| | La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… | |
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Invité Invité
| Sujet: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Sam 13 Juin - 22:40 | |
| http://www.medias-presse.info/la-blanche-qui-voulait-etre-noire-apres-la-question-transgenre-voici-le-transracialisme/33203 L’information a d’abord provoqué une secousse parmi les organisations antiracistes américaines et les milieux activistes noirs : Rachel Dolezal, leader de l’antenne de Washington de la NAACP, National Association for the Advancement of Colored People («association nationale pour la promotion des personnes de couleur»), qui compta parmi ses membres un certain Martin Luther King, a fait croire pendant plusieurs années qu’elle était afro-américaine alors qu’elle était totalement blanche, née de parents blancs ! Des photos fournies à la presse par ses parents, Larry et Ruthanne, d’ascendance tchèque, suédoise et allemande, ont créé la stupéfaction. La mère de Rachel a raconté au magazine The Spokesman Review que sa fille a commencé à «se déguiser» entre 2006 et 2007, après que ses parents ont adopté quatre enfants afro-américains : « C’est très triste que Rachel n’ait pas été juste elle-même. L’efficacité [de son travail] dans les causes de la communauté afro-américaine aurait été beaucoup plus viable, et elle aurait été plus efficace si elle avait juste été honnête avec tout le monde.» Son profil Linkedin, signale que Rachel Dolezal donne des cours au département d’études africaines de l’Eastern Washington University et est membre d’une commission municipale sur la police. Et Rachel Dolezal continue, contre toute évidence, à prétendre être une afro-américaine… Ce déni de la réalité a provoqué aux Etats-Unis un nouveau débat. Après les transgenres, qui nient leur réalité biologique et anatomique, certains voudraient obtenir la reconnaissance des transraces, personnes qui nient leur réalité raciale et veulent appartenir à une autre race !Il s’agit bien d’un aboutissement logique de la théorie du genre qui prétend nier le réel. Dans un proche avenir, il y aura certainement place pour ceux qui prétendront être un poisson rouge ou un éléphant rose. Et il se trouvera quelques « intellectuels » pour clamer que ce serait brimer leur liberté que de les empêcher d’obtenir la reconnaissance sociale de ce choix.Comment appelle-t-on quelqu'un qui dénonce comme immoral ceux qui se prennent pour des poissons rouges ? Un Carassius auratusophobe, passible de peine de mort en 2050 !
Dernière édition par Philippe B. le Sam 13 Juin - 22:47, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Sam 13 Juin - 22:43 | |
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| | | caesor
Messages : 988 Inscription : 29/08/2009
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Lun 15 Juin - 22:40 | |
| - Philippe B. a écrit:
Il s’agit bien d’un aboutissement logique de la théorie du genre qui prétend nier le réel. Dans un proche avenir, il y aura certainement place pour ceux qui prétendront être un poisson rouge ou un éléphant rose. Et il se trouvera quelques « intellectuels » pour clamer que ce serait brimer leur liberté que de les empêcher d’obtenir la reconnaissance sociale de ce choix.
Comment appelle-t-on quelqu'un qui dénonce comme immoral ceux qui se prennent pour des poissons rouges ? Un Carassius auratusophobe, passible de peine de mort en 2050 ! votre post m'a apporté la lumiere : j'adore me promener sur les routes de france, et boire du digestif alcoolisé, mais grace à vous je sais pourquoi, En fait, je suis une renault diesel fonctionnant à l'ethanol. Je comprends mieux aussi pourquoi mon voisin est de couleur bleu et se met des fleurs sur la tête : Lui, c'est un vase en bleu de sevre. Il me l'avait dit, mais je devais avoir mon ordinateur de bord un peu en rade. il dit toujours, "je suis vaseux aujourd'hui" et je n'avais pas compris. J'espere que mon attitude de cheval vapeur dans un magasin de porcelaine ne l'a pas ébréché. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Mar 16 Juin - 6:48 | |
| Maintenant, elle refuse de s'expliquer : sur http://www.lepoint.fr/monde/la-militante-blanche-qui-ne-faisait-passer-pour-noire-refuse-de-s-expliquer-15-06-2015-1936740_24.php - Le point a écrit:
- La militante "noire", figure locale de la lutte pour les droits des Noirs à Spokane (État de Washington) et soupçonnée d'avoir menti sur ses origines en étant en fait blanche, a démissionné ce lundi de la direction de son organisation, sans néanmoins donner d'explication. Pour sa première réaction, très attendue, depuis qu'elle est au centre de la polémique, Rachel Dolezal, 37 ans, a annoncé sa démission de la présidence de l'organisation de défense des droits des Noirs NAACP de Spokane, dans une longue lettre publiée sur la page Facebook du groupe.
La militante, qui affirme prendre sa décision "dans l'intérêt de la NAACP", a indiqué passer la main à son vice-président "avec une totale fidélité à la cause de la justice raciale et de la NAACP". "Au regard de la tempête actuelle, une séparation entre affaires familiales et organisationnelles est dans le meilleur intérêt de la NAACP", a ajouté l'ex-présidente, qui détaille à l'envi, avec un langage très militant, son engagement pour la cause noire et les "nombreux problèmes auxquels nous faisons face actuellement".
Le mensonge durait depuis des années
Elle n'a en revanche fait aucune allusion aux révélations sur son identité réelle si ce n'est pour évoquer, de manière peu claire, un "débat qui s'est focalisé, de manière inattendue et internationalement, sur mon identité personnelle dans un contexte de définition de race et d'origine ethnique". "Le mouvement est plus grand qu'un seul moment dans le temps ou que l'histoire d'une seule personne", a-t-elle encore écrit.
Rachel Dolezal est depuis la fin de la semaine dernière dans le collimateur des autorités et des médias après la révélation, par ses propres parents biologiques, de ses vraies origines blanches. Mais elle a fait carrière en mentant apparemment depuis des années sur sa couleur de peau et en se faisant passer pour noire, pour une raison encore inconnue. Outre la présidence locale de la NAACP, la jeune femme occupe depuis un an un poste de médiateur indépendant pour la police de la ville de Spokane dont elle ne fait pas mention dans sa lettre.
La "risée de la nation"
La ville de Spokane n'avait pas commenté lundi cette démission mais avait fait savoir jeudi dernier "prendre très au sérieux les inquiétudes" concernant sa médiatrice de la police et enquêter pour voir si les règlements de la ville avaient été enfreints. Pour occuper ce poste, elle avait en effet rempli un formulaire de la ville en indiquant être en partie noire, blanche et de sang indien, ce qui serait donc un mensonge que ni l'opinion publique, ni les autorités ne tolèrent aux États-Unis. La militante avait reçu le soutien de la NAACP au niveau national, qui n'avait pas réagi lundi à l'annonce de cette démission, mais était sur la sellette au niveau local, avec pétitions et une manifestation prévue. Un membre de son chapitre l'avait accusée d'avoir fait de ce groupe "la risée de la nation".
Les soupçons ont éclaté au grand jour après que les propres parents - blancs - de la jeune femme, originaires du Montana (Ouest) et clairement identifiés sur son certificat de naissance, eurent affirmé que leur fille biologique était blanche, photos d'enfance à l'appui. Dans de multiples images publiées dans les médias, on y voit une adolescente blonde et à la peau pâle, avec des tâches de rousseur, et toujours blonde le jour de son mariage à un homme noir, dont elle a ensuite divorcé. À ses côtés se trouvaient alors quatre jeunes enfants noirs adoptés par ses parents.
Des photos ou films récents de Mme Dolezal lors de réunions ou d'entretiens la montrent avec un casque de cheveux crépus et la peau couleur caramel. Titulaire d'un master en arts de la Howard University, université noire historique de la capitale fédérale Washington, Rachel Dolezal enseigne également les études africaines à temps partiel à l'Eastern Washington University. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Mar 16 Juin - 7:06 | |
| Michael Jackson avait fait l'inverse. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Mar 16 Juin - 12:46 | |
| Dans son cas, n'était-ce pas dû à une maladie de peau ? |
| | | Scrogneugneu
Messages : 3324 Inscription : 25/10/2011
| Sujet: Re: La blanche qui voulait être noire : après la question transgenre, voici le transracialisme… Mar 16 Juin - 12:57 | |
| Michael Jackson a toujours affirmé qu'il ne se faisait pas blanchir la peau, et qu'il avait une maladie de peau type "vitiligo".
Je ne remets pas en cause sa bonne foi sur le fait qu'il avait cette maladie, qui est assez disgracieuse pour les personnes qui sont touchées, surtout sur les mains et le visage, mais il est clair que dans le cas de Michael Jackson ça ne suffit pas à expliquer son blanchiment homogène durant les années 80, ni la disparition de son nez.
Quant à cette femme, pour moi, rien à voir avec un déni de "racialité", il s'agit d'une escroc, qui inventait ses aggressions racistes, et qui par conséquent a toute sa place dans les mouvements dits "antiracistes" qui sont une escroquerie. | |
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