l’école « développe l’esprit d’analyse, l’esprit critique » et enseigne « la foi dans le progrès », dans la droite ligne de « l’esprit des Lumières »…ce qui mériterait en soi un vrai débat historique et philosophique !

"La foi dans le progrès " ? Ça mériterait un débat en effet  !

Vous ouvrez le fil ?

Je ne sais pas ... c'est un débat très complexe car j'ai en tête la "théorie" de Theilhard de Chardin...

Allez y!
En tout cas, ce que je sais c'est qu'actuellement, les politicards vont dans le sens contraire au progrès. Exemple quand la non regretté NKM considérait les couches culotes comme de la pollution.
Pour toutes les mères de famille normales (je ne parle pas des dingues) c'est un progrès. Pas pour elle!
A s'arrancher les cheveux de la tête!

Alles y ! Ouvrez le fil!

Selon les "traditionnistes" nous sommes en plein âge de fer, vers la fin.
Selon les "modernes" nous vivons un âge d'or.
Le sujet est intéressant, je compte sur Violette pour l'ouvrir .