Entre deux maux .

Citation :

la position de l'Eglise qui JAMAIS N'ACCUSE LES MERES.

Arnaud

Alors qui l ‘Eglise accuse-t-elle ?
Ramenons l’accusations au domaine des causes .A quelles causes l ‘Eglise impute-t -elle les faits répréhensibles ?
Si c’est à la loi Weil avouons que son abrogation remettrait les mères dans une situation analogue en pire puisqu illégale.

Les avis les plus communs extérieurs à l église reconnaissent un dignité à l ‘embryon . Ceux qui les émettent médiatiquement ( médecins réputés ,membres de commissions d ‘éthique par exemple ) ne voient pas en l’ embryon un paquet de cellule .
Il y a donc un problème éthique .

Si on tranche comme vous le faites pour le respect quasi absolu (remarquez le quasi parce que vous émettez des réserves ) on n ‘évite pas un mal , le mal à vivre pour la mère et pour l’enfant . On choisit donc entre deux maux .

Je regrette d’avoir à vous le rappeler mais les choix éthiques sont pour la plupart des choix entre deux maux .
Vous ne volez pas, certes , vous en faites bénéficier autrui mais c’est aussi à votre désavantage .Vous refuser de tuer , certes, mais en cas d’ agression armée c’est à votre désavantage .Vous pouvez estimer qu ‘en fin de compte c’est un bien pour vous que la morale existe et soit pratiquée et ce parce que la société est plus policée . C’est aussi le raisonnement de ceux qui ont préférer légaliser l’ avortement plutôt que de le voir exister clandestinement .

Je remarque que quand vous émettez des réserves( thérapeutiques ) dans le cas de l’avortement , vous avez un pied dans la logique du choix entre deux maux et ce exactement de la même manière que les gens que vous critiquez .

De toutes façons, bientôt, le problème ne se posera plus, puisqu'une civilisation qui croît en Dieu, va tout conquérir simplement par son taux de natalité. Bientôt la fin de tous ces vains discours.

Alexandre

Alexandre a écrit:

De toutes façons, bientôt, le problème ne se posera plus, puisqu'une civilisation qui croît en Dieu, va tout conquérir simplement par son taux de natalité. Bientôt la fin de tous ces vains discours.

Alexandre

Voilà quelque temps que cette réflexion me trotte aussi ds la tête, que ce soit au sujet de l'avortement comme sur d'autres!

polaire a écrit:

on n ‘évite pas un mal , le mal à vivre pour la mère et pour l’enfant .

La vie source d'un mal. C'est plutôt cathare comme position : Vivement la mort qui libère les âmes.

Citation :

va tout conquérir simplement par son taux de natalité.

Si la critique acerbe de la loi Weil est le cache misère d’une politique nataliste escomptée il faut le dire clairement .
On évitera tout simplement la difficile question éthique .
Finalement la question éthique c’est du flan autant parler un déséquilibre démographique entre des populations d origine ethniques et culturelle différente ce qui est un doux euphémisme pour des convictions racialistes
.
L’idée de race serait elle abandonnée le résultats serait le même en terme de ségrégation/exclusion , renferment dans l’endogamie et fossilisation dans la tradition .Le refus du communautarisme coexistant avec l’extrême identification à un groupe de natifs conduisant in fine à l’exclusion des différents .(exclusion physique , exclusion du territoire ….au mieux )

Une question de compréhension:

un mal c´est tuer l´enfant innocent, d´accord

et l´autre mal c´est .... que les parents de cet enfant doivent l´élever ? ou qu´ils trouvent des parents adoptifs qui veulent l´élever ?

Mais ils ont fait cet enfant volontairement, non ?

Cela ma rappelle l´argumentation de petit Johnny: je veux manger trois glaces, mais je ne veux pas avoir mal au ventre.

J´ai une proposition comment éviter tout ce problème:

Les hommes qui veulent pratiquer leur virilité sans vouloir se procréer en même temps doivent se faire stériliser.

Je parle au sérieux.

Dans les journaux il y a parfois des petites annonces dans lesquelles les hommes disent qu´ils sont stérilisés pour signaler aux femmes eventuellement intéressées que le risque d´une grosesse non désirée n´existe pas.

C´est une solution honnête et gentille.

60% des avortements chez des jeune filles , lesquelles ont eu des relations sexuelles avec des jeunes gens de leur âge .
Vous voudriez pousser à la stérilisation des jeunes hommes , c’est les natalistes qui vont être contents .


polaire

"""""""Il faut tourner sa langue sept fois avant de parler... Quatorze fois pour les bilingues. """""""""
Georges Raby

Mais le vrai mal c´est la contradiction:

un homme veut absolument coucher avec une femme et en même temps ne pas la féconder.

Alors, comment faire ?

La stérilisation me semble la seule solution raisonnable.

Quel est le problème ?
Au lieu de tuer des enfants, on regarde la verité en face et on prend une décision responsable.

Je connais un homme stérilisé. Sa virilité n´a pas souffert de tout de cette opération.

Donc: le second mal peut être resolu, si on regarde le problème en face et se rend compte de la contradiction dans son comportement et prend une décision raisonnable.

Citation :

un homme veut absolument coucher avec une femme et en même temps ne pas la féconder.

Une femme non plus ne veut pas être féconder à chaque relation de désir sexuel envers son conjoint.

Oui, M. En Christ, mais c´est quand même l´homme qui insiste beaucoup plus, la plupart du temps.

Le code civil règle que l´homme doit payer pour son enfant. Et aussi pour les coûts de l´accouchement de la mère. Tadis que la mère remplie son devoir en soignant le bébé.

C´est donc pas la société en première ligne, mais le père de l´enfant qui est obligé de le soutenir.

Francesca a écrit:

Oui, M. En Christ, mais c´est quand même l´homme qui insiste beaucoup plus, la plupart du temps.

Le code civil règle que l´homme doit payer pour son enfant. Et aussi pour les coûts de l´accouchement de la mère. Tadis que la mère remplie son devoir en soignant le bébé.

C´est donc pas la société en première ligne, mais le père de l´enfant qui est obligé de le soutenir.

Vous savez, il y a même des femmes qui se servent juste de l'homme pour avoir un enfant puis une fois enceinte elles disparaissent.

Oui, M. En Christ, mais dans ce cas les femmes gardent l´enfant comme un trésor et la question de l´avortement ne se pose point.

Si un tel père ne veut pas accepter une telle conduite, il peut trouver la femme avec son bébé et demander ses droits du père.
Il aurait mon soutien chaleureux.

Citation :

Oui, M. En Christ, mais dans ce cas les femmes gardent l´enfant comme un trésor et la question de l´avortement ne se pose point.

Pour vous si une femme avorte c'est à cause de l'homme?

Assez souvent oui.

Parce que ou l´homme pousse la femme envers l´avortement ou il s´en va au lieu d´être avec elle pour trouver une bonne solution pour une vie à trois, au lieu de montrer qu´il est capable d´organiser tout et de soutenir la future mère de son enfant psychiquement, fisiquement et moralement.

Francesca a écrit:

Assez souvent oui.

Parce que ou l´homme pousse la femme envers l´avortement ou il s´en va au lieu d´être avec elle pour trouver une bonne solution pour une vie à trois, au lieu de montrer qu´il est capable d´organiser tout et de soutenir la future mère de son enfant psychiquement, fisiquement et moralement.

Dans une relation sexuel, deux personnes qui se désirent sont consentantes avec toutes les conséquences qu'ils peuvent engendrer, alors si la femme avorte, ce n'est pas que la faute de l'homme dans l'histoire mais bien de deux être unis.

Par ailleurs bon nombre de femme accepte l'enfant même si l'homme s'enfuit des ses responsabilités. Puis à l'inverse du choix de l'avortement de la mère ce sont parfois les hommes qui veulent garder l'enfant.

Mais le choix revient sans doute de la mère qui porte l'enfant.

Il faut quand même regarder le cas le plus typique.

L´homme s´enfuit dès que l´enfant est annoncé.

La femme manque donc le moral pour élever seule l´enfant et décide d´avorter.

Si on interdit l´avortement on devrait peut-être mettre les pères irresponsables dans un camp de rééducation et de travail et verser leurs salaires pour les mères avec les bébés.

C´est une solution un peu dure, mais ...

On peut très bien s´amuser et se détendre gratuitement en racontant des jokes par exemples.
Si on s´amuse à créer un enfant, cela a un prix.
Quelqu´un doit payer ce prix.
Le père est le premier responsable.

Encore une chose:

Si un homme veut "faire l´amour", mais il ne veut pas créer un bébé, il peut aussi s´acheter une grande poupée. Elles sont produites en masse, je crois à Paris, j´ai vu à la télé ...

Un autre avantage: pas de risque de SIDA.

Et pour vous un vibromasseur !!!

Pourquoi on occulte tant le fait que la femme puisse avoir du désir sexuel? Comme si elle ne pouvait pas avoir de pulsion autre que de procréer, c'est faux!

à Acri:

Je m´y attendais.

Non, non. Moi, je n´ai pas besoin de telles choses. Si j´ai un enfant, je vais m´occuper de lui ou trouver une famille adoptive.
Je n´échappe pas à ma responsabilité.


à En Christ:

Je ne nie pas le désir sexuel de la femme.
Mais selon mes observations c´est le mec qui insiste beaucoup plus. Son désir sexuel est plus fort. Il est donc plus responsable.

Bonjour,Francesca tu as raison de le dire,l'homme doit avoir sa responsabilité. Et surtout s'il obéi au commandement de DIEU. Il faut que l'homme et la femme se connaissent bien avant de passer à l'acte.Qu'il sache bien où ils vont tous les deux.

Merci Nicolas,
je suis très heureuse qu´il y a encore quelques hommes comme vous.

Un être humain masculin irresponsable ne mérite pas d´être appelé "homme", selon moi.

Quand il est très jeune il est un garçon, plus tard ... je ne sais pas. Un être pas bien contouré ...