| | Chimères et horreurs génétiques ? | |
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+2Arnaud Dumouch Jean-Yves Tarrade 6 participants | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 07:10 | |
| Des équipes britanniques vont créer des embryons mêlant l'humain à l'animal Dans son édition datée du jeudi 5 octobre, le quotidien britannique The Guardian révèle que trois équipes britanniques de biologistes de renom s'apprêtent à créer, via la technique du clonage, des embryons chimériques. Ceux-ci seraient obtenus à partir d'un noyau de cellule humaine placé au sein d'un ovocyte de lapine ou de vache, préalablement énucléé. De tels embryons seraient dotés d'un matériel génétique pour l'essentiel humain (celui présent dans le noyau de la cellule) associé à un soupçon d'ADN animal, présent dans les mitochondries du cytoplasme de l'ovocyte. La demande officielle pour mener ce travail expérimental a été déposée auprès de la Haute Autorité britannique en charge des activités d'assistance médicale à la procréation et à la recherche en embryologie (HFEA), qui n'y verrait pas d'opposition de principe. En effet, la Grande-Bretagne a autorisé en 2004 la création d'embryons humains à de seules fins scientifiques. Les laboratoires souhaitent notamment, à partir de ces embryons chimériques, étudier le devenir de lignées de cellules souches porteuses d'anomalies génétiques responsables d'affections neurodégénératives.Fabriquer de tels embryons n'a rien d'irréalisable. En 2003, une équipe chinoise avait annoncé, dans la revue Cell Research, être parvenue à créer une chimère embryonnaire "homme-lapin" dont elle avait obtenu des lignées de cellules souches semblant perdre progressivement leurs caractéristiques animales. Cinq ans auparavant, les chercheurs de la société américaine Advanced Cell Technology affirmaient avoir réussi à implanter le noyau d'une cellule humaine adulte dans un ovule de vache préalablement vidé de son noyau (Le Monde du 14 novembre 1998). Les responsables de cette firme reconnaissaient que de telles expériences soulevaient de sérieuses questions morales, mais ils estimaient, en substance, que les bénéfices scientifiques et médicaux attendus étaient supérieurs aux risques encourus, et notamment au fait que l'on pourrait créer des êtres vivants pour partie humains, pour partie animaux.En France, la loi de bioéthique du 6 août 2004 prohibe la création par clonage d'embryons humains. La question est de savoir si, dans ce cas précis, ces embryons chimériques doivent être qualifiés "d'humains". L'approche envisagée par les équipes britanniques "pourrait a priori résoudre certains problèmes éthiques liés au clonage à visée thérapeutique, explique le professeur Jean-Claude Ameisen, président du comité d'éthique de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle éviterait notamment le recours au don d'ovocytes qui peut présenter un risque pour la santé de la femme. Mais pour les personnes qui refusent la création d'un embryon humain à seule fin de destruction pour la recherche, elle rajoute un problème éthique : celle du statut, à la fois humain et animal, de tels embryons."Jean-Yves Nau (LeMonde) Monstrueux! |
| | | Jean-Yves Tarrade
Messages : 3598 Inscription : 15/03/2006
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 07:14 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 07:25 | |
| Témoignage d’un avortement par Nancy Jo Mann - Après que le liquide amniotique ait été retiré, il m’injecta 200cc de solution saline très concentrée (Technique des nazis. Le bébé est brûlé comme au napalm).
A partir de ce moment, ce fut terrible. Mon bébé commença à se débattre. C’était comme un match de boxe. Elle souffrait (c’était une fille). La solution saline brûlait sa peau, ses yeux, sa gorge. Cela l’étouffait, la rendait malade. Elle était à l’agonie, essayant de s’échapper... Pour diverses raisons, je n’avais jamais réalisé qu’avec un avortement, elle allait mourir. Je ne voulais pas que mon bébé meure. Je voulais simplement me débarrasser de mon "problème".
Mais c’était trop tard pour revenir en arrière. Il n’y avait plus moyen de la sauver.
Alors je lui ai parlé. J’ai essayé de la réconforter. J’ai essayé d’atténuer sa douleur. Je lui ai dit que je ne voulais pas lui faire cela, mais que c’était trop tard pour arrêter. Je ne voulais pas qu’elle meure. Je l’ai suppliée de ne pas mourir. Je lui ai dit que j’étais désolée, qu’elle me pardonne, que j’avais tort, que je ne voulais pas la tuer. Pendant 2 heures, je pouvais sentir sa lutte à l’intérieur de moi. Puis, aussi soudainement que cela avait commencé, elle s’est arrêtée. Encore aujourd’hui, je me souviens de son tout dernier coup sur mon côté gauche. Elle n’avait plus de force. Elle mourut épuisée.En dépit de ma culpabilité, j’étais soulagée que sa douleur ait finalement cessé. Mais je n’ai plus jamais été la même. L’avortement n’avait pas seulement tué ma fille. Il avait tué une partie de moi. Avant que l’aiguille ne traverse mon abdomen, j’avais une certaine estime pour moi-même. Mais quand l’enfant que j’avais abandonnée soudainement commença sa lutte en moi, j’ai commencé à me haïr moi-même. Il en a été ainsi rapidement. Toute notion d’estime de moi-même, toute valeur que j’avais respectée, tout espoir que j’avais toujours gardé. tout était anéanti par le poison de ce seul acte inutile. Tout souvenir de joie était maintenant souillé par l’odeur de la mort. Il n’y avait aucun moyen de l’arrêter Il n’y avait aucun moyen de tout remettre comme avant. Je n’avais plus aucun contrôle, aucun choix. J’étais sans puissance, faible. J’étais une meurtrière. Un petit moment après que mon bébé ait arrêté de bouger, ils m’ont fait une injection pour stimuler le travail. Pendant 12 h, toute la nuit, j’étais en travail. Lorsque finalement j’ai accouché, les infirmières n’étaient pas dans la pièce. J’ai accouché ma fille moi-même à 5h30 le matin suivant. Après lui avoir donné naissance, je l’ai prise dans mes mains. Je l’ai regardée de haut en bas. Elle avait une tête avec des cheveux, ses yeux étaient ouverts. J’ai regardé ses petits pieds et mains. Ses doigts avaient même des ongles et des empreintes. Tout était parfait. Elle n’était pas un "fœtus". Elle n’était pas le "produit de la conception". Elle était un petit être humain. Elle était ma fille. Déformée par l’agonie. Silencieuse et immobile. Morte. Cela m’a semblé duré 10 mn ou plus, bien que cela n’ait peut-être duré que 30 s. Les infirmières sont venues et m’ont arraché ma fille des mains et l’ont jetée -littéralement jetée- dans une cuvette et l’ont emmenée"... Pour ajouter à la douleur, après que ma fille ait été emmenée, ils ont amené une autre femme dans la chambre pour finir son travail. Mais cette femme n’avait pas un avortement. Non, elle a eu un beau petit garçon, en bonne santé. Aucun mot ne peut dire combien cela me fut pénible. Je suis sortie de l’hôpital 8 jours après l’accouchement. Le compte-rendu officiel rempli par mon avorteur déclarait que le procédé s’était effectué ’sans complications’. Trois jours plus tard j’ai recommencé d’avoir ce que je ressentais comme les douleurs du travail, et j’ai perdu un morceau de placenta presque de la taille de ma main... Bientôt par la suite, j’ai choisi d’avoir une ligature des trompes. Je ne pouvais vivre avec l’idée que je pourrais peut-être tuer encore. C’était trop dévastateur... Mon corps qui avait le pouvoir de créer la vie était trop facilement un fantôme de mort. J’ai commencé à être tourmentée par des pensées de mort. Je fantasmais au sujet de la manière dont je mourrais. Mon bébé avait lutté pendant deux heures. J’ai essayé de m’imaginer moi-même en train de mourir d’une mort similaire... Quatre mois après mon avortement, les pertes de sang et l’infection continuaient. Trop honteuse pour aller chez mon propre gynécologue-obstétricien, je suis retournée vers le Dr. Fong et il a fait un D. et C. pour nettoyer l’utérus. Il a sectionné le col et a laissé ce qu’il y avait en moi. Trois semaines plus tard j’étais gravement surinfectée. Sept mois plus tard, à l’âge de 22 ans, j’ai été contrainte de subir une hystérectomie totale - tout cela à cause de cet avortement légal "sûr et simple". A cette époque, je n’étais plus préoccupée de savoir si je vivais ou mourais encore... Je haïssais le monde au moins autant que je me haïssais moi-même. (9 :XVI-XIX) Extrait de "When does life begin?" - John ANKERBERG ET John WELDON Nancy JO MAN est la fondatrice de "Women Exploited By Abortion" (WEBA) Publié sur le site de Chrétiens Pour la Vérité. |
| | | Arnaud Dumouch
Messages : 93387 Inscription : 19/05/2005
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 12:13 | |
| Ce sont des crimes contre l'humanité. _________________ Arnaud
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| | | jo zecat Invité
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 12:40 | |
| C'est la pleine-lune aujourd'hui : la nuit des loups garous ! |
| | | spidle33
Messages : 4540 Inscription : 24/03/2006
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 14:25 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 22:01 | |
| Quand j'affirme qu'aucune femme - pas une seule! à moins de ne plus avoir toute sa raison - ne désire, en son for intérieur, que cette vie qu'elle porte et aide à croître (sa propre chair!), soit anéantie...!
La femme est la vie et l'amour par excellence (Eve : la mère de la vie), c'est sa vocation de la donner. On peut donc dénoncer, à juste raison, ces sociétés qui incitent les femmes à avorter : sous des prétextes de "confort", de "liberté" (!), etc. Tentations perverses... Dieu est la Vie : tout au long de la Bible, Il favorise la venue de la vie, et il la protège ; dans l'A.T., combien de femmes stériles reçoivent la vie en leur sein? combien de femmes et d'hommes justes choisissent la vie - en dépit des épreuves - et sont bénis de Dieu? |
| | | Louis
Messages : 6315 Inscription : 19/05/2005
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 22:06 | |
| Je ne crois pas à ce témoignage. Il a été créé de toute pièce, vu l'auteur on devine dans quel but! | |
| | | Jesus Christ est mon Dieu
Messages : 5705 Inscription : 25/04/2006
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 8/10/2006, 22:08 | |
| c'est sans doute ma "jeunesse" et autre"intolerance" qui parle mais.. ces gens"nazillons" méritent la mort. bon je vais réduire la peine à la prison à perpetuitée.. _________________ Rome a perdu La Foi!
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 9/10/2006, 13:39 | |
| Cher Louis, Quand bien même ce témoignage serait la synthèse de plusieurs expériences, il n'en demeure pas moins vrai : infections post-avortement, détresse extrême, envie de mourir, dépression, dégoût de soi-même et de la vie... tout cela fait partie des conséquences de l'avortement. |
| | | lagaillette
Messages : 4121 Inscription : 26/07/2005
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 9/10/2006, 16:04 | |
| - Louis a écrit:
- Je ne crois pas à ce témoignage. Il a été créé de toute pièce, vu l'auteur on devine dans quel but!
Je crois que tu as raison, Louis. Je n'ai jamais entendu dire que l'IVG se pratiquait de cette façon ; et le rapprochement avec les méthodes nazies en dit long sur les intentions de cette « Nancy Jo Mann » Et que vient faire cette histoire ici alors qu'il est question " des équipes britanniques vont créer des embryons mêlant l'humain à l'animal" ? | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? 9/10/2006, 20:25 | |
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| Sujet: Re: Chimères et horreurs génétiques ? | |
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