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 Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?

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Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty
MessageSujet: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty3/12/2016, 13:05

Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?

Aux Pays-Bas, un homme de 41 ans a été euthanasié pour mettre fin à une longue lutte contre sa dépendance à l'alcoolisme. Un acte rendu possible par la loi néerlandaise, qui pourrait même élargir prochainement les conditions de recours à la fin de vie assistée.


Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Euthanasie





Atlantico : Aux Pays-Bas, un homme de 41 ans a été légalement euthanasié car il était alcoolique et jugeait que la mort était le seul moyen pour lui de vaincre son addiction. Ne peut-on voir dans un tel cas de figure une certaine forme de dérive du principe de la fin de vie légale ?

Carine Brochier : Plusieurs éléments interviennent dans votre question.

Tout d’abord, soulignons le long combat, d’abord caché, de Mark Langedijk, cet homme abîmé par l’alcoolisme, qui a lutté. Le témoignage de son frère, Marcel, mentionne huit ans de descente en enfer et de 21 prises en charges par différentes structures hospitalières ou autres. La souffrance psychique de Mark, qui, selon les dires de ses proches, n’arrivait pas à exprimer ce qui se passait en lui, a dû être immense. On ne pourra le nier.

Or, selon le texte de loi dépénalisant l’euthanasie aux Pays-Bas, une personne majeure peut demander à être euthanasiée si elle subit une souffrance physique ou psychique insupportable et inapaisable, et que toutes les possibilités (maladie incurable) ont pu être envisagées. Maintenant, comme l’ont très justement exprimé récemment plus de 60 spécialistes, psychiatres et psychologues en Belgique, comment être sûr, dans le cas d’une maladie psychique, qu’un déclic ne se fera pas demain ou qu’un événement inattendu, une rencontre, un petit quelque chose, ne changera pas toute la donne, faisant que la personne soudainement commence à revivre ?
Les associations qui accompagnent les personnes alcooliques dans la durée témoignent que cela arrive parfois après dix ans de lutte ! Cela a été l’espoir des parents de cet homme dont on ne peut que saluer le courage.

Un autre aspect lié à l’euthanasie est celui de la liberté de la personne et à sa faculté de choisir la mort sans qu’aucune contrainte n’influence sa décision. Nous connaissons tous autour de nous des personnes fragiles et peut-être dépendantes à la drogue ou à l’alcool. Sont-elles vraiment libres de leurs choix ? La souffrance ne les enferme-t-elle pas dans un carcan qui les pousse aux extrêmes du non-retour ? Quid si un médecin accepte de participer à cet extrême non-retour ? Comment la personne malade et affaiblie pourrait-elle résister ?
Vous voyez, on croyait pouvoir inscrire dans une loi des conditions bien strictes que nous pourrions contrôler de A à Z, et aujourd’hui on réalise que, non seulement on peut difficilement contrôler ce qui est incontrôlable (souffrance insupportable, inapaisable), mais qu’en plus, il serait malvenu de vouloir contrôler parce que la personne souffre et que l’euthanasie est devenue une solution, un "acte de soin" comme un autre, accessible plus ou moins facilement au nom de la toute-puissance de l'autonomie.
Oui, il y a des dérives. Oui, nous nous autorisons à interpréter les termes de la loi. Et c’est l'une des raisons pour lesquelles, il vaut mieux, me semble-t-il, ne pas ouvrir la porte à la pratique de l’euthanasie.

La loi néerlandaise sur l'euthanasie inclut désormais "l'isolement social et la solitude". Alors que l'euthanasie était initialement tournée vers ceux qui souffraient des grandes souffrances incurables, doit-on s'attendre désormais à voir de plus en plus de troubles ou maladies pouvant être légalement "réglés" par l'euthanasie ?


Edith Schippers, ministre de la santé des Pays-Bas, parle en effet de vouloir autoriser dans une nouvelle loi l’euthanasie pour les personnes âgées qui ne sont pas malades, mais qui estiment que leur vie est "accomplie" (Voltooid leven).

Au nom de leur autonomie et de leur faculté à décider de leur propre vie, nos aînés de plus de 75 ans par exemple demanderaient à un "assistant de fin de vie" de provoquer leur mort.
En passant, relevons la contradiction : ces personnes se veulent autonomes, mais demandent qu’on les fasse mourir. On nous dira qu’il vaut mieux cela qu’un suicide… Toutefois, il me semble qu’il y a une troisième voie qui n’est ni le suicide, ni l’euthanasie. Mais c’est une autre question.
Ce débat chez nos voisins du Nord de l’euthanasie pour vie "accomplie" est important et suscite pas mal de questions. Et d’ailleurs, la semaine dernière, Els Van Wijngaarden a publié une thèse doctorale à l’Université d’Utrecht à ce sujet. Elle a suivi plusieurs personnes âgées en demande d’euthanasie pour vie "accomplie" et a répertorié scrupuleusement ce qu’elles exprimaient.
On s’aperçoit que ce n’est pas forcément la solitude de ces personnes âgées qui provoque la demande d’en finir, mais surtout la façon dont elles ont vécu leur vie, l’ayant maîtrisée, dans un cadre matériel confortable, ne voulant dépendre de personne.

Voyant leur corps et leurs facultés s’affaiblir, il leur est inconcevable de changer de mode de fonctionnement. Elles se ferment sur elles-mêmes, refusant qu’on les aide, refusant de regarder vers leur famille et d’en apprécier encore les petites joies, ne comprenant pas que, même dépendantes et fragiles, elles apportent un autre sens aux relations avec leurs proches. Et pourtant, combien d’entre nous se sentent plus humains à côtoyer une grand-mère qui faiblit et a besoin de notre aide ? Se pourrait-il que la faiblesse et la fragilité nous humanise ? Pourrions-nous oser un autre type de lien et d’échanges avec nos parents au moment où la force et l‘apparence ne les dissimulent plus à nos cœurs ?
Ce qui me semble nouveau dans la thèse d’Els Van Wijngaarden, c’est que ces personnes âgées n’ont tout simplement plus envie d’être "en lien" avec leurs proches. Ce n’est donc pas uniquement un problème de solitude comme vous le mentionnez mais de refus d’entrer en relation. Cela fait vraiment penser à une forme d’autisme !
Et vous savez, aux Pays-Bas comme en Belgique, l’autisme entre dans la catégorie des maladies pour lesquelles certains médecins acceptent de provoquer la mort de leur patient.


Lire la suite : http://www.atlantico.fr/decryptage/pere-famille-41-ans-euthanasie-demande-parce-qu-alcoolique-jusqu-ou-iront-pays-bas-dans-application-legislation-carine-brochier-2894807.html
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MessageSujet: Re: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty3/12/2016, 14:09

Ils ne croient pas qu'on puisse guérir de l'alcoolisme ?

Les Pays-Bas, pays de fous !!!
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L'assoiffé

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MessageSujet: Re: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty3/12/2016, 17:53

«Jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?»

Et bien, jusqu’où toute cette logique du bien être à tout prix peut nous mener...

Jusqu'à ce que la «liberté individuelle», nouvel idole de nos sociétés, passe devant le bien collectif et trouve encore des entraves à sa toute puissance.

Les prochaines victimes seront toutes personnes qui souffrent:

- les dépressifs chroniques;
- les malades;
- les handicapés;
- les pauvres;
- les malheureux;

Puisque la mort les «libèreront» de ce fardeau, les biens portants les convaincront que leurs souffrances cesseront dans la mort, puisque que vaut une vie dans la souffrance?  Que donne un malade à la société? Que vaut la vie d'un malade?

C'est une machine tellement subtile que personne ne réagit.

L'eugénisme est maintenant à nos porte et la rectitude intellectuelle ambiante va nous faire passer ça pour du grand humanisme.

C'est comme ça.

Mr.Red

_________________
« A force de tout voir l’on finit par tout supporter…A force de tout supporter l’on finit par tout tolérer… A force de tout tolérer l’on finit par tout accepter… A force de tout accepter l’on finit par tout approuver ! » [Saint Augustin]

«Penser est difficile, c'est pourquoi la plupart se font juges.» CGJ, sûrement inspiré pas NSJC et la femme adultère!
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MessageSujet: Re: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty3/12/2016, 18:36

Voici l'explication :

« Inferno », le nouveau roman de Dan Brown : « un manifeste anticatholique de la culture de mort »

Outre la phobie de l’Eglise, le sociologue italien Massimo Introvigne y relève des appels répétés à l’avortement, la stérilisation forcée et l’euthanasie.

Le roman, explique le sociologue, part de l’idée –acceptée par tous les personnages du roman- que la croissance économique s’apprête à anéantir l’humanité. Une autre scientifique raconte à Robert Langdon, que « la fin de notre espèce est aux portes » et qu’elle ne sera causée ni par le feu, ni par le souffre, ni par l’apocalypse ou une guerre nucléaire … mais par une « attaque » due à la surpopulation.

« Et pour Dan Brown – ajoute Massimo Introvigne – l’Eglise catholique est la grande responsable de ce « péché » universel. Elle s’oppose à la stérilisation de masse – dont le virus évoqué dans le roman est une évidente métaphore – à l’avortement, la contraception, l’euthanasie ». « Il est paradoxal, commente le sociologue, que Dan Brown relance de vieilles considérations et exagérations sur la surpopulation, qui s’apprêterait à détruire le monde juste au moment où une bonne partie de la terre souffre exactement du contraire.

http://fr.aleteia.org/2013/05/23/inferno-le-nouveau-roman-de-dan-brown-un-manifeste-anticatholique-de-la-culture-de-mort/
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MessageSujet: Re: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty4/12/2016, 09:29

[quote="Thy Kingdom come"]

Il avait le vin mauvais...
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MessageSujet: Re: Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ?   Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Empty5/12/2016, 21:33

Philip Nitschke lance une campagne pour l’euthanasie sans conditions

Un père de famille de 41 ans euthanasié à sa demande parce qu’alcoolique : jusqu’où iront les Pays-Bas dans l’application de leur législation ? Philip-Nitschke-campagne-euthanasie-sans-conditions-e1480947611572


C’est l’aboutissement logique d’une tendance née avec le nouveau siècle : celle de la légalisation de l’euthanasie. Jusqu’ici, tous les pays qui ont fait le pas ont soumis l’accès à la « mort choisie » à des conditions strictes au départ, et qu’on a vu s’élargir au cours des ans. Désormais, le militant pro-euthanasie Philip Nitschke, fondateur de l’association Exit International, active dans le monde entier, ne se cache plus : il vient de lancer « Exit Action », pour faire campagne dans le monde entier pour l’euthanasie sans conditions ni restrictions, fondée uniquement sur le libre choix des candidats à la mort dite « douce ».
 
Exit Action adoptera une « position pro-euthanasie militante » en vue de coordonner les stratégies d’action agressives visant à imposer les changements législatifs. Il s’agit d’aller plus loin encore que ne le fait la « maison mère », Exit International, qui organise déjà des ateliers d’informations et distribue des informations pratiques sur la manière d’obtenir des drogues euthanasiques.
 
Philip Nitschke, militant d’un droit absolu à l’euthanasie
 
Avec le nouveau dispositif, Philip Nitschke veut faire admettre que l’euthanasie ne soit plus réservée aux malades en phase terminale ou souffrant atrocement. « Exit Action est critique à l’égard du “modèle médical” qui voit l’euthanasie volontaire comme un privilège concédé aux très malades par la profession médicale », a fait savoir la nouvelle organisation.
 
« Exit Action estime qu’une mort paisible, et l’accès aux meilleurs drogues euthanasiques, constitue un droit pour tout patient capable d’exprimer sa volonté, indépendamment de la maladie ou d’une permission concédée par les professionnels de la médecine », précise-t-elle.
 
C’est la raison pour laquelle les membres d’Exit Action, comme l’a indiqué Nitschke, vont sans doute mettre en ligne un « club d’acheteurs » de drogues euthanasiques quelle que soit la législation de leurs pays d’origine.
 
“Exit Action” : une campagne pour l’euthanasie sans conditions
 
Une telle initiative constituerait un pas de plus dans la transgression délibérée de la loi – et du cinquième commandement – selon une logique qui a toujours été celle d’Exit International, qui a fait l’objet de nombreuses enquêtes et perquisitions dans le pays d’où Nitschke et son association sont originaires : l’Australie. Pays qui vient de rejeter une proposition de légalisation de l’euthanasie. Nitschke lui-même a été rayé de l’Ordre des médecins en Australie et il vit désormais aux Pays-Bas, pays aujourd’hui le plus laxiste en matière d’euthanasie et de suicide assisté.
 
Il en va pour l’euthanasie comme de l’avortement : on met d’abord en avant des cas limites, puis peu à peu, ce qui était présenté comme une exception devient de plus en plus accessible pour des motifs de plus en plus ténus : pour l’avortement, on est arrivé en France au stade où il est qualifié de « droit fondamental », tandis qu’au Royaume-Uni la pression se fait forte pour qu’il ne soit plus considéré comme un cas à part, mais comme une procédure médicale aussi banale que n’importe quelle autre.
 
Philip Nitschke dénonce le militantisme des « cas limites »
 
« L’approche générale, pendant des années, a été d’obtenir que des gens très malades racontent leurs souffrances au public et aux responsables politiques, dans l’espoir que ces derniers puissent avoir pitié et changent la loi », explique Philip Nitschke. Il veut explicitement en finir avec cela pour que la mort choisie devienne un droit comme un autre pour tout adulte « compétent ».
 
Cet état d’esprit gagne déjà les Pays-Bas où l’idée de l’euthanasie pour ceux qui sont « fatigués de vivre » a fait suffisamment de chemin pour qu’elle fasse l’objet depuis quelques mois d’un projet de loi ministériel, fût-ce avec de soi-disant garde-fous comme le double accord médical et l’enquête pour vérifier que le moriturus ne soit pas l’objet de pressions familiales visant à hâter son départ.
 
L’accès généralisé à l’euthanasie réclamé par Philip Nitschke, s’il repose sur l’idée que chacun doit pouvoir disposer chez soi d’une dose létale ou puisse l’obtenir aisément, va certes encore plus loin. Mais quoi qu’il en soit, on s’oriente vers des lois qui garantiront le droit à l’euthanasie, avec à la clef, dans un avenir qu’il faut espérer point trop proche, le rejet des objections de conscience des médecins qui ne veulent pas devenir des tueurs.
 
Anne Dolhein

http://reinformation.tv/philip-nitschke-campagne-euthanasie-sans-conditions-dolhein-63167-2/
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Ça a le mérite d'être clair et de ne pas passer par des moyens détournés.

La liberté individuelle dans toute sa splendeur, au détriment du bien commun.

Par ici les abus...

Il n'y aura aucune limite à cette marche mortifère.

Millions de morts en vue...

siffler

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