Chers amis,
Il y a maintenant 4 ans que je donnais à ma vie un nouveau tournant en me mettant à l'étude de la philosophie. Depuis, j'ai fait des immenses progrès. Initialement, j'étudiais le thomisme et j'étais même un genre de thomiste. À partir de la fin 2002 et durant 2003, j'ai toutefois été sévèrement éprouvé par la confrontation de mes croyances à la science. Je voyais alors la science négativement, comme une «casseuse de party». Les données nécessairement matérialistes de la science me troublaient profondément. 2003 était une année anti-scientifique à oublier.
2004 vit un changement de cette attitude. Je devins plus critique envers le thomisme jusqu'à le rejeter et j'accueillis la science avec plus d'enthousiasme. Vers la fin de l'année, la science avait même la primauté sur la philosophie.
Début 2005, je revins quelque peu à la philosophie, indienne plus précisément. Puis je me tournai brièvement vers la biologie, jusqu'à ce que mes espoirs de percer en sciences naturelles s'effondrent. Été 2005, j'ai expérimenté dans divers domaines. Mais je me concentrais surtout sur la philosophie de la religion anglo-saxonne.; Automne 2005, j'étais inscrit en sciences des religions. Je m'intéressais alors aux religions, mais je ne savais pas dans quelle perspective les étudier.
Aujourd'hui je suis toujours en sciences des religions, mais j'en ai marre. J'ai juste hâte d'obtenir mon satané diplôme. Côté lecture, la situation est comparable à la fin 2004: primauté des sciences sur la philosophie.
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Moi, j'aime pas les religions dégénérées.
Le Schtroumpf grognon