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 Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama

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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 15:54

http://www.ssf-fr.org/56_p_22309/initiative-de-chretiens-pour-l-europe-ixe.html

source:  IXE chrétiens pour l'europe
à propos de "l'ingérence" des chrétiens sur les institutions européennes
et comme simple exemple..

ce petit extrait d'un des buts d'IXE:


"- Permettre à des chrétiens d’Europe, soucieux de porter le message social de l’Eglise, de se connaître et de mieux assumer leurs différences historiques et culturelles".

une ingérence bien franche..


--
c'est tout autant souhaitable, et un droit !

défendre la civilisation judéo chrétienne en europe, c'est un droit, absolument.
c'est meme un besoin URGENT !
Donc, un devoir.

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Lebob




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 16:10

r. a écrit:
Lebob a écrit:
Les promoteurs de ce parlement sont, à lire cet article, deux oligarques juifs ukrainiens.  On ne voit pas bien ce que Shimon Peres vient faire là-dedans.
Code:

Parlement juif européen, [size=18][b]une idée de Shimon Peres[/b][/size]
[url=http://www.juif.org/blogs/41176,parlement-juif-europeen-une-idee-de-shimon-peres.php]JUIF.ORG[/url]

Code:
Les membres du Parlement représentent [size=18][b]47 pays[/b][/size] et ont été élus par plus de 400.000 personnes en Europe de l’est, centrale et occidentale qui ont voté via internet et ont ainsi montré un intérêt et une demande sans précédent pour une organisation nouvelle transparente et démocratiquement élue, indique l’Union juive européenne (EJU), l’organisation à la base de la création de ce parlement.

L’idée de la création d’un parlement européen juif a été pour la première fois envisagée il ya plusieurs années par [size=18][b]le président de l’Etat d’Israël, Shimon Peres[/b][/size].
http://identitejuive.com/inauguration-du-premier-parlement-juif-europeen-a-bruxelles/

Citation :
Ni où se situe l'ingérence politique

.... C'est donc bien de l'ingérance


Après ce qu'on subi les juifs européens au 20ème siècle on peut comprendre que Shimon Peres a pu souhaiter la création d'une organisation qui "fédérerait les communautés du Vieux continent" ce qu'est bien la European Jewish Union et le "parlement", du reste contesté même par des juifs, dont elle s'est dotée comme le montre le texte ci-dessous:

Citation :
EJU, or European Jewish Union, is a uniting structure for all Jewish communities and organizations throughout Western, Eastern and Central Europe. EJU is a non-profit NGO (non-governmental organization).

We are actively working on strengthening Jewish life in Europe through emphasis on education, social programs, and cultural/social activities. (source: http://www.eju.org/about)



Où voyez-vous de l'ingérence dans les affaires européennes la dedans? Il s'agit simplement d'un groupe de défense d'intérêts particuliers comme il y en a des milliers d'autres. Il faudrait arrêter votre paranoïa complotiste dirigées contre les juifs (comme par hasard).

L'ingérence, la vraie, c'est lorsque le chef d'un état microscopique qui n'est même pas membre de l'Union européenne fait montre d'une insistance de (très) mauvais aloi pour insérer dans la constitution une référence à la religion chrétienne.

Méditez là dessus et apprenez à faire la différence entre ingérence dans les affaires de l'Union européenne et défense d'intérêts particuliers.

_________________
Si tous ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux, ils en diraient encore bien plus (Julos Beaucarne)

Je nourris un pauvre et l'on me dit que je suis un saint. Je demande pourquoi le pauvre n'a pas de quoi se nourrir et l'on me traite de communiste (Dom Hélder Câmara)

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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 16:53

ce sont des organisations européennes chrétiennes
qui déclarent vouloir faire pression sur l'union européenne.
AUCUNE DIFFERENCE
c'est de l'ingérence chrétienne affirmée dans les affaires de l'union européenne
soyez juste. ce lobbyisme ne doit pas etre un tabou.

L'ingernce chrétienne dans les affaires européennes est positive selon moi.

les lobbyismes chrétiens ou islamiques existent tout autour de la terre.
ne vous étonnez donc pas de la volonté de défense humaniste et culturelle d'une petite minorité qui défend des valeurs positives tout comme le christianisme, et qui veux se défendre COMME LEs AUTRES, parceque gravement menacé.
L'influence commune des valeurs est d'ailleurs positive.

Le droit syndical a aussi droit d'ingérence dans les affaires euroépennes, etc.; et tout ces lobbys font de l'ingérence positive sur l'union européenne.
Il s'agit de défendre des droits.


Liste des membres ou correspondants d'IXE
Allemagne
ZdK, Zentralkomitee der deutschen Katholiken, www.zdk.de



Italie
ACLI, Associazioni Cristiane Lavoratori Italiani, www.acli.it



Autriche
KAÖ, Katholische Aktion Österreich, www.kaoe.at
KSÖ, Katholische Sozialakademie Österreichs, www.ksoe.at



Pologne
Spoleczny Instytut Wydawniczy ZNAK, www.znak.pl



Pays-Bas
Katholiek Netwerk, www.katholieknetwerk.nl





Ukraine
Institut d‘Etudes Œcuméniques de Université Catholique d’Ukraine à Lviv http://ucu.edu.ua/fr/ et www.ecumenicalstudies.org.ua/fr



Croatie
Centre de documentation et recherches européennes Robert Schuman



Belgique
CIL, Conseil Interdiocésain des Laïcs, www.cil.be
ALTERCITÉ – Belgique, www.altercite.be



France
EDC, Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens, www.lesedc.org
MCC, Mouvement chrétien des cadres et dirigeants, www.mcc.asso.fr



République Tchèque
České Křesťanské akademie, ČKA, www.krestanskaakademie.cz



Angleterre
Las Casas Institute, www.bfriars.ox.ac.uk/casas_intro.php



Espagne
Cristianisme i Justícia, www.fespinal.com



Europe
UNIAPAC, Union Internationale des Associations Patronales Catholiques, www.uniapac.org
OCIPE, Office Catholique d'Information et d'Initiative, Jesuit European Office, Bruxelles, www.ocipe.info
Association dominicaine ESPACES – Bruxelles, www.espaces.info
COMECE, Commission des évêques de la Communauté européenne, www.comece.org



Commission des évêques de la Communauté européenne

un lobbyisme moral utile comme un autre, pour ingerer sur l'union européenne, et y défendre opinions et droits.

--

Plus: il existe un groupe parlementaire européen chrétien.

Groupe parlementaire Chrétien-Démocrate

influence et ingérence du groupe parlementaire chrétien sur l'union européenne:

http://web.eduskunta.fi/Resource.phx/parlement/groupeparlementaire/chretiendemocrate.htx


Je cite:

"Chrétiens-démocrates, nous souhaitons bâtir une société où les citoyens osent et veulent s'occuper des autres, et où même le plus faible est pris en compte. Notre objectif est que ceux qui prennent des responsabilités et osent entreprendre soient récompensés."
"Le Parlement élabore les lois, décide de l’imposition et des dépenses de l’État. Les décisions prises par le Parlement ont une influence directe et indirecte sur la vie de nous tous. Le groupe parlementaire chrétien-démocrate oeuvre à la mise en pratique des objectifs du parti au Parlement."

Ce n'est pas de l'ingérence chrétienne sur l'union européenne ?
oui.
Et revendiqué comme tel.
etc ..
des dizaines d'associations chrétiennes influent, y compris le saint-siége.
Le président de la commision euroépenne a visité d'ailleurs le Vatican le 14 juin.
en Mars, ila proposé au pape de venir au parlement européen.

criez vous au scandale d'ingérence du christianisme ou d'interets chrétiens ?
que voudrais signifier une telle opposition ?

je trouve ca trés positif, car il y a des valeurs à défendre dans l'union européenne.
les opinions morales, d'éthique, etc .. sont importantes.
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Bobel

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 20:48

Lebob a écrit:
L'ingérence, la vraie, c'est lorsque le chef d'un état microscopique qui n'est même pas membre de l'Union européenne fait montre d'une insistance de (très) mauvais aloi pour insérer dans la constitution une référence à la religion chrétienne.
Relisez plutôt la source que vous citez : « Responsable des relations entre le Saint-Siège et les autres Etats, l'archevêque Jean-Louis Tauran ne décolère pas depuis la divulgation du projet de Constitution européenne. « Le préambule cite l'héritage culturel des courants philosophiques des Lumières et oublie le christianisme ! Cela révèle une tentation autoritaire de récrire l'Histoire. »

Les philosophes des Lumières, qui refusèrent en leur temps de nier l'importance de l'empreinte chrétienne sur l'Europe, vous aideront certainement à tempérer vos ardeurs d'écrivain de romans historiques :

Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, 1ère édition (1751), volume 6, page 212, article « Europe » a écrit:

D’ailleurs il importe peu que l’Europe soit la plus petite des quatre parties du monde par l’étendue de son terrein, puisqu’elle est la plus considérable de toutes par son commerce, par sa navigation, par sa fertilité, par les lumieres & l’industrie de ses peuples, par la connoissance des Arts, des Sciences, des Métiers, & ce qui est le plus important, par le Christianisme, dont la morale bienfaisante ne tend qu’au bonheur de la société. Nous devons à cette religion dans le gouvernement un certain droit politique, & dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître ; en paroissant n’avoir d’objet que la félicité d’une autre vie, elle fait encore notre bonheur dans celle-ci.

http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Diderot_-_Encyclopedie_1ere_edition_tome_6.djvu/221
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Lebob




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 21:12

Bobel a écrit:
Lebob a écrit:
L'ingérence, la vraie, c'est lorsque le chef d'un état microscopique qui n'est même pas membre de l'Union européenne fait montre d'une insistance de (très) mauvais aloi pour insérer dans la constitution une référence à la religion chrétienne.
Relisez plutôt la source que vous citez : « Responsable des relations entre le Saint-Siège et les autres Etats, l'archevêque Jean-Louis Tauran ne décolère pas depuis la divulgation du projet de Constitution européenne. « Le préambule cite l'héritage culturel des courants philosophiques des Lumières et oublie le christianisme ! Cela révèle une tentation autoritaire de récrire l'Histoire. »

Les philosophes des Lumières, qui refusèrent en leur temps de nier l'importance de l'empreinte chrétienne sur l'Europe, vous aideront certainement à tempérer vos ardeurs d'écrivain de romans historiques :

Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, 1ère édition (1751), volume 6, page 212, article « Europe » a écrit:

D’ailleurs il importe peu que l’Europe soit la plus petite des quatre parties du monde par l’étendue de son terrein, puisqu’elle est la plus considérable de toutes par son commerce, par sa navigation, par sa fertilité, par les lumieres & l’industrie de ses peuples, par la connoissance des Arts, des Sciences, des Métiers, & ce qui est le plus important, par le Christianisme, dont la morale bienfaisante ne tend qu’au bonheur de la société. Nous devons à cette religion dans le gouvernement un certain droit politique, & dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître ; en paroissant n’avoir d’objet que la félicité d’une autre vie, elle fait encore notre bonheur dans celle-ci.

http://fr.wikisource.org/wiki/Page:Diderot_-_Encyclopedie_1ere_edition_tome_6.djvu/221

Comme vous le dites, "en leur temps". Les perceptions ont pu changer depuis.

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Bobel

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty1/7/2013, 22:14

Lebob a écrit:
Comme vous le dites, "en leur temps".  Les perceptions ont pu changer depuis.
Considérez-vous la réécriture de l'histoire, la négation de l'influence chrétienne sur l'Europe, comme un simple phénomène de perception ?

Avez-vous la prétention, sur ce point précis, d'être en possession d'un savoir plus grand que celui des philosophes des Lumières ?
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Lebob




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 01:10

Bobel a écrit:
Lebob a écrit:
Comme vous le dites, "en leur temps".  Les perceptions ont pu changer depuis.
Considérez-vous la réécriture de l'histoire, la négation de l'influence chrétienne sur l'Europe, comme un simple phénomène de perception ?

Avez-vous la prétention, sur ce point précis, d'être en possession d'un savoir plus grand que celui des philosophes des Lumières ?

L'histoire est son écriture est une chose, la rédaction d'une constitution, qui est un texte juridique, en est une autre...

_________________
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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 03:15


http://www.desinfos.com/spip.php?article36664

source: désinfo

Officiel PA TV s’attaque à PMW pour avoir utiliser le mot "terroristes" pour trois planificateurs d’attentats suicide qui purgent 166 condamnations à perpétuité pour assassinat
Le média officiel de l’Autorité palestinienne poursuit sa condamnation de Palestinian Media Watch pou avoir exposer que l’Autorité palestinienne encourage la haine et de la terreur. La dernière attaque de la TV de l’AP vient en réponse à un récent bulletin de PMW qui exposait que la PA TV a glorifié trois terroristes palestiniens qui purgent un total de 166 condamnations à perpétuité pour la planification des attentats-suicides et la préparation des bombes qui ont été utilisés dans de nombreuses attaques terroristes.

--

Football : beau message de l’équipe allemande aux Israéliens (championnat d’Europe des moins de 21 ans)

Championnat d’Europe des moins de 21 ans en Israël : l’équipe allemande porte le T-shirt ci-dessous avec l’inscription en hébreu : "Nous sommes chez nous en Israël" ( ou : "On se sent à la maison" ) et les drapeaux des deux pays.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Foot-49de4



Dernière édition par prinu le 2/7/2013, 03:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 03:26

avez vous lu les livres "catéchisme républicain"
une période ou la république voulait enterrer l'église, vers 1900.

comme celui-là, bien illustré, ou "catéchisme républicain" est le sous-titre de "l'évolution":

Catéchisme Républicain Ou Philosophie Populaire Scientifique Illustrée:
Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Catechisme-Republicain-Ou-Philosophie-Populaire-Scientifique-Illustree-Directeur-Henri-Arnould-Uil-Faut-Que-Le-Peuple-Sache-Que-La-Science-Si-Haineusement-Traquee-Au-Cours-Des-Siecles-Livre-860246725_ML

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 854241953_L

ce qui est étonnant c'est le mot "catéchisme", pour des livres qui expliquent le monde par la science.

--
Lisez "paris au 20 iéme siécle" de jules Verne, sur l'opposition culture et sciences
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 03:35

voilà un questionnaire
que j'ai recopié d'un blog, d'une discussion.
mais je n'ai pas réussi à répondre à la moindre question! diable !


Qui sont les Palestiniens ?

Si vous êtes si sûr que l'existence de la « Palestine » remonte très loin dans l'Histoire, je suppose que vous serez capable de répondre aux questions qui suivent sur ce pays, la « Palestine » :

- 1) Quand a-t-elle été fondée, et par qui ?
- 2) Quelles étaient ses frontières ?
- 3) Quelle était sa capitale ?
- 4) Quelles étaient ses principales villes ?
- 5) Qu'est-ce qui constituait la base de son économie ?
- 6) Quelle était la forme de son gouvernement ?
- 7) Pouvez-vous nommer un chef palestinien avant Arafat ?
- 8) La Palestine a-t-elle déjà été reconnue par un pays dont l'existence, à l'époque ou aujourd'hui, ne laisserait aucune place à l'interprétation ?
- 9) Quelle était la langue de la Palestine ?
- 10) Quelle était la religion dominante en Palestine ?
- 11) Quel était le nom de sa monnaie ? Choisissez une date dans l'Histoire, et citez le taux de change à cette date de la monnaie palestinienne contre le dollar US, le mark allemand, la livre britannique, le yen japonais ou le yuan chinois.
- 12) Quels objets archéologiques les Palestiniens ont-ils laissés ?
- 13) Connaissez-vous une librairie où l'on pourrait trouver une œuvre littéraire palestinienne produite avant 1967 ?
- 14) Enfin, puisqu'un tel pays n'existe plus, quelle a été la cause de sa disparition, et quand a-t-il disparu ?

je n'arrive pas à répondre à la moindre question ..
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Bobel

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 15:20

Lebob a écrit:
L'histoire est son écriture est une chose, la rédaction d'une constitution, qui est un texte juridique, en est une autre...
Vous semblez être fort compétent dans tous ces domaines.

Merci, dans ce cas, de bien vouloir nous expliquer :

- la mention dans la constitution européenne de l'héritage des courants philosophiques des Lumières relève-t-elle du domaine historique ou juridique ?

- la négation de l'héritage chrétien est-elle une nécessité juridique ou bien historique ?
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 20:03

l'atheisme est une position politique, ce qui a créé des lois en fonction .. une république.

mais ou voulez vous en venir, vous avez des propositions et des griefs quand à la république. ? des idées là dessus ?
on en a tous ..
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 21:48

source: Europalestine
Pathétique Michel Warshawski (europalestine), qui déclarait en 2004 : « Nous avons de bons rapports avec toutes les organisations politiques palestiniennes, même avec les organisations islamistes : on ne pourrait pas opérer sans être tolérées par elles. Mais nos relations sont intimes avec ce qui reste du FPLP [Front populaire de libération de la Palestine, d’obédience marxiste] et du FDLP [Front démocratique de libération de la Palestine, scission du FPLP] .Ce sont des militants de ces organisations qui ont fondé l’AIC, même si aujourd’hui elles sont en net perte d’influence. Côté israélien, nous sommes tous des militants de l’extrême-gauche antisioniste. Des militants proches du PC, beaucoup d’entre nous se retrouvent aujourd’hui dans le parti palestinien radical israélien, militent à l’intérieur ou autour. C’est un parti arabe israélien avec des tendances assez diverses, et avec une minorité de juifs. Cela s’appelle le Rassemblement national démocratique, et réunit des anciens membres du PC et des groupes nationalistes radicaux. »
Lu sur le site de l’Association France Palestine Solidarité (la doyenne des associations pro-palestinienne) à propos d’Europalestine  (le 8 juillet 2010): « …La troisième (touche) tient à la conception, que CAPJPO-Europalestine se fait du mouvement de solidarité. L’AFPS a toujours considéré qu’il fallait construire les alliances les plus larges au service de la cause palestinienne sur une base claire et rassembleuse. Elle a ainsi contribué, à sa place, à bâtir les coordinations unitaires indispensables que forment la Plateforme des ONG pour la Palestine et le Collectif national pour une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens dont le CAPJPO-Europalestine a été écarté à l’unanimité en 2004. Et pour cause : ce groupe n’a cessé de faire cavalier seul et de tirer la couverture à lui, et ce dès cette époque en présentant à l’élection européenne la liste « Europalestine » emmenée par Dieudonné. Si le CAJPO s’est séparé de ce dernier lorsque son antisémitisme et ses accointances négationnistes sont devenus inassumables, il a continué d’agir avec des groupes douteux, comme le 31 mai dernier à Paris, où il a organisé un rassemblement, deux heures avant la manifestation unitaire, avec le Collectif Cheikh Yassine - dont un dirigeant figure à côté d’Olivia Zemor sur une vidéo.  » L’AFPS avait inséré un lien vidéo sur ce rassemblement du 31 mai 2010, il n’est plus disponible aujourd’hui. Par contre, à la date du 2 juillet 2013, l’article de l’AFPS sur Europalestine est toujours consultable sur son site.

http://jssnews.com/2013/07/02/negoec/
source jss
Pourquoi des pré-conditions palestiniennes aux négociations de paix ?

Le moment est venu de révéler vraies couleurs des Palestiniens. Alors que les dirigeants du monde entier tentent d’amadouer et de pousser les deux parties dans des négociations de paix, un seul côté dit toujours qu’il est prêt à s’asseoir, sans conditions préalables – Israël. Les Palestiniens, en revanche, refusent de répondre si Israël ne s’engage à l’avance sur plusieurs exigences. Cela devrait être un indicateur de drapeau rouge de leurs fourbes intentions.

En mars 2013, lorsque le président Obama a rencontré Mahmoud Abbas à Ramallah, il l’a publiquement critiqué, en disant que ses « conditions préalables sont inutiles. » Mais Abbas a continué à ignorer Obama et à réaffirmer sa liste d’exigences, qui comprend le gel des constructions israéliennes dans les implantations et dans l’Est de Jérusalem.

Ma question est – sans un accord formel sur un Etat ou des frontières, comment peuvent-ils exiger la cessation de la construction? Où est-ce que les constructions peuvent continuer tant qu’il n’y a pas d’accord définitif ? Faut-il placer la charrue avant les boeufs ?

Une autre condition est qu’Israël doit s’engager à mettre fin à l ‘ »occupation » et à revenir aux lignes d’armistice de 1967 . Si la soi-disant « occupation » empêche la paix, pourquoi était-il nécessaire de mener une guerre en 1967, quand il n’y avait pas d’ « occupation »?

Pour la petite histoire, les soi-disant « frontières » de 1967 sont en fait une ligne de démarcation, lorsque les hostilités ont pris fin en 1949, après la guerre d’Indépendance. Elles n’ont jamais été officiellement acceptées comme « officielles » ni par Israël, ni par les autres nations (même arabes). Israël a le droit à des «frontières sûres et défendables», selon le président Obama, surtout quand on sait que pratiquement tout le monde arabe est hostile envers l’Etat Juif depuis sa re-création en 1948.

Les lignes 67, si elles devenaient des frontières officielles, laisseraient à Israël une mince bande de terre de seulement 11 km entre la mer et Netanya, au nord de Tel-Aviv, là ou se concentre 70% de la population et 80% de l’industrie israélienne. Avoir un ennemi agressif à quelques centaine de mètres de soi, ce n’est pas avoir une frontière sûre et défendable.

Une autre des exigences porte sur la « confiscation » de Jérusalem-Est, quartier où l’on trouve le Mur des Lamentations et le Mont du Temple. C’est le lieu le plus sacré sur terre pour les Juifs. Donner cet espace reviendrait à avoir un corps sans coeur. Abbas vient d’ailleurs de réitérer son accusation selon laquelle Israël tente de détruire la mosquée Al-Aqsa.

Gardez à l’esprit qu’après la guerre des Six Jours de 1967, lorsque Jérusalem fut unifié sous contrôle juif pour la première fois en presque 2000 ans, Moshe Dayan a fait un énorme geste de bonne volonté en renonçant au contrôle sur le Mont du Temple , au profit du Wafq musulman. Pour renforcer cet engagement, les Juifs n’ont pas le droit de prier sur le Mont du Temple et sont régulièrement arrêtés par la police israélienne s’ils le font. En revanche, les musulmans jouissent de la liberté complète de culte à travers tout Israël. Même devant le mur des lamentations s’ils le veulent.

Face à leurs demandes de négociations avec conditions, que proposent-ils à Israël ?

Ont-ils proposé de reconnaître le droit d’Israël à exister avant de négocier ?

Ont-ils proposé d’abandonner leur demande de soi-disant «droit au retour», ce qui permettrait d’éliminer la majorité juive en Israël?

Est-ce que le Fatah ou le Hamas a proposé de modifier sa charge qui appelle à la destruction d’Israël ?

Ont-ils dit qu’ils allaient renoncer à toute revendications territoriales futures une fois qu’un accord sera atteint?

La réponse à chaque question est «non».

Alors, quel est le but réel des Palestiniens? Est-ce la paix et la coexistence avec l’Etat juif d’Israël? La demande pour les conditions expose les véritables intentions des palestiniens. En outre, si Israël acceptait toutes les conditions, qu’y aurait-il de plus à négocier ?
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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 22:05

http://jssnews.com/2011/06/21/israel-et-le-vietnam-signent-de-nouveaux-accords-de-cooperation/

Le vice-ministre israélien des Affaires Étrangères, Danny Ayalon, a rencontré en début de semaine le ministre vietnamien de l’Information et des Communications, Le Doan Ho, à Jérusalem. C’est la première visite officielle d’un ministre vietnamien en Israël depuis 12 ans.

Pendant la réunion, Ayalon a examiné les changements récents dans la région, les défis politiques et les dangers inhérents au scénario de la « journée d’après »… Un scénario créé dans le cas d’une déclaration unilatérale d’indépendance par l’Autorité palestinienne en septembre.

Ayalon a déclaré : « J’espère que le gouvernement vietnamien va peser la situation avec une grande considération, et ne soutiendra pas l’initiative unilatérale palestinienne, mais rejoindra plutôt les autres pays, les nations responsables qui forment la majorité morale. »

Le ministre vietnamien a exprimé sa compréhension de la position israélienne, et a convenu que sa méthode préférée de la résolution du conflit « est celle des négociations directes, pas de l’unilatéralisme ».

Ayalon et son invité ont également élargi les relations bilatérales entre les pays dans les domaines du commerce, des communications, de l’agriculture, de l’aide du gouvernement israélien à la population vietnamienne et de la sécurité. Ayalon a suggéré la création d’un comité bilatéral dans le but d’élaborer un plan à long terme pour la coopération, et a ajouté que la « coopération entre Israël et le Vietnam peut être la base d’une coopération plus large, avec plusieurs autres pays ».

Depuis quelques mois, le gouvernement israélien se tourne de plus en plus vers l’Asie pour promouvoir sa diplomatie.
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boulo




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 22:43

boulo a écrit:
boulo a écrit:
boulo a écrit:
Dans " Le Soir " du jeudi 27 juin 2013 , un article de Serge Dumont ( p 9 ) :

" Les Bédouins du Néguev refusent leur expulsion

Israël La Knesset a voté le plan en première lecture

- Trente-cinq villages et hameaux " non reconnus " sont condamnés .

- Les Bédouins du Néguev n'ont aucune intention de se laisser faire .

Désert du Néguev

DE NOTRE ENVOYE SPECIAL

[...] "

" ...
Le projet prévoit la destruction de 35 villages et hameaux dont les habitants bénéficieraient d'une indemnité pour acquérir un terrain . Budget : 330 millions de dollars .

Or , les Bédouins n'en veulent pas . " Les terres dont on veut me chasser appartenaient à mes grands-parents , qui les tenaient de leurs ancêtres , bien avant que l'idée de créer un Etat juif ne soit lancée . Pourquoi devrais-je m'en aller ? " interroge Fawzia , une étudiante dont les parents résident dans le village non reconnu de Kasser al Sir .

...

(s) Serge Dumont  "


Je présume que vous approuvez cette destruction de réserves bédouines , même si elle doit aboutir à des massacres , Prinu ?

" ... Dans les années suivant la création de l'Etat hébreu ( 1948 ) , de nombreux Bédouins ont été " déplacés " au profit de Tsahal ( l'armée ) , qui a transformé leur territoire en un immense terrain de manœuvre . Les villages qui ne voulaient pas déménager ont été " punis " en n'étant pas reconnus par Israël . Ils ont donc du confort minimal , comme leurs services sociaux , médicaux et éducatifs . 

A une heure en voiture au sud de Beer Sheva , les cinq villages non reconnus composant Wadi el Naama ( 14.000 habitants ) sont installés à côté de la brûlerie de déchets géante de Ramat Hovav , dont les fumées sont cancérigènes . Pourtant , ils refusent de partir . " C'est l'usine qui s'est installée sur nos terres sans demander notre avis , pas le contraire . C'est à elle de déguerpir . " , fulmine Mohamad Al Azazmeh , récupérateur de métaux et de pièces de voiture accidentées .

... (s) Serge Dumont " .


Dans Le Monde des dimanche 30 juin et lundi 1er juillet 2013 , p 3 :

" Lettre du Proche-Orient     par Laurent Zecchini

AVOCATE BEDOUINE , AU NOM DU PERE

...

Bader Al-Farawneh [ ... est ] la première à avoir ouvert un cabinet à Rahat , cette ville de 52.000 habitants " qui compte 60 % d'enfants mais , insiste-t-elle , pas une piscine ."

[...]

C'est la luitte du pot de terre contre le pot de fer , mais Bader Al-Farawneh se bat pour que l'Etat d'Israël respecte " l'identité " des Bédouins .

[... ]

Depuis quelque temps , les jeunes qui manifestent contre un Etat israëlien qui veut déraciner ses citoyens bédouins , brandissent des drapeaux palestiniens . " .
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boulo




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 23:34

prinu a écrit:





Si VOUS êtes si sûr que l'existence de la « Palestine » remonte très loin dans l'Histoire, ...

...

1 ) Vous n'avez pas mentionné vos références , cher Prinu .

2 ) A qui vous adressez-vous ?
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty2/7/2013, 23:56

ce n'est pas avec des références, c'est un questionnaire d'un internaute que j'ai copié d'un blog, je ne sais plus lequel. ce questionnaire est amusant, car en effet, un état se définit par ces éléments là .. et vous, saurez vous y répondre ?
le texte s'adresse à tout ceux quis emblent croire qu'il a éxisté une Palestine comme état des palestiniensa ctuels.
et veux démontrer que rien de tel n'a jamais e xisté, cette terre était à d'autres peuples que ces dits palestiniens venus d'ailleurs.
voilà pourquoi il est si pertinent et amusant. tout ce qui a trait à "palestine" correspond en effet a d'autres populations que les palestiniens modernes, immigrés de péninsule arabique, irak, egypte, etc...
les monnaies avec écrit "palestine" ne correspondent pas aux palestiniens , etc.. les monnaies non plus.; rien.

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boulo




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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty3/7/2013, 00:17

prinu a écrit:
...
le texte s'adresse à tout ceux quis emblent croire qu'il a éxisté une Palestine comme état des palestiniensa ctuels.
...


Personne ne croit cela , pensé-je .
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty3/7/2013, 22:20

j'ai lu dans cent forums , mille avis le croyant, et des centaines de déclarations dans les médias, le coyant.
les gens se basent partout sur cette vérité qu'ils croient vraie, à force de propagande: ils avaient un pays, et les israéliens le leur auraient pris.
or c'est faux. ils n'avaient pas de pays, et les israéliens ne leur ont pris aucun pays à eux, ils ont été réglo.

vous seriez une des rares personnes à ne pas le croire .. . félicitation.
tout les groupes palestiniens se basent sur cette croyance, et qu'ils subiraient une injustice grave.


Dernière édition par prinu le 3/7/2013, 22:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty3/7/2013, 22:21

http://www.europe-israel.org/2013/07/tahrir-30-juin-le-hamas-vole-au-secours-des-freres-musulmans-et-tue-des-manifestants-egyptiens/
Place Tahrir, le 30 juin : Le Hamas a volé au secours des Frères Musulmans et a tué des manifestants égyptiens.

Des membres du Hamas étaient présents aux côtés des Frères Musulmans quand leur QG a été attaqué par les manifestants.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 HamasMorsi-300x181
Des hommes du Hamas brandissent un poster de Morsi sur cette photo prise à gaza.


Un an après son élection à la présidence égyptienne, des manifestations géantes anti-Morsi réclament sa démission au Caire et dans toutes les villes égyptiennes. Des membres du Hamas étaient présents aux côtés des Frères Musulmans quand leur QG a été attaqué par les manifestants.

Sur cette photo on voit des militants du Hamas brandissant un poster de Morsi, lors des explosions de joie à Gaza city à l’occasion de son élection comme président d’Egypte en 2012.


Un nouveau rapport arabe raconte qu’au moins quatre palestiniens membres du Hamas ont été impliqués dans des tirs meurtriers qui ont fait huit morts égyptiens lors des récentes manifestations anti-Morsi [du 30 juin] et ont été arrêtés. Les heurts ont eu lieu près du siège des Frères Musulmans à Muqattam.

Une video parue hier montre des gens à l’intérieur du bâtiment – pas seulement des membres des Frères Musulmans mais apparemment des gens du Hamas également – ouvrant le feu sur les manifestants.

Rien de cela n’est surprenant : Le Hamas est la branche palestinienne des Frères Musulmans — fait encore récemment confirmé par un jugement de la Cour établissant que la sortie de prison du Président Morsi en 2011 a été facilitée par des membres du Hamas.[facilitated by Hamas members.]

En bref, il est de tradition que le Hamas porte secours à Morsi – un indicateur supplémentaire des connexions terroristes du Président égyptien.[Egyptian president’s terrorist connections.]

source: europe-israel
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty4/7/2013, 01:58

http://www.leptithebdo.net/2012/02/29/la-psychologie-des-juifs-qui-adoptent-la-posture-de-leurs-ennemis/#.UdKcwNuhPFM.facebook

source: leptithebdo

La psychologie des Juifs qui adoptent la posture de leurs ennemis

“Un certain nombre de Juifs et d’Israéliens adoptent les critiques venant des cercles antisémites et des extrémistes anti-israéliens. Ils ont eu beaucoup de précurseurs au cours de la longue histoire de la Diaspora juive.

“Ce phénomène révèle de grandes similarités, au niveau de la psychologie humaine, avec les réponses des enfants victimes d’abus chroniques. Ces enfants ont tendance à s’accuser d’être la cause de leurs souffrances. Dans leur condition dénuée de tout recours, il leur reste deux alternatives : soit, ils parviennent à reconnaître qu’ils sont traités en victimes expiatoires de façon inique et pourront se réconcilier avec eux-mêmes, malgré le fait de se voir réduits à l’impuissance, soit il leur reste à s’accuser d’être à l’origine de leur situation difficile. L’attrait de cette dernière proposition – « Je souffre parce que je suis foncièrement mauvais » – provient du fait qu’elle comble le désir de reprendre du contrôle, et répond au fantasme qu’en devenant « bon », ils finiront par arracher des représailles moins violentes de la part de leurs tourmenteurs. Aussi bien les enfants que les adultes cherchent invariablement à éviter de rester sans le moindre espoir ».

Kenneth Levin est psychiatre, historien et auteur de plusieurs livres, parmi lesquels : The Oslo Syndrome: Delusions of a People under Siege. 1. [Le Syndrome d’Oslo : les Désilusions d’un peuple assiégé]. Il est formateur clinicien en psychiatrie à l’Institut Médical d’Harvard.

Dans le Syndrome d’Oslo, Levin explique l’attitude des Israéliens qui sont atteints de haine d’eux-mêmes : [Il y a] « une volonté de croire qu’Israël a le contrôle de circonstances particulièrement stressantes sur lesquelles, malheureusement, il n’y a pas de contrôle réel. Une paix authentique n’adviendra au Moyen-Orient que lorsque le monde arabe, qui est, de loin, le parti dominant dans cette région, finira par percevoir une telle paix comme étant dans son propre intérêt. Les politiques israéliennes ont, en fait, très peu d’impact sur les perceptions arabes, de ce point de vue, bien moins, en tout état de cause, que les dynamiques des politiques intérieures au sein des Etats Arabes et que les rivalités interarabes ».

Lévin ajoute, à présent : “ La vulgarisation de la haine contre Israël, qui est ventilée par les gouvernements arabes, les systèmes éducatifs, les media et les prédicateurs musulmans, est profondément ancrée dans l‘opinion arabe. Ce n’est pas un phénomène totalement isolé, mais il se coule dans un cadre bien plus vaste. Depuis les tous premiers jours de l’édification du monde arabo-musulman, il y a toujours eu une animosité très répandue contre les minorités aussi bien ethniques que religieuses, dans cette région. Ce serait une erreur d’attribuer, par exemple, la pression exercée contre les minorités chrétiennes, exclusivement comme le résultat de l’émergence du fondamentalisme musulman. L’hostilité arabo-musulmane populaire a, aussi, conduit à des pressions exercées contre des Musulmans non-Arabes, tels que les populations berbères d’Afrique du Nord.

“Alors que ces Juifs et Israéliens qui adoptent des argumentaires anti-juifs le font, habituellement, dans l’espoir de s’attirer les bonnes grâces des ennemis des Juifs, ils reconnaitront difficilement cette source de leur motivation. Ils prétendront plutôt, en règle générale, que leur position ne fait que refléter une position morale ou éthique bien supérieure.

“Par le passé et encore actuellement, les antisémites ont communément prétendu que les Juifs étaient exclusivement intéressés par leur propre bien-être. Cela a conduit de nombreux Juifs à concentrer leurs énergies sur des causes sociales plus larges, même lorsque la communauté juive souffrait d’une situation défavorisée unique en son genre. Les Juifs qui suivent ce processus, n’admettent habituellement, pas qu’ils le font pour éviter d’être accusés de chauvinisme ou d’esprit de clocher. Ils prétendront, plutôt, être habités d’un sentiment de justice transcendante et par des préoccupations profondes de vouloir répondre à des besoins universels.

“Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, particulièrement après que fut révélé le programme d’extermination nazi, vers la fin 1942, de nombreux dirigeants juifs américains ont cherché à provoquer une prise de conscience sur la situation tragique des Juifs d’Europe, afin de promouvoir des efforts pour les sauver. Pourtant, ils ont aussi limité leur campagne, par crainte de réveiller la colère du public contre une préoccupation juive centrée sur un problème juif, et ils ont souvent rationalisé cette façon de faire, comme si elle reflétait leur dévotion à une tâche plus hautement patriotique, visant à gagner la guerre. C’étaient, plus largement, des voix non-juives qui ont insisté sur le fait que le programme d’extermination nazi n’était pas seulement un crime contre les Juifs, mais bien un crime contre la civilisation et contre toute l’humanité, et qu’il devait, par conséquent, faire l’objet de la préoccupation de tout un chacun ».

Levin observe que : “Durant les soixante dernières années, la communauté juive américaine, dans l’ensemble, a énergiquement adopté une position de soutien à Israël. Cela a été rendu plus facile par le fait que le très large public américain éprouve, traditionnellement, de la sympathie envers l’Etat juif.

“D’un autre côté, Israël s’est trouvé exposé à de nombreuses critiques, dans certains media américains, sur beaucoup de Campus et au sein de courants dominants des églises libérales. Ces segments de la communauté juive qui vivent et travaillent dans des environnements hostiles à Israël, adoptent communément les poncifs anti-israéliens présents dans leur entourage. Et ils insistent souvent sur le fait qu’en se comportant de la sorte, ils font preuve de grande vertu.

“Les dynamiques psychologiques des communautés sous le coup de l’hostilité ambiante expliquent pourquoi, autant à l’extérieur qu’en Israël, le siège virtuel mis en place autour de l’Etat Juif continuera à mener des segments des communautés juives à soutenir leurs assiégeants et à exhorter à une réforme juive de l’intérieur, comme si c’était le plus court chemin pour obtenir un soulagement. Pourtant, la voie qu’ils préconisent n’est pas moins délirante que celle des enfants violentés qui s’accusent des abus qu’ils subissent. Tout autant que ces enfants, ils se destinent psychologiquement à une vie d’abnégation auto-imposée et de misère. Dans le cas des Juifs culpabilisant Israël pour la haine qui est dirigée contre lui, la misère qu’ils cultivent va bien au-delà d’eux-mêmes et, en définitive, elle sape l’existence même d’Israël ».

Le Dr. Manfred Gerstenfeld préside le Conseil d’Administration du Centre des Affaires Publiques de Jérusalem. Il a publié 20 ouvrages. Plusieurs d’entre eux traitent d’anti-israélisme et d’antisémitisme

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty4/7/2013, 15:19

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 3441698_6_e770_comment-la-dgse-espionne_5becd1e99c99cf92adfbf272bca3d6fc
http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/07/04/revelations-sur-le-big-brother-francais_3441973_3224.html
source: le Monde

Révélations sur le Big Brother français

Le Monde révéle que la france fait commes les états-unis.

A égalité

La France dispose, comme les Etats-Unis avec le système Prism, d'un dispositif d'espionnage à grande échelle des télécommunications. Le Monde est en mesure de révéler que la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE, les services spéciaux) collecte systématiquement les signaux électromagnétiques émis par les ordinateurs ou les téléphones en France, tout comme les flux entre les Français et l'étranger : la totalité de nos communications sont espionnées. Les politiques le savent, mais le secret est la règle : ce Big Brother français est clandestin. Il échappe à tout contrôle.
Ce que cherchent les services de renseignement, ce sont les "métadonnées" : non pas le contenu des messages, mais leur contenant. Le but est de savoir qui parle à qui pour reconstituer les liens entre les cibles, identifier des "cellules". La DGSE collecte ainsi les relevés téléphoniques de millions d'abonnés, les mails, les SMS, les fax... Et toute l'activité Internet, qui passe par Google, Facebook, Microsoft, Apple, Yahoo... Le dispositif est précieux pour lutter contre le terrorisme. Mais il permet d'espionner n'importe qui, n'importe quand.

"AUTORISATION VIRTUELLE"

La DGSE collecte ainsi des milliards de milliards de données, compressées et stockées, à Paris, sur trois niveaux, boulevard Mortier, dans les sous-sols du siège de la DGSE. Le service de renseignement dispose d'un supercalculateur capable de gérer des dizaines de millions de gigaoctets.

Les autres services de renseignement français ont accès en toute discrétion à cette gigantesque base de données, sobrement baptisée "infrastructure de mutualisation". Certaines informations peuvent même être utilisées par la police judiciaire sous couvert de "renseignements anonymes".

Le dispositif est pourtant parfaitement illégal – "a-légal", corrige l'un des patrons d'une des agences de renseignement. "Le régime juridique des interceptions de sécurité interdit la mise en œuvre par les services de renseignement d'une procédure telle que Prism", assure la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL).

La loi n'a en rien prévu un stockage massif de données techniques par les services secrets. "Voilà des années que nous sommes dans l'autorisation virtuelle, confie l'un des anciens patrons des services. Et chaque agence s'en satisfait." Un parlementaire confirme "qu'une grande part des connexions électroniques en France est effectivement interceptée et stockée par la DGSE".
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty5/7/2013, 22:06



http://www.jforum.fr/forum/international/article/mandela-et-les-juifs-une

source jforum
Les Mémoires Juives de Mandela. Une authentique histoire d’amitié.

Pour en finir avec l’idée d’un Etat d’"Apartheid Juif" en Israël, et sur l’instrumentalisation de ce terme, clairement défini, autant que le système Nazi, dans l’histoire des régimes oppressifs et totalitaires. La vraie vie de Nelson Mandela, aux côtés des compagnons juifs de son histoire, de ses débuts, jusqu’à son terme.

Peu de temps avant Shabbat, la semaine passée, le Grand Rabbin d’Afrique du Sud, le Dr Warren Goldstein, s’est entretenu avec le Dr Makaziwe Mandela, fille de l’ancien Président Nelson Mandela, pour transmettre à la famille les prières et tout le soutien de la Communauté Juive.

En remerciant le Rabbin Goldstein, le Dr Mandela lui a demandé, tout spécialement, de rappeler à la Communauté juive, que son père chérissait “la relation exceptionnelle et chaleureuse” qu’il a toujours eu avec les Juifs Sud-Africains” et qu’il appréciait profondément à quel point, tout au long de sa vie il avait bénéficié de la chaleur, de la gentillesse et du soutien de la Communauté Juive.

Alors que la vie de cet homme extraordinaire tire, à présent, inexorablement vers sa fin, les Sud-Africains de toutes les races et croyances se préparent, le coeur lourd, à adresser un adieu final au plus grand des fils de la nation. Il n’est plus temps pour les récriminations et ni de pointer un doigt accusateur, pas plus qu’il n’est temps pour aucun individu ni groupe de se permettre de se déchirer, à l’ombre de son héritage.

Les Juifs d’Afrique du Sud, nonobstant la généreuse reconnaissance de Mandela, à l’égard du soutien qu’il a reçu des membres de leur communauté, sont bien conscients, en ces temps de tristesse, que c’est à Mandela, uniquement, que reviennent tous les hommages.

Pas plus ne faut-il oublier qu’alors que de nombreux Juifs, à titre individuel, ont effectivement, joué un rôle important dans sa vie et sa carrière, la majorité des Juifs préféraient, d’aucune manière significative, avoir à affronter le système d’Apartheid [NDLR : comme le Juge Richard Goldstone, qui a fait pendre, au moins neuf Noirs, après des aveux obtenus sous la torture, pour des faits mineurs].

En 2011, le Bureau des Députés Juifs d’Afrique du Sud (SAJBD) s’est associé, en partenariat avec la Fondation Umoja, pour publier les Mémoires Juives de Mandela, un récit racontant l’histoire de Mandela, selon le point de vue de différentes personnalités juives qui ont fait partie de sa vie. Pour moi, en tant qu’auteur de ce livre, c’était un projet qui m’a énormément inspiré, l’un de ceux qui portent à la lumière, comme jamais auparavant, jusqu’à quel point des Juifs se sont engagés dans la cause de la libération des Noirs, tout en apportant un aperçu inédit, allant souvent très en profondeur, pour mieux connaître le genre d’homme et de dirigeant politique qu’est devenu Mandela.

Les Juifs ont fait partie de la vie de Mandela, depuis son arrivée à Johannesbourg, aux débuts des années 1940, jusqu’à ce jour.

C’est d’abord vers le Droit, plutôt que vers la politique, qu’il a initialement choisi de se tourner, et c’est Lazer Sidelsky qui lui a donné sa chance, à ses débuts, en tant que juriste stagiaire, au sein de son cabinet d’avocats, à une époque où il était proprement inouï que de jeunes Noirs soient embauchés pour exercer de telles aptitudes. Son juriste associé, Nat Bergman, est devenu son premier ami Blanc, à Johannesbourg et, alors membre du Parti Communiste, il a aussi joué une part importante dans sa formation politique.

Mandela a continué à étudier le Droit à l’Université du Witwatersrand, où il a établi des amitiés durables avec d’autres compagnons étudiants, Jules Browde et Harry Schwarz, tous deux s’étant, par la suite, profondément impliqués en faveur de politiques plus libérales.

Alors qu’il s’engageait, de plus en plus, dans le militantisme politique, Mandela s’est, de plus en plus, associé à d’autres membres de la Communauté Juive, qui, comme lui, faisaient face au système d’Apartheid. Treize de ses défenseurs les plus obstinés, lors de son procès pour haute trahison, entre 1956 et 1961, par exemple, étaient Juifs, dont, parmi eux, de fidèles partisans, tout au long de sa lutte, tels que Lionel Bernstein, Joe Slovo et Ruth First. Parmi les fondateurs de Umkhonto we Sizwe , la branche militaire clandestine du Congrès National Africain, ont trouvait Dennis Goldberg, Harold Wolpe et Arthur Goldreich (un volontaire de la Guerre d’Indépendance qui s’est, plus tard, définitivement installé en Israël).

Les avocats juifs ont joué un rôle déterminant, en s’impliquant dans la défense de Mandela, lors de divers procès politiques, où il était inculpé, dont, parmi eux, Isie Maisels (devenu, plus tard, membre de l’Agence Juive), Arthur Chaskalson, Joël Joffe et Sidney Kentridge. Il a aussi étroitement travaillé avec le journaliste Benjamin Pogrund, qui a, plus tard, fait son Aliyah et qui, au-delà du fait d’avoir milité pour le dialogue israélo-palestinien, a été un fervent défenseur d’Israël dans la guerre de propagande que cet état subissait et subit encore.

Après la sortie de prison de Mandela, en 1990, lui-même et le courant principal des dirigeants juifs ont forgé une relation cordiale et beaucoup d’hommes d’affaires juifs de premier plan ont été appelés à s’investir, pour répondre au legs de pauvreté et d’inégalité, laissé par le système d’Apartheid.

Il s’est rapproché, tout particulièrement, du Grand Rabbin Cyril Harris, un chef charismatique qui a adopté de tout son cœur le nouveau régime démocratique et a vivement encouragé la très grande majorité de la Communauté juive à en faire autant.

Le SAJBD a régulièrement rencontré Mandela et son cercle de dirigeants, aux côtés du Rabbin Harris, et l’a accompagné lors d’une visite en Israël, après sa démission, en tant que Président, en 1999.

Concernant la question palestino-israélienne, Mandela était profondément attaché à l’idée qu’il fallait atteindre un Etat palestinien, mais, en même temps, il reconnaissait que cela devait s’obtenir par le biais d’un processus de négociations pacifiques et n’a jamais transigé avec sa conviction du droit d’Israël à exister dans des frontières sûres et reconnues.

A la suite de sa rencontre avec Nelson Mandela, en 1996, le Dalaï Lama, le symbole révéré de la lutte pour l’Indépendance du Tibet, a déclaré que, lorsqu ‘il rencontrait des personnalités importantes à travers le monde, elles n’étaient pour la plupart, pas à la hauteur de leur réputation. La réputation de Nelson Mandela était la meilleure, dans le monde, a-t-il commenté, mais il n’y a que dans le cas de Mandela qu’il a réellement découvert que la personne était encore plus élevée que la réputation qui l’accompagnait.

Nelson Mandela est un véritable colosse sur la scène de l’Histoire.

La Communauté juive mondiale éprouve de la fierté quant au fait que nombre de ses membres ont contribué, de manière décisive, à tout ce qu’il s’est montré capable de réaliser, pour son propre peuple et pour l’humanité dans son ensemble.

Le rédacteur de ce billet est le Directeur associé du Bureau des Députés Juifs d’Afrique du Sud et auteur du livre de 2011 : “Les Mémoires Juives de Mandela”.

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty6/7/2013, 15:26

Manifestation devant la salle du jeu de Paume à Paris:
Suite aux menaces d’affrontement d’Europalestine, la manifestation qui était autorisée est annulée par la prefecture, par sécurité.
Les autorités françaises ont cédé aux menaces d’un groupuscule tel qu’Europalestine qui n’avait déposé aucune demande de manifestation et n’avait donc aucune autorisation.

Cette interdiction sous la menace est un nouveau recul de la démocratie et de l’exercice du droit de manifester pourtant inscrit dans notre Constitution.

La manifestation est reportée au 21 juillet à 15 H devant le musée.
Rappel: Le Musée du Jeu de Paume consacre une exposition photo à la mémoire (glorification) de terroristes palestiniens ayant fait des victimes innocentes civiles.
j'en ai déja parlé ici.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty6/7/2013, 22:10

source: europe-israel

Un enseigne de l'université de La rochelle, se retrouve ostracisé après avoir dénoncé l’antisémitisme manifeste d’une pièce de théâtre créée par des étudiants.
L’Université de La Rochelle se dieudonniserait-elle ?
Des étudiants prétendaient dénoncer sur un mode humoristique les dérives de la finance mondiale.
Le professeur en question est invité, avec d'autres, à voir la premiére de la piéce.
Il découvre un sujet bien différent .. à théme raciste.
Spoiler:

Il découvre alors des dialogues antisémites dignes des années 1940, ou d'odieux financiers juifs (qui portent justement le nom de… Goldberg – le nom de famille du professeur - sont-ils taquins, ces étudiants) sont prêts à tout pour s’enrichir, surtout sur le dos des enfants à naître ;et  un sordide juif religieux acceptant de renoncer à sa traque d’un (pauvre vieux) nazi en échange d’une liasse de billets… etc, etc.

une vingtaine de jeunes donnent cinq lectures publiques, devant environ 500 spectateurs, d'une pièce décrivant les forfaits d'une banque multinationale, Goldberg and Co, qui collabore avec la mafia et mise sur les enfants à naître. La fille du patron explique dans une longue tirade comment les Juifs ont échappé à la crise financière en se cachant et comment ils peuvent recommencer à tromper les peuples « parce qu’avec la Goldberg & Co, les affaires ne finissent jamais ». Dans la même pièce, on trouve aussi deux juifs orthodoxes, nommés "Cohen 1" et "Cohen 2". Vulgaires et stupides, ils passent leur temps à traquer un pauvre vieux cuisinier nazi qui est obligé de se cacher dans un bordel. « Pourquoi cette obsession, il faut savoir pardonner » lance un comédien à l'un des chasseurs de nazis. Il sort alors une liasse de billets et lui remet. Il accepte l'argent et serre la main du nazi...

Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, une pièce antisémite - que la plaquette de l'Université de La Rochelle présente comme une dénonciation de la folie du monde de la finance - a été financée, écrite et jouée en France, par des étudiants. Elle devait aussi ensuite être exportée au Quebec. Intitulée "Le rôle de vos enfants dans la reprise économique mondiale", la pièce a été écrite dans le cadre d'un atelier d'écriture animé par un auteur québécois.





Hé oui, en 2013, des étudiants peuvent encore, de nos jours écrire de tels textes racistes !
Incroyable mais vrai.

Le professeur alerte alors le président de l'université.
Celui-ci rétorque que si des passages sont génants, ce n'est pas antisémite.
Aprés avoir au final prévenu le journal Le Figaro, le professeur s'est retouvé accusé de.. salir la faculté et ceux qui ont créés la piéce raciste.
Quand même, quelle insupportable obsession chez ces Juifs de voir de l’antisémitisme partout !

Une réunion avec une médiatrice du ministére de l'enseignement n'a rien donné pour défendre le professeur attaqué qui a simplement dénoncé le racisme des dialogues.
Une page de soutien au professeur attaqué:
https://www.facebook.com/SoutienMichelGoldberg

si une université n'est pas capable de diffuser des valeurs morales, et appliquer des principes minimes, il y a quelque chose de pourri au royaume du danemark , comme on dit ..


Dernière édition par prinu le 7/7/2013, 02:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 01:07

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 J_Accuse-813KB-308x411

Les dossiers du B.I.D.E (bureau d'investigation de la défense des espéces):
voyage au centre de la c.. ulture

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 T_37026
ou:
qu'est ce qu'il en a dans le cigare

---

http://laregledujeu.org/bhl/2013/07/03/verite-mise-au-point/

source: la régle du jeu
Bernard-Henri Levy:
"Vérité", mise au point

La vérité. C’est le sujet qui compte. Le seul. Pour les philosophes, bien sûr. Mais aussi pour les peintres et les plasticiens. Avec trois grandes hypothèses, ou plutôt trois plus une, qui, depuis deux millénaires et demi que dure cette affaire, se disputent le territoire et les esprits.

La platonicienne, d’abord. Ou, ce qui revient au même, l’heideggérienne. Il y a une vérité. Ou, plus exactement, la vérité est une. Comme le Bien et le Beau, le Vrai se dit en un seul sens. Honneur à celui qui en est conscient. Bonheur de qui parvient à retirer le voile qui, sur nos yeux ou sur les choses, dérobait le vrai à nos regards et qui perce, ainsi, le chiffre de cette énigmatique, ténébreuse et obscure unité. Et malheur à celui qui, non content de n’y pas parvenir, regimbe, se cabre, refuse la sublime illumination, fait des manières, hésite, bredouille que ce n’est ni si simple ni si clair, qu’il a sa vérité à lui, qu’il y tient et que ce n’est jamais la même que celle de son voisin. Malheur, oui, parce qu’on ne badine pas avec le vrai. Malheur, vraiment malheur, parce que la vérité, alors, s’impose à coups de matraque. Origine des fanatismes. Matrice des despotismes, non seulement éclairés (je suis celui qui sait) mais consentis (comment se dérober, si elle est si évidente, si définitive, à cette lumière de la vérité ?).

La nietzschéenne, ensuite. Ou, ce qui revient au même, la sophistique. Car qu’est-ce, au fond, qu’un sophiste ? Ou, en langue moderne, un nietzschéen ? Quelqu’un dont le premier article de foi fait dire que la vérité est multiple, qu’elle se dit en plusieurs sens et qu’à chacun, au fond, revient et appartient sa vérité. Ma vérité. La tienne. Autant de vérités, en vérité, que de sujets parlants. Et, entre toutes ces vérités, une stricte équidistance, pour ne pas dire une équivalence et, donc, une indifférence. Même s’il s’agit d’un salaud ? D’un pervers ? D’un barbare ? Même s’il s’agit de Calliclès clamant que sa vérité, à lui, consiste à nier, annihiler, écraser celle de son prochain ? Mais oui. Non que l’on ait une dilection particulière pour Calliclès. Mais l’on s’est privé de tout moyen de faire la différence entre lui et Socrate. Ou entre celui dont la vérité est dans la justification du crime et celui qui tente d’y résister. C’est la matrice de tous les cynismes. Ou, mieux, de tous les perspectivismes, relativismes, culturalismes. C’est la justification du mensonge utile et des meurtriers délicats. C’est l’éternelle confusion de la loi et de la force. C’est dire au parlêtre non plus «est juste ce que tu dois» mais «est juste ce que tu peux». C’est l’autre version du pire.

Mais il y a encore l’hégélianisme. Ou, ce qui revient au même, cette vérité progressiste de la vérité qui s’est incarnée, par exemple, dans le marxisme. Elle est, comme chez Platon, une et unique. Mais, comme chez un nietzschéen elle se dit en plusieurs sens. Sauf que ces sens s’égrènent, s’affirment et se contredisent, s’imposent et puis s’annulent, non plus selon la subjectivité de chacun, son bon plaisir, son caprice, mais au fil d’un temps et dans la logique d’une dialectique qui mènent le bal dans notre dos. Tâtonnements et épanouissement. Ruses et, à la fin, triomphe. C’est une troisième hypothèse tragique. Car une troisième façon d’humilier, désavouer et, pourquoi pas, éliminer ceux des sujets parlants qui font l’erreur de rester fixés sur une étape ou une autre de ce déploiement du vrai. La vérité a des moments. Et le despote est de retour quand, au nom de cette vérité ultime dont il prétend connaître l’exact calendrier, il dit aux attardés, c’est-à-dire à ceux d’entre nous qui commettent l’erreur fatale de fétichiser l’un de ces moments passés et dépassés : «taisez-vous, écoutez, pliez» ou simplement : «avancez !». Qu’ont fait d’autre, tout au long du XXe siècle, les totalitarismes ?

Alors, il y a une autre voie. La quatrième. La dernière. Celle que j’ai passé ma vie à explorer et sur laquelle, trente-cinq ans après un «Testament de Dieu», écrit dans la grande ombre d’Emmanuel Levinas et de René Girard, je suis en train de revenir à travers une méditation et une enquête sur l’art. Je l’appelle la messianique. Elle s’accorde avec le platonisme sur le point, décisif, du désir de vrai, de la volonté de vérité – elle s’accorde en ceci que, pour elle aussi, une vie ne vaut d’être vécue que si elle met le vrai plus haut que le leurre et le semblant. Elle retrouve quelque chose du nietzschéisme en ceci que, le ciel s’étant vidé de ses Idées, ce vrai est incertain, jamais complètement assuré, car nulle part et en nulle langue inscrit en incontestables lettres – il revient à chacun, pour son compte, à ses frais, dans ses mots plus ou moins fiables, d’en tenter la périlleuse aventure. Qui dit aventure disant, par définition, histoire ou, en tout cas, dépliement d’un temps qui est le lieu même où doit se jouer ce grand jeu, cette quatrième voie n’est pas le contraire, non plus, de l’hégélienne et de sa façon de réserver à chaque temps, et à chaque moment du temps, un éclat brisé du vrai. Sauf (et c’est là, proprement, le messianisme) que les éclats restent épars, que les vases restent brisés et qu’il s’agit, cette fois, d’une histoire sans fin, d’une odyssée sans point de retour, d’une élévation sans parousie ni épiphanie, sans happy end ni même dénouement – et d’un horizon qui se dérobe à mesure que l’on croit s’en approcher.

Voilà où j’en suis. Et voilà ce qui se joue, vraiment, derrière les aventures de la vérité.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 01:49

http://laregledujeu.org/bhl/2013/06/26/lettre-a-un-ami-americain-sur-l’exception-culturelle/

source: la régle du jeu

Lettre à un ami américain sur l’exception culturelle

Bernard-Henri Lévy

J’aime l’Amérique.
Je hais l’antiaméricanisme, cet autre socialisme des imbéciles, contre lequel je me bats depuis trente ans.

Je fais partie de ces nombreux Européens qui savent que, sans culture américaine, il n’y a ni grande littérature des années 50 (Sartre, lecteur de Dos Passos…), ni cinéma français digne de ce nom (l’axe Truffaut-Hitchcock-Spielberg…), ni, évidemment, art moderne et postmoderne (Pollock et Franz Kline, donc Soulages et Simon Hantaï).

J’ajoute que je fais partie de ceux qui pensent que la meilleure manière pour une culture de se protéger est de rester dynamique, de gagner en vitalité et de dresser des barrières, non contre les autres cultures, mais contre cette sous-culture qui, elle, n’a pas de frontière et qui s’appelle, au choix, vulgarité ou crétinisme.

Je suis, malgré tout, partisan de l’exception culturelle telle que l’ont récemment définie Mme Filippetti et M. Hollande et je veux dire à mes amis américains pourquoi.

1. Parce que la culture vivante est un bien aussi précieux que cette culture morte, legs des âges anciens, dont nul ne conteste que la communauté internationale ait – à travers, notamment, l’Unesco – fait un «patrimoine mondial» qu’elle met un point d’honneur à préserver.

2. Parce qu’elle est un bien aussi rare que cette autre ressource rare que l’on appelle la nature et que les écologistes du monde entier ont le juste souci de sauvegarder – le film «The Artist», les livres d’Habermas ou d’Umberto Eco, la possibilité pour un écrivain ou un cinéaste français de ne pas être contraints d’écrire ou de tourner directement en mauvais anglais, ne méritent-ils pas ne serait-ce qu’un peu de l’énergie que vous mettez à préserver les réserves naturelles de Floride ou les bébés phoques de l’Antarctique ?

3. Parce qu’il est question, avec la culture, non d’un bien en général, mais d’une sorte de bien très spécial qui contribue à la dignité des hommes, à leur singularité éminente, à leur capacité à devenir ou demeurer des sujets de droit et de parole : le Wall Street Journal parle de «particularité française» ; il fait semblant de croire que les Français s’arc-bouteraient sur on ne sait quel «village gauloi » ou «petite différence» réactionnaire ; mais non ! ils défendent l’accès, pour le sujet parlant, n’importe quel sujet parlant, à l’Universel, le vrai Universel, pas l’universel facile du devenir-monde de la marchandise et du devenir-marchandise du monde ! ils défendent l’universalité de cette parole individuée, singulière, dont le scrupuleux respect figure dans le credo américain lui-même !

4. Parce que la culture, étant la condition du bien dire, son propre fondement, son socle, est aussi la possibilité de son commerce et de sa circulation : l’exception culturelle, en ce sens, ne va pas contre le libre-échange de la parole, elle le permet ; le fameux premier amendement de votre Constitution qui garantit la liberté d’expression, seule une culture vivante, donc protégée, est en mesure de le faire respecter ; en sorte que cette protection n’a rien à voir avec un protectionnisme et tout à voir, au contraire, avec un devoir démocratique bien compris – et compris, en particulier, au sens que vous, Américains, donnez au mot.

5. Parce que votre cinéma a tout à craindre, au passage, de la disparition de ce qui reste du cinéma européen : la vitalité de votre industrie des images n’a-t-elle pas été alimentée par la créativité d’un Rossellini, d’un Fellini, d’un Visconti ? la génération des Coppola, des Scorsese, des Lucas n’est-elle pas sortie de Cinecittà au moins autant que de Hollywood ? et la disparition de ce cinéma italien n’a-t-elle pas été une perte sèche, parfois une catastrophe, et une catastrophe qui se reproduirait si le cinéma français venait à s’éteindre à son tour, pour le cinéma américain et, donc, pour les Etats-Unis ?

6. Parce que votre culture, elle aussi, est menacée par le triomphe du Web ; parce qu’elle ne survivra pas, elle non plus, sans la création de fonds de soutien à ses éditeurs et ses studios ; parce que le recours au mécénat qui a fait la vitalité de votre système n’est plus adapté à la configuration nouvelle qu’induisent Internet et son industrie de la reproduction ; et parce que les dispositifs de défense de la culture imaginés par la France sont, pour vous aussi, quoique sous d’autres formes, une solution à la désertification de l’esprit qui menace.

Vous avez fini par réguler, après la crise de 2008, le fonctionnement des marchés financiers.

Eh bien, l’effondrement de l’industrie culturelle est, désormais, à l’ordre du jour ; et si rien n’est fait contre la dérégulation massive qu’induisent les nouvelles techniques de diffusion sur Internet, nous aurons droit, à court ou moyen terme, à une crise comparable, sur le plan culturel, à celle de 2008 sur le plan financier.

De deux choses l’une, amis américains.

Ou bien vous persévérez dans l’anarcho-capitalisme dont on sait qu’il nous a tous fait, en 2008, frôler l’abîme. Ou bien vous admettez que notre combat est votre combat et qu’en plaidant pour l’exception culturelle la France ne plaide pas pour la France mais pour le monde.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 12:47

Eh bien , je suis très heureux de constater que Bernard-Henri Levy évolue ...

Les tartes à la crème qu'il a reçues dans la figure n'auront peut-être pas été inutiles .
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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 20:04

c'est grace au belge
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 20:10

http://www.desinfos.com/spip.php?article36740
source:désinfos


http://yod.revues.org/1773

source: yod
Claude Lévi-Strauss : le judaïsme, le texte, l’ethnographie
Madalina Vârtejanu‑Joubert


Comment expliquer l’exclusion du judaïsme antique du domaine de l’anthropologie historique ? Parmi ces réponses, une retient en particulier notre attention, à savoir celle qui évoque la spécificité du judaïsme comme objet d’étude. C’est dans cette lignée que s’inscrit la position de Claude Lévi‑Strauss. Paradoxalement, il justifie théoriquement l’écart des sources hébraïques anciennes de son analyse structuraliste et en même temps, inspire un certain nombre de travaux qui mettent à profit la méthode structuraliste dans l’étude des textes du judaïsme ancien. Le présent article se propose de présenter ce dossier, celui du rapport de Lévi‑Strauss aux sources juives/hébraïques anciennes.

L’anthropologie du judaïsme ancien est, aujourd’hui encore, en quête de légitimité. En cela il fait figure à part dans l’étude de l’Antiquité, car l’anthropologie historique de la Grèce ou de la Rome antique sont des approches bien établies et reconnues parmi les historiens, voire au‑delà. Les raisons de cette absence demeurent en grande partie énigmatiques, car, d’une part, les pères fondateurs de l’anthropologie moderne sont juifs et, d’autre part, l’anthropologie culturelle de l’Antiquité émerge simultanément avec l’anthropologie moderne après la Deuxième Guerre mondiale. Toutes les prémisses « logiques » étaient réunies pour que le judaïsme antique fût lui aussi abordé au prisme de cette nouvelle discipline. L’historiographie du judaïsme évolua pourtant différemment : non seulement la tradition de critique littéraire submergea toutes les autres approches, mais l’anthropologie historique naissante elle‑même et l’anthropologie tout court ont exclu le judaïsme ancien de leurs préoccupations. Nous nous trouvons donc ici devant une triple question : comment expliquer le caractère dominant des disciplines du langage et de la littérature ? Comment expliquer l’exclusion du judaïsme de l’étude anthropologique ? Et enfin, comment expliquer l’exclusion du judaïsme antique du domaine de l’anthropologie historique ? Des réponses partielles ont été formulées pour chacune de ces questions, des hypothèses de travail qui devraient être validées ou invalidées par une étude systématique des archives d’auteurs et par la mise en contexte historique de leurs travaux1. Parmi ces réponses, une retient en particulier notre attention, à savoir celle qui évoque la spécificité du judaïsme comme objet d’étude2. Démarche scientifique légitime que celle de vouloir identifier les limites et le potentiel de chaque objet ou aire culturelle étudiés. Mais concernant l’objet qui nous intéresse ici, énoncer sa spécificité équivaut à décréter son incompatibilité avec l’étude dans le cadre de telle ou telle discipline, dont l’anthropologie3. C’est dans cette lignée que s’inscrit la position de Claude Lévi‑Strauss, non seulement père fondateur de l’anthropologie culturelle, mais aussi savant ayant inspiré, malgré lui sans doute, un certain nombre de recherches en anthropologie du judaïsme ancien. Paradoxalement, Lévi‑Strauss justifie théoriquement l’écart des sources hébraïques anciennes de son analyse structuraliste et en même temps, inspire un certain nombre de travaux qui mettent à profit la méthode structuraliste dans l’étude des textes du judaïsme ancien. Le présent article se propose de présenter ce dossier, celui du rapport de Lévi‑Strauss aux sources juives/hébraïques anciennes et de relever parfois la perplexité du lecteur devant la contradiction entre les tenants théoriques et les aboutissants pratiques de la méthode lévi‑straussienne.


La spécificité des textes juifs est abordée par Lévi‑Strauss dans quatre textes, dont le plus récent entièrement consacré à ce sujet. Il s’agit, par ordre chronologique, du débat organisé par Paul Ricœur autour de la méthode structuraliste, publié dans Esprit en 19634, de l’article intitulé « De la fidélité au texte », paru dans L’Homme en 19875, et de l’article « Exode sur Exode », paru dans la même revue l’année suivante6. Le regard que porte Lévi-Strauss est celui d’un spécialiste des mythes ; c’est pour cette raison que s’avère intéressante la mise en perspective de ses propos sur le judaïsme avec ses autres analyses, notamment dans Le Cru et le cuit7, premier volume de sa monumentale série Mythologiques. La lecture de l’ensemble de ces passages ne dénote pas une évolution de la pensée lévi‑straussienne à ce sujet, mais plutôt la récurrence d’un même paradoxe, celui entre le principe de la prudence comparatiste et la relativité de ce principe lorsqu’il doit être appliqué.

Commençons par l’entretien de Lévi‑Strauss avec le « groupe philosophique » de la revue Esprit, entretien qui porte au fond sur le domaine d’applicabilité de la méthode structurale : est‑elle universelle ? Est‑elle apte à rendre compte de toute pensée mythique ou, au contraire, sa pertinence se limite‑t‑elle au domaine américain (que Ricœur désigne comme domaine du totémisme) ? Malgré leurs divergences, Ricœur et Lévi‑Strauss sont d’accord au moins sur un point : la méthode structurale ne peut pas, en l’état, aider à comprendre certains pans de la pensée humaine. Leurs arguments se rejoignent partiellement.

Ricœur campe sa critique depuis les positions de sa propre méthode, l’herméneutique, considérant qu’une incompatibilité intrinsèque entre des objets différents limite la pertinence de la méthode structurale : « Pensez‑vous que ce soit un accident que justement les fonds préhellénique, indo‑européen, sémitique, aient permis toutes ces réinterprétations que nous ont données les philosophies, les théologies, etc. ? Est‑ce que cela ne tient pas justement à une richesse de contenu qui appelle une réflexion sur la sémantique même et non plus sur la syntaxe ? »

5Les arguments de Lévi‑Strauss sont plus complexes. Tout en acquiesçant à la remarque de son préopinant, il précise : « Le principe de la différence qu’il postule ne m’apparaît pas être dans les pensées elles‑mêmes, mais dans les situations variées où l’observateur se trouve vis‑à‑vis de ces pensées. » Il s’agit ici d’une thématique chère à Lévi‑Strauss, celle du point de vue de l’observateur : à ses yeux, il est impossible pour le chercheur de se pencher sur sa propre société, la posture de l’objectivité étant compatible uniquement avec le « dehors » et absolument pas avec le « dedans » :

Mais parce que là, nous sommes prisonniers de la subjectivité, nous ne pouvons pas, à la fois, essayer de comprendre les choses du dehors et du dedans ; et nous ne pouvons les comprendre du dedans que si nous sommes nés dedans, que si nous sommes effectivement dedans. L’entreprise qui consiste à essayer de transporter – si je puis dire – une intériorité particulière dans une intériorité générale me semble d’avance compromise8.


Il déclare s’abstenir « soigneusement » d’appliquer sa méthode aux textes mythiques de sa propre tradition. En réalité, Lévi‑Strauss tentera cette aventure, de manière sporadique dans ses Mythologiques et de manière systématique dans son article sur la circoncision de 1988. Ce texte, sur lequel nous reviendrons, donne l’impression d’un auteur apprenti sorcier, inquiet des conséquences de sa méthode et tentant d’en diminuer au maximum la portée épistémologique.

7Une première distinction qu’établit Lévi‑Strauss est donc celle entre la pensée qui fait l’objet de l’observation et l’observateur. Il établit une autre distinction, plus discutable elle, entre la pensée en soi et les supports de transmission de cette même pensée. C’est une des raisons qu’il invoque à l’appui de son refus d’inclure l’Ancien Testament dans ses analyses et un argument pour qualifier de « jeu » l’ouvrage de l’anthropologue anglais Edmund Leach, Lévi‑Strauss in the Garden of Eden. De la même manière qu’il met en motto de son « Exode sur l’Exode » une vieille acception de ce terme, puisée dans le Dictionnaire de Trévoux (1704) : « Parmi les Latins, exode a été pris dans un autre sens. C’était parmi eux à peu près ce que la Farce est parmi nous. » Pourquoi toute approche structurale de l’Ancien Testament serait‑elle un amusement, une plaisanterie, un jeu ? Voici le premier volet de sa réponse, avec nos soulignements :

D’abord, parce que l’Ancien Testament, qui met certainement en œuvre des matériaux mythiques, les reprend en vue d’une autre fin que celle qui fut originellement la leur. Des rédacteurs les ont, sans nul doute, déformés en les interprétant ; ces mythes ont donc été soumis, comme dit très bien M. Ricœur, à une opération intellectuelle. Il faudrait commencer par un travail préliminaire, visant à retrouver le résidu mythologique et archaïque sous‑jacent à la littérature biblique, ce qui ne peut évidemment être l’œuvre que d’un spécialiste9.

Ce court passage pose des questions épistémologiques extrêmement sérieuses. Qu’est‑ce qu’un « mythe » et qu’est‑ce qu’un « résidu mythique » ? Comment reconnaît‑on un matériau mythique « déformé » ?

10 « Des mythes “historisés”, nous en connaissons beaucoup par le monde ; il est tout à fait frappant, (...)
9La problématique de la multiple rédaction de l’Ancien Testament/Bible hébraïque n’est pas nouvelle à l’époque de Lévi‑Strauss et on peut supposer qu’il était au fait au moins de ce principe sinon des acquis de l’exégèse biblique. Mais ce n’est pas cet énoncé général qui peut nous aider à déchiffrer ce passage qui exclut la méthode structurale du domaine biblique et juif. Malheureusement, jamais Lévi‑Strauss ne donnera plus de détails sur la manière dont il conçoit l’interdépendance subsistant entre un palimpseste textuel – en occurrence la Bible – et l’analyse structurale. Nous en sommes réduits aux hypothèses10.

À défaut d’une définition théorique du « résidu mythique »11, on peut penser que cette phrase fait allusion à une opinion scientifique déjà établie, celle de l’historicisation des mythes hébreux. Selon cette interprétation, les mythes qui, à l’origine, prenaient comme support les phénomènes de la nature sont associés à un événement de la vie d’un peuple. Par exemple, à la fête de l’équinoxe de printemps célébrant le renouvellement de la nature, on a associé la sortie d’Égypte et de cette synthèse est née la Pâque/Pessah. De même a‑t‑on associé, à l’époque hellénistique, la fête de la lumière au moment du solstice d’hiver à la reconquête de l’indépendance nationale sous les Maccabées symbolisée par le miracle de la lumière lors de la purification du Temple, Hanouka. Il est cependant plus difficile de distinguer entre une phase naturelle et une phase historicisante des mythes dans le cas, par exemple, du récit de la cosmogonie biblique ou dans celui de la sortie d’Abraham d’Our en Chaldée. Devrait‑on par conséquent distinguer au préalable entre un mythe et un récit ? Lévi‑Strauss semble attaché à cette distinction :

Même dans la mythologie dont traitera presque entièrement mon prochain livre, je veux dire celle de l’Amérique tropicale, j’aperçois des niveaux hétérogènes. Aussi, je préfère laisser de côté certains textes, au moins provisoirement, parce que leur organisation interne semble relever d’autres principes ; il existe en Amérique du Sud une littérature presque romanesque mêlée aux mythes qui, peut‑être, est passible de l’analyse structurale, mais alors d’une analyse structurale transformée et affinée, que je n’ose aborder pour le moment12.  

L’analyse structurale suppose donc que le mythe soit préservé dans sa forme littéraire pure. Un roman, une saga, une légende ne sont pas justiciables, selon Lévi‑Strauss, de la même méthode que le mythe, car l’identification des oppositions binaires serait impossible. Pour qu’un sens se dégage du mythe, il faut qu’on puisse identifier la position de chaque élément par rapport à son opposé, par rapport à ce qu’il n’est pas. Or, Lévi‑Strauss attribue cette propriété uniquement au mythe, qu’il entend sous l’angle de la forme d’expression – du genre littéraire en somme. Pour cette raison, il n’inclut pas dans ses analyses de la transformation des mythes sur le continent américain toute une littérature de l’Amérique centrale qui lui semble relever non seulement d’un genre différent, mais aussi d’une organisation étatique absente dans les sociétés tribales à dominante « mythologique ». Son disciple Pierre Clastres va développer cette idée en théorisant sur le rapport existant entre les formes d’expression littéraire et la naissance de l’État13.

12La question de la pureté littéraire des mythes comme condition préliminaire à toute analyse structurale débouche sur la question des rapports entre approche synchronique et approche diachronique. Lévi‑Strauss conçoit un certain ordre épistémologique au sein duquel l’étude typologique précède nécessairement l’étude historique :

Je dis souvent à mes étudiants qu’il n’y aurait pas eu un Darwin s’il n’y avait pas eu d’abord un Linné ; on n’aurait pas pu poser le problème de l’évolution des espèces si on n’avait pas commencé par définir ce qu’on entend par espèce et par faire une typologie14.

On comprend pourquoi la notion d’hybridité littéraire et de palimpseste pose à Lévi‑Strauss un problème épistémologique de premier ordre. La question qui se pose aux biblistes en retour est de savoir si postuler une forme finale du texte et lui appliquer une analyse structurale est pertinent. De quoi une telle analyse est‑elle le reflet ? Si Lévi‑Strauss analysait les mythes pour nous dévoiler une forme de pensée particulière, distincte du raisonnement causal, quelle est la portée d’une analyse structurale de tout récit pris dans sa forme finale ? Des biblistes se sont exercés à l’analyse structurale des récits bibliques15, mais ces questions attendent encore leurs hypothèses explicatives.

16 Entretien Esprit, p. 4.
14Les conflits entre mythe et récit d’une part, entre structure et histoire d’autre part, forment le premier volet des arguments de Lévi‑Strauss à l’encontre d’une étude structurale de la Bible. Il existe un deuxième volet argumentatif, formulé lui aussi dans l’entretien autour du groupe philosophique de la revue Esprit16 :

[…] Il me semble qu’une entreprise de cet ordre implique une sorte de cercle vicieux qui tient au fait qu’à mes yeux – et c’est peut‑être là un point de désaccord avec M. Ricœur –, les symboles – pour reprendre un terme qu’il affectionne – n’offrent jamais une signification intrinsèque. Leur sens ne peut être que « de position » et, par conséquent, il ne nous est pas accessible dans les mythes mêmes, mais par référence au contexte ethnographique (n. s.), c’est‑à‑dire ce que nous pouvons connaître du genre de vie, des techniques, des rites et de l’organisation sociale des sociétés dont nous voulons analyser les mythes. Dans le cas de l’ancien judaïsme (n. s.), nous nous heurterions à une situation paradoxale, puisque le contexte ethnographique fait presque entièrement défaut (n. s.), sinon celui, précisément, qu’on peut extraire des textes bibliques. Toutes nos hypothèses reposeraient donc sur une pétition de principe. Ce que je viens de dire pour la Bible peut être étendu à d’autres sources mythologiques : les grands textes de l’Inde ancienne, les classiques de la protohistoire japonaise, Kojiki et Nihongi, et bien d’autres choses. Il y a donc une masse considérable de matériaux que je me suis abstenu d’attaquer, je le répète : d’une part en raison de l’absence de contexte ethnographique et d’autre part, parce qu’ils réclameraient une exégèse préalable que l’ethnologue n’est pas qualifié pour entreprendre.

Lévi‑Strauss adopte ici une position minimaliste en ce qui concerne les textes du judaïsme ancien, sous‑entendu la Bible hébraïque. Il convoque ainsi un débat de fond, mais en bonne mesure aporétique : aucune règle formelle n’a pu être établie pour normaliser l’interprétation historique des textes antiques. Cela ne revient pas nécessairement à dire que ceux‑ci n’ont aucun ancrage historique. Lévi‑Strauss semble regretter l’impossibilité de les confronter aux observations sur le vif d’un enquêteur ethnographe. Dans un autre article, « De la fidélité au texte » (1987), l’anthropologue oppose non seulement le domaine antique de l’historien au domaine contemporain de l’ethnologue, mais aussi le domaine juif au domaine grec et romain :

17 Michael P. Carroll, “A Structuralist Exercise: the Problem of Moses’ Name”, American Ethnologist 12 (...)
18 « De la fidélité au texte », p. 132.
Michael P. Carroll (1985, 77517) se trompe quand il m’attribue l’idée que seuls les mythes provenant des sociétés naguère appelées par moi « froides » peuvent faire l’objet d’une analyse structurale. J’ai dit tout autre chose : l’analyse structurale requiert un contexte ethnographique indépendant de la matière mythique elle‑même. J’écarte pour cette raison l’Ancien Testament – pratiquement notre seule source sur les anciens Hébreux – où tout est mélangé, de sorte qu’on peut toujours douter si les informations d’allure ethnographique ne font pas partie du matériel mythique qu’elles devraient servir à éclairer. Mais, pour se limiter à deux exemples, la Grèce et la Rome anciennes n’étaient certainement pas des sociétés « froides ». Nous possédons toutefois sur elles des informations ethnographiques très riches et indépendantes de leurs mythes dont G. Dumézil pour Rome, J.‑P. Vernant, M. Détienne, P. Vidal‑Naquet et d’autres pour la Grèce, conduisent dans le plus pur esprit structural des analyses exemplaires18.  

Cette phrase est tout aussi déconcertante que la citation précédente. Car peut‑on parler d’information « ethnographique » en ce qui concerne la Grèce et Rome ? Et de surcroît, d’une information totalement « distincte » des « mythes » ? C’est là un propos heuristique difficilement défendable19. Par ailleurs, le projet de ces anthropologues du monde antique semble différent de celui de Lévi‑Strauss qui voit dans l’apport de l’ethnographie une confirmation ou non des données empiriques contenues dans les mythes. Prenons par exemple Vidal‑Naquet et son « Avant‑propos » au Chasseur noir. Tout en reconnaissant sa dette envers le structuralisme, son projet n’est pas d’étudier les mythes en soi, mais d’établir des rapports entre les formes de pensée et les formes de société : « Quoi de plus abstrait, en principe, qu’une théorie de l’espace, quoi de plus concret qu’une bataille victorieuse ? » Ou encore : « Telle a, en effet, été mon ambition : faire communiquer ce qui ne communique pas naturellement, selon les critères habituels du jugement historique […] »20.

21 Mary Douglas, Purity and Danger: An Analysis of the Concepts of Pollution and Taboo, Londres, 1966 (...)
17Pour revenir à la Bible, l’argument portant sur l’absence de source alternative n’est pas défendable, car déjà à l’époque – les années 1960 – l’épigraphie sémitique avait pris son essor et les manuscrits de la mer Morte commençaient à être connus. De surcroît, la Bible elle‑même n’est pas un corpus monolithique, mais multiforme, renfermant des documents de différentes époques qui, par endroits, se recoupent ou se commentent les uns les autres. Naviguer entre surinterprétation et hypercritique est une entreprise difficile, mais dont il n’est pas sage de faire l’économie. Des tentatives de sortir de ce cercle vicieux ont été couronnées de succès et nous pensons particulièrement à l’œuvre de Mary Douglas21. Pour l’heure il nous semble intéressant de nous attarder sur la manière dont Lévi‑Strauss applique par ailleurs ce principe qu’on pourrait appeler « ethnographique ». On constate que ses ouvrages sont souvent accompagnés d’un appendice illustrant et répertoriant les animaux et les plantes qui figurent dans les mythes analysés. Mais le rapport du mythe à la réalité est hautement complexe et il s’avère qu’en règle générale,

[…] le système mythologique possède une autonomie relative par rapport aux autres manifestations de la vie et de la pensée du groupe. Toutes sont jusqu’à un certain point solidaires, mais cette solidarité ne résulte pas dans des rapports rigides, imposant des ajustements automatiques entre les niveaux. Il s’agit plutôt de contraintes à long terme, dans les limites desquelles le système mythologique peut, en quelque sorte, dialoguer avec lui‑même et s’approfondir dialectiquement22.

Les mythes ne reflètent pas automatiquement la réalité sociale et le premier volume des Mythologiques foisonne d’exemples en ce sens, Lévi‑Strauss étant soucieux de relever cette caractéristique de la matière étudiée. Notons un seul de ces exemples : le passage du continu au discret, symbole du passage de la nature à la culture, dans les mythes Tikopia et Ojibwa. Chez les Tikopia, les ancêtres avaient réussi à garder uniquement quatre plantes totémiques lorsque les innombrables nourritures furent volées par un dieu étranger. Le nombre quatre correspond réellement à celui des clans et le mythe « doit franchir, mais à grand prix, le fossé qui sépare l’imaginaire du vécu » (p. 61). Chez les Ojibwa en revanche, « pour que les 5 grands clans dont ils croient leur société issue puissent se constituer, il fallut que 6 personnages surnaturels ne fussent plus que 5, et que l’un d’eux fût chassé ». Seulement « les 5 clans primitifs ne sont pas plus réels que les 6 êtres surnaturels ». En conclusion, dans le cas des Tikopia « on va du mythe à la réalité » et dans le cas des Ojibwa « on ne sort pas du mythe » (p. 62). Cet exemple illustre bien l’ambiguïté des rapports entre mythe et réalité sociale, mais aussi la posture paradoxale du savoir ethnographique : il sert non seulement à vérifier les correspondances, mais surtout à souligner les divergences entre ces deux domaines de l’existence humaine. Mais l’absence de contexte ethnographique affecterait‑elle fondamentalement l’analyse des mythes ? Dans l’exemple invoqué ici, la confrontation avec la réalité aide à comprendre pourquoi les Tikopia partent de l’infini pour aboutir à 4 et pourquoi les Ojibwa se contentent d’un passage de 6 à 5 : le passage de l’imaginaire au vécu est plus ou moins important quantitativement. Mais en dehors de ce corollaire, l’analyse structurale n’est pas dépendante de la confrontation avec la réalité ethnographique ; au contraire, un certain nombre d’invariants sont ainsi mis en lumière, comme le personnage du médiateur ayant un défaut physique, ce qui est un trait récurrent des mythes amérindiens, mais aussi des autres cultures :

Aveugles et boiteux, borgnes ou manchots, sont des figures mythologiques fréquentes par le monde et qui nous déconcertent parce que leur état nous apparaît comme une carence. Mais, de même qu’un système rendu discret par soustraction d’éléments devient logiquement plus riche, bien qu’il soit numériquement plus pauvre, de même les mythes confèrent souvent aux infirmes et aux malades une signification positive : ils incarnent des modes de la médiation23.  

19Dans un autre chapitre, Lévi‑Strauss explique la signification du chromatisme du poison en partant des mythes amérindiens pour aboutir à la légende de Tristan et Iseut :

24 Ibid. p. 287.
Nous n’irons pas jusqu’à suggérer qu’Iseut est réductible à la « fonction de sarigue ». Mais, que l’analyse des mythes sud‑américains nous ait amené à faire du poison de pêche ou de chasse une variante combinatoire du séducteur, empoisonneur de l’ordre social, et qu’entre nature et culture, l’un et l’autre sont apparus comme deux modalités du règne des petits intervalles, est bien pour convaincre que le philtre d’amour et le philtre de mort sont interchangeables pour d’autres raisons que celles tirées de la simple opportunité et donne à réfléchir sur les causes profondes du chromatisme de Tristan24.

25
Enfin, dans le dernier chapitre de Le Cru et le cuit il analyse non seulement des mythes, mais des coutumes populaires liées au mariage en France, en Afrique et dans d’autres civilisations, coutumes dont la signification se déploie en situant l’analyse à un niveau élevé de généralisation, au‑delà du domaine empirique et ethnographique25.

21Tout ceci nous amène à l’approche théorique qui fonde chez Lévi‑Strauss la comparaison. Sa position est clairement formulée dans son article de 1988, « Exode sur Exode », à savoir « généraliser d’abord et comparer ensuite » :

26 « Exode sur Exode », p. 19‑20.
[…] comparer non des rites qui superficiellement se ressemblent, mais qui diffèrent au point qu’à l’époque de Frazer, les ouvrages d’ethnologie les auraient traités séparément : le rite de circoncision à propos des mutilations corporelles, le rite d’imposition de l’étui à propos du costume ou bien des parures et des ornements. Derrière ces différences de surface, seule une critique interne permet d’atteindre un schème invariant. On se demande à quelles conditions plusieurs usages, mythes ou rites, convenablement redéfinis, pourraient être mutuellement convertibles. Et c’est cette invariance découverte à un niveau profond qui autorise et légitime le travail de comparaison. Chez Frazer (pour l’œuvre monumentale duquel rien ne peut ébranler notre admiration), un comparatisme à fleur de peau pousse à des généralisations souvent prématurées. Je procède à l’inverse : généraliser d’abord et comparer ensuite26.

C’est l’appartenance des deux rites à un schème invariant qui autorise leur comparaison : ajout ou retrait d’un prépuce culturel. Ce rite se concrétise par l’imposition d’un étui pénien chez les Bororo et par la circoncision chez les Hébreux et « répond au même projet : marquer la verge d’un signe culturel ».

27 C’est en ces termes que Lévi‑Strauss décrit la situation, « Exode sur Exode », p. 14 :
« […] “scèn (...)
23Quel sens donner à ce rite, au‑delà de celui générique de parfaire culturellement la distinction entre le masculin et le féminin ? Lévi‑Strauss montre que si les chercheurs n’ont pas pu avancer une seule et unique réponse, cela est dû aux difficultés et aux ambiguïtés du texte hébraïque d’un côté, des témoignages des informateurs Bororo de l’autre. Dans le premier cas, celui du passage biblique (Exode 4.24‑26), les philologues s’avouent dans l’impossibilité de comprendre ces versets « énigmatiques »27.

וַיְהִי בַדֶּרֶךְ בַּמָּלוֹן וַיִּפְגְּשֵׁהוּ יְהוָה וַיְבַקֵּשׁ הֲמִיתוֹ.
וַתִּקַּח צִפֹּרָה צֹר וַתִּכְרֹת אֶת‑עָרְלַת בְּנָהּ וַתַּגַּע לְרַגְלָיו וַתֹּאמֶר כִּי חֲתַן‑דָּמִים אַתָּה לִי.
וַיִּרֶף מִמֶּנּוּ אָז אָמְרָה חֲתַן דָּמִים לַמּוּלֹת.
Or, en chemin, à la halte, le Seigneur l’aborda et chercha à le faire mourir. Séphora prit un silex, coupa le prépuce de son fils et lui toucha les pieds en disant : « Tu es pour moi un époux de sang. » Et il le laissa. Elle disait alors « époux de sang » à propos de la circoncision.

Plusieurs mots et expressions font difficulté, à commencer par les pronoms personnels qui ne désignent pas explicitement leur référent, pour continuer avec l’attaque meurtrière de Dieu envers le personnage principal et finir avec la mystérieuse expression « époux de sang ». Chacune de ces difficultés trouve son pendant dans le cas du rituel bororo car les récits des informateurs à leur tour ne sont pas univoques, ni limpides. Les témoignages se comportent ici comme un texte ancien, avec ses obscurités et ses variantes.

28 Ibid. p. 20.
29 Nous insérons ici une longue citation de Lévi‑Strauss, « Exode sur Exode », p. 15, qui éclaire ce p (...)
25Dans la religion bororo, lors de la remise de l’étui pénien « on conduit le parrain sur la place du village, on lui remet le bourgeon en prononçant des paroles rituelles que les informateurs traduisent : “Celui‑ci, celui‑ci même sera ton épouse”»28. Il est évident que le texte biblique ancien et le « texte » bororo moderne soulèvent les mêmes perplexités : qui est l’épouse dans la phrase du parrain bororo et qui est « l’époux de sang » de Séphora ? Aucune unanimité historiographique n’a été acquise ni dans un cas, ni dans l’autre. On retient cependant, avec Lévi‑Strauss, que les deux sources établissent un lien entre leurs rituels respectifs et le mariage29.

30 Ibid. p. 19.
26Enfin, les deux rituels font vraisemblablement partie intégrante d’un processus d’initiation dont une des étapes serait l’attaque du novice par un être divin : d’une part, la circoncision du fils de Séphora intervient après l’attaque meurtrière de Dieu contre lui et, d’autre part, l’imposition de l’étui pénien chez les Bororo intervient après la confrontation rituelle entre les novices et le monstre aije. La remarque de Lévi‑Strauss à ce propos suggère le processus de rationalisation des textes mythologiques dans la Bible : « La correspondance avec Exode iv serait complète si l’on pouvait imaginer qu’au cours de très anciens rites d’initiation, le jeune Hébreu était confronté à un monstre que les rédacteurs de la Bible auraient en quelque sorte théologisé»30.

On l’aura compris, la méthode comparatiste de Lévi‑Strauss part de l’identification de schèmes invariants et rejette l’empirisme superficiel et simplificateur. Si le retrait du prépuce et l’imposition de l’étui pénien sont comparables, c’est parce que, en tant que « pratiques inverses l’une de l’autre », ils représentent des « variantes combinatoires » d’un schème unique, identifiable seulement si on va au‑delà des apparences. Ces deux pratiques appartiennent au « même champ sémantique » et c’est uniquement cette appartenance qui « autorise à les comparer »31. Mais cette comparaison « à la source » est complétée dans le cas précis qu’analyse ici Lévi‑Strauss par la comparaison des interrogations et des difficultés d’interprétation suscitées par les deux corpus – le texte biblique et les récits des informateurs bororo :

32 Ibid. p. 20.
Quand on les superpose, elles reconstituent sur un nouveau plan cette identité sous‑jacente qu’une démarche hypothético‑déductive avait permis de postuler : à des exégètes qu’éloignent leurs domaines d’étude respectifs et leur formation intellectuelle, l’interprétation de rites différents pose, on l’a vu, les mêmes questions32.

28Comment expliquer cette double coïncidence ? Lévi‑Strauss est à ce sujet, plus que prudent, déconcertant le lecteur par ses rétractations.

Quelles conséquences pourra‑t‑on tirer de ce rapprochement ? Certainement pas que les difficultés du texte ancien éclairent les aspects énigmatiques du rite contemporain ou le contraire. Le parallélisme que j’entends souligner n’est probablement qu’une curiosité.

Que conclure de ce parallèle ? Rien sans doute, sinon que dans l’ordre des représentations collectives, il permet d’observer un phénomène non dépourvu d’analogie avec un autre que mutatis mutandis les amateurs de kaléidoscope se plaisent parfois à imaginer33.

34 Voir l’article de Daniel Boyarin.
35 « Exode sur Exode », p. 21.
29Ne nous méprenons cependant pas. À la manière du rabbin maniant le spoudogeloion34, Lévi‑Strauss mélange dans un même propos le sérieux et le dérisoire. Dans la dernière phrase de son article, il considère sa démarche comme la possibilité d’« offrir une sorte de confirmation expérimentale de principes théoriques et méthodologiques qu’on n’a pas oubliés en écrivant cette fantaisie »35. Loin de vider complètement sa démarche de sens, Lévi‑Strauss avance des explications qui devront faire réfléchir davantage les chercheurs en études juives, antiques ou modernes. Son hypothèse pour expliquer l’existence d’un schème invariant supportant la comparaison fait appel à une idée qui lui est chère : l’autonomie de la pensée par rapport aux autres composantes de la vie sociale et son fonctionnement au moyen de permutations entre des éléments existant en nombre limité. Ainsi,

36 Ibid. p. 15.
si un enseignement s’en dégage, il se réduira à la constatation souvent faite que dans le domaine des croyances religieuses et des actions rituelles où la pensée, relativement affranchie des contraintes du milieu, paraît avoir le champ libre, elle reste néanmoins soumise à des lois propres. La récurrence des mêmes problèmes d’interprétation, posés par des sociétés fort éloignées dans le temps et dans l’espace, vient donc appuyer l’hypothèse que des cadres logiques astreignent le pouvoir créateur de l’esprit à des cheminements obligés36.

Ces cadres logiques contraignants font en sorte que

37 Ibid. p. 21.
même si cela a peu de chances de se produire, il suffit que les petites pièces translucides emprisonnées derrière le verre soient en nombre fini pour qu’on puisse au moins rêver qu’après des secousses ou des rotations plus ou moins nombreuses imprimées au tube, la même configuration réapparaîtra, ou bien une configuration symétrique avec une autre, que ce soit par la forme ou par les couleurs. Nonobstant d’énormes écarts de temps et de lieux, rien n’exclut non plus que des configurations identiques apparaissent dans les mœurs, les croyances, les mythes et les rites, si les éléments de la combinatoire à quoi les hommes dépensent une bonne partie de leur activité mentale n’existent pas en nombre illimité37. (« Exode sur Exode », p. 21)

En ce qui concerne le comparatisme en aval, celui visant les questionnements des chercheurs, Lévi‑Strauss formule là aussi des hypothèses dignes d’intérêt pour les hébraïsants. Pour expliquer les obscurités du passage biblique étudié, il adopte une des positions classiques chez les antiquisants, mettant celles‑là sur le compte d’un « rédacteur qui ne comprenait probablement plus une tradition dont ne subsistaient que des bribes, ou qu’il a délibérément laissée dans le vague parce qu’elle heurtait les idées reçues »38. Si, pour la Bible, l’éloignement dans le temps et le processus de rédaction sont un recours habituel pour rendre compte des difficultés textuelles, ces justifications ne peuvent pas être invoquées dans le cas des ambiguïtés des récits bororo. La multiplicité des variantes s’explique autrement : « Force est donc de reconnaître que les sages bororo auxquels on eut recours ne comprenaient pas tous leurs rites de la même façon »39. Synchronisme des variantes qui s’explique à son tour par une approche dynamique du rite :

40 Ibid. p. 21.
À supposer – mais rien n’y oblige – que le rite de l’étui ait eu jadis pour les Bororo une signification non équivoque, nous avons dû constater qu’au cours des temps, cette hypothétique signification première a éclaté et qu’elle en a engendré plusieurs. Un système rituel qui se réalise hic et nunc parmi d’autres possibles conserve un dynamisme interne. Il engendre à son tour des significations également possibles qui toutes, ou certaines d’entre elles, s’actualisent dans l’esprit des interprètes : ceux du cru et ceux du dehors. Or, chez les uns et les autres, ces significations qu’on pourrait dire elles aussi précontraintes viennent se couler dans le même moule40.

Le rite est abordé ici comme un texte et, finalement, comme un mythe. Sujet à des interprétations, celles‑ci obéissent aux mêmes lois combinatoires que celles qui président à la variation des mythes. Lévi‑Strauss ne considère pas la variation des interprétations rituelles comme une « évolution », mais comme une permutation entre des options logiques prédéterminées. Tout autre sera l’approche de l’anthropologue britannique Mary Douglas qui, tout en adoptant le structuralisme lévi‑straussien, le modifiera en prenant en considération le déterminisme social des formes de pensée et en associant le structuralisme au fonctionnalisme. Mary Douglas a pleinement et sans préalable abordé les sources bibliques, mettant en parallèle « corps physique » régi par les règles de pureté et « corps social » régi par les menaces externes ou internes d’anéantissement. L’œuvre de Mary Douglas et ses fondements théoriques ne font pas l’objet de cet article et nous n’entrerons pas dans les détails. Mais il fallait en faire mention pour montrer à la fois le prolongement de la méthode lévi‑straussienne et son dépassement41. Sans « faire école » à proprement parler, les travaux de Mary Douglas sont devenus classiques parmi les hébraïsants et les biblistes42.

32Pour résumer la démarche de Lévi‑Strauss dans le domaine du judaïsme antique, c’est toujours le mot paradoxe qui s’impose. Tout d’abord celui du refus programmatique de les aborder, pour les raisons développées ci‑dessus, et le fait de les aborder quand même. Ensuite, le paradoxe de la cohérence théorique de sa démarche et sa minimisation – « une fantaisie », écrit‑il. Enfin, le paradoxe du fait que son œuvre a inspiré le fonctionnalisme anglais et que celui‑ci a cherché constamment à le dépasser.

Notes
1 Lévi‑Strauss formule dans une interview au Nouvel Observateur, 5 juillet 1980, deux hypothèses explicatives à la prééminence de chercheurs juifs dans le domaine de la sociologie et de l’anthropologie :
NO : Dans ses Réflexions, Sartre prétendait en substance que le juif est spontanément ethnologue. Et, de fait, vos pères en cette discipline – Durkheim et Lévy‑Bruhl – étaient, comme vous, juifs…
CLS : Vous pourriez ajouter Boas et Mauss, mais aussi un nombre beaucoup plus élevé d’ethnologues non juifs, Morgan, Tylor et, plus près de nous, Rivet, Leenhardt, Rivers, Malinowski, Kroeber, Radcliffe‑Brown, Evans‑Pritchard, Linton, Murdock, Mead… J’admets qu’en sociologie et en ethnologie on compte une proportion notable de juifs. Peut‑être ne faut‑il pas y attacher plus d’importance qu’à la proportion notable de noms doubles parmi les ethnologues. Il me semble, toutefois, qu’on peut proposer deux explications. En premier lieu, la promotion sociale des juifs, au xixe siècle, a coïncidé avec la constitution des sciences sociales comme disciplines de plein droit. Il y avait donc là une « niche » – au sens écologique du terme – en partie vacante et où de nouveaux venus pouvaient s’établir sans se heurter à une trop rude compétition. En second lieu, il faut considérer les effets psychologiques et moraux de l’antisémitisme dont, comme tant d’autres, j’ai fait, dès l’enfance, l’expérience intermittente à l’école primaire et au lycée. Se découvrir subitement contesté par une communauté dont on croyait être partie intégrante peut conduire un jeune esprit à prendre quelque distance à l’égard de la réalité sociale, contraint qu’il est de la considérer simultanément du dedans où il la sent et du dehors où on le met.
Voir aussi Tobie Nathan, « Quelques grandes voix juives en matière d’anthropologie et d’ethnopsychiatrie », conférence lors de la journée de la francophonie « Les grandes voix juives francophones », 19 mars 2009, Collège académique de Netanya, http://www.ethnopsychiatrie.net/Gdesvoixjves.htm.

2 Cette question perdure encore aujourd’hui sous la forme de la « spécificité de l’État d’Israël comme objet d’étude ». Voir par exemple les débats et les conférences organisés à l’Université de Brandeis.

3 Récemment encore, Leon Wieseltier ne reconnaît pas la légitimité de l’étude du corps dans le judaïsme : « La vie du juif se concevait comme une grande saga de l’engagement entre forme et matière, entre corps et âme. […] Le Juif était une unité psychosomatique », Jewish Quarterly Review, 95/5, 2005, p. 437.

4 « Autour de la Pensée sauvage. Réponses à quelques questions, Entretien du “groupe philosophique” Esprit avec Claude Lévi‑Strauss (novembre 1963) », Esprit 322, 1963, p. 628‑653, http://www.fondsricoeur.fr/photo/pensee%20sauvage(1).pdf. Voir aussi le dossier « Claude Lévi‑Strauss, une anthropologie “bonne à penser” », Esprit, no 1, 2004.

5 Claude Lévi‑Strauss, « De la fidélité au texte », L’Homme, vol. 27, no 101, 1987, p. 117‑140. (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1987_num_27_101_368769)

6 Claude Lévi‑Strauss, « Exode sur Exode », L’Homme, vol. 28, no 106‑107, 1988, p. 13‑23. (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/hom_0439-4216_1988_num106_368967)

7 Claude Lévi‑Strauss, Mythologiques 1 : Le Cru et le cuit, Paris, Plon, 1964, réimpression 2001.

8 Entretien Esprit p. 7.

9 Ibid. p. 3.

10 « Des mythes “historisés”, nous en connaissons beaucoup par le monde ; il est tout à fait frappant, par exemple, que la mythologie des Indiens Zuni du sud‑ouest des États‑Unis ait été ‘historisée’ (à partir de matériaux qui, ailleurs, ne le sont pas au même degré) par des théologiens indigènes, d’une manière comparable à celle d’autres théologiens, à partir des mythes des ancêtres d’Israël. Il me semble donc que la différence, telle qu’elle apparaît dans votre étude, ne tient pas tellement à l’existence d’une histoire dans la mythologie (car même les mythes australiens les plus ‘totémiques’ racontent une histoire, ils sont dans la temporalité), mais au fait que cette histoire est, soit refermée sur elle‑même, verrouillée par le mythe, soit laissée ouverte, comme une porte sur l’avenir. » Ibid. p. 6.

11 Mais voir par exemple une opinion très proche chez S. R. Driver, The Book of Genesis, Londres, Methuen, 1926, p. 83: “As a rule, the Hebrew narrators stripped off the mythological colouring of the pieces of the folklore which they record ; but in the presence instance it is still discernible.”

12 Ibid. p. 3.

13 Pierre Clastres, La Société contre l’État, Paris, Minuit, 1974.

14 Entretien Esprit, p. 8.

15 Voir par exemple David Jobling, The Sense of Biblical Narrative: Structural Analysis in the Hebrew Bible, Sheffield, 1986 ; David M. Gunn, The Fate of King Saul. An Interpretation of a Biblical Story, Sheffield, 1980 ; Aharon H. Fish, « Eldad et Medad prophétisent dans le camp. Analyse structuraliste de Nombres 11 », in Uriel Simon (éd.), Studies in Bible Exegesis Presented to Yehuda Elitzur, Ramat Gan, 1986, pp. 45‑55 (en hébreu).

16 Entretien Esprit, p. 4.

17 Michael P. Carroll, “A Structuralist Exercise: the Problem of Moses’ Name”, American Ethnologist 12 (4), pp. 775‑778.

18 « De la fidélité au texte », p. 132.

19 Marcel Détienne, L’invention de la mythologie, Paris, Gallimard, 1981.

20 Pierre Vidal‑Naquet, Le chasseur noir. Formes de pensée et formes de société dans le monde grec, 1re éd. Paris, François Maspero, 1981 ; éd. utilisée Paris, La Découverte, 2005, « Avant‑propos », p. 14.

21 Mary Douglas, Purity and Danger: An Analysis of the Concepts of Pollution and Taboo, Londres, 1966 (trad. fr. De la souillure. Essai sur les notions de pollution et de tabou, Paris, Maspero, 1971) ; “The Forbidden Animals in Leviticus”, Journal for the Study of the Old Testament 59, 1993, pp. 3‑23 ; In the Wilderness. The Doctrine of Defilement in the Book of Numbers. JSOT Sup. Ser. 158, 1993, Sheffield, JSOT Press.

22 Le Cru et le cuit, p. 338.

23 Ibid. p. 61.

24 Ibid. p. 287.

25 Ibid. p. 338.

26 « Exode sur Exode », p. 19‑20.

27 C’est en ces termes que Lévi‑Strauss décrit la situation, « Exode sur Exode », p. 14 :
« […] “scène mystérieuse” (Dhorme 1956, 186) ; “le plus énigmatique de tous nos documents [sur l’initiation]. Il apparaît comme un ‘bloc erratique’ mal rattaché au contexte” (Caquot 1965, 130). L’épisode, vestige croit‑on d’une tradition archaïque, aurait été gauchement interpolé dans le récit du retour de Moïse en Égypte pour obtenir du Pharaon qu’il libère les Hébreux. »
Lévi‑Strauss renvoie aux ouvrages suivants : La Bible. L’Ancien Testament, Tome I. Introduction, traduction et notes par Édouard Dhorme, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1956 et André Caquot, « Pour une étude de l’initiation dans l’ancien Israël », Studies in the History of Religions (Supplements to Numen X: Initiation), Leiden, E. J. Brill, 1965, pp. 119‑133.

28 Ibid. p. 20.

29 Nous insérons ici une longue citation de Lévi‑Strauss, « Exode sur Exode », p. 15, qui éclaire ce point. L’auteur renvoie entre parenthèses, à de nombreuses références bibliographiques que nous précisons par la suite.

« Les hébraïsants nous enseignent que du verbe hâtan “circoncire” dérivent les mots hôtên “beau‑père”, hâtân “fiancé, gendre, époux” (Dhorme 1956, 186 ; Caquot 1965, 131. Cf. Hastings 1928, III : 66Ib, 664a ; Encyclopédie de l’Islam, 1986, art. khitâri). Des exégètes en concluent qu’à l’origine, il incombait au père et au frère aîné d’une femme de circoncire le fils de celle‑ci : le rite établirait la relation de parenté entre l’enfant et la famille de sa mère. Par une symétrie frappante, chez les Bororo qui sont des matrilinéaires, le i‑orubadari, ‘ami rituel’ ou parrain du novice, qui lui impose l’étui pénien, est toujours membre du clan du père (EB, I : 639 ; Crocker 1979 : 285). En raison de l’organisation dualiste, ce clan relève de la moitié où le jeune homme prendra obligatoirement femme : “C’est le i‑orubadari qui impose au novice l’étui pénien, objet associé à des droits catégoriques sur la sexualité des femmes de l’autre moitié [...]. Le lien du parrain avec le novice ne procède pas de quelque communauté de substance, mais d’une relation générale, catégorique, de complémentarité logique telle qu’on la trouve dans la parenté par alliance.” (Crocker, ibid. : 286). L’ethnologue se rencontre donc avec l’hébraïsant qui, lui aussi, met en rapport direct circoncision et mariage : “II reste à préciser ce qu’est un ‘mari de sang’. L’interprétation la plus simple consiste à y voir un époux ou un fiancé capable de verser le sang, c’est‑à‑dire de déflorer une vierge” (Caquot 1965, 132) ».
La Bible. L’Ancien Testament, Tome I. Introduction, traduction et notes par Édouard Dhorme, Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1956.
André Caquot, « Pour une étude de l’initiation dans l’ancien Israël », Studies in the History of Religions (Supplements to Numen X: Initiation), Leiden, E. J. Brill, 1965, pp. 119‑133.
Jon Christopher Crocker, “Selves and Alters among the Eastern Bororo”, in David Maybury‑Lewis (éd.), Dialectical Societies: The Gê and Bororo of Central Brazil, Cambridge, Harvard University Press, 1979, pp. 249‑300.
César Albisetti & Angelo Jayme Venturelli, Enciclopedia Bororo, Campo Grande, Mato Grosso, Brasil (« Publicaçoes 1, 2, 5 do Museu Regional Dom Bosco »), 3 vol., 1962‑1976.
James Hastings (éd.), Encyclopaedia of Religion and Ethics, III, New York, Charles Scribner’s Sons, 1928.

30 Ibid. p. 19.

31 Ibid. p. 17.

32 Ibid. p. 20.

33 Ibid. p. 15 et 20.

34 Voir l’article de Daniel Boyarin.

35 « Exode sur Exode », p. 21.

36 Ibid. p. 15.

37 Ibid. p. 21.

38 Ibid. p. 20.

39 Ibid. p. 20.

40 Ibid. p. 21.

41 Fernando Giobellina Brumana, Elda Evangelina González, « Mito: Rito : Lévi‑Strauss: Mary Douglas », Revista española de antropología americana no 11, 1981 , p. 245‑258.

42 Voir par exemple le numéro spécial du Journal of Hebrew Scriptures, vol. 8, 2008, http://www.jhsonline.org ; les commentaires de Jacob Milgrom sur le Lévitique : Leviticus 1‑16, New York, Anchor Bible, 1998 ; Leviticus 17–22, New York, Anchor Bible, 2000 ; Leviticus 23–27, New York, Anchor Bible, 2000 ; Leviticus: A Book of Ritual and Ethics, Minneapolis, Fortress Press, 2004 ; John F. A. Sawyer, Reading Leviticus: Responses to Mary Douglas, T& T Clark, 1996 ; Jean Duhaime, « Lois alimentaires et pureté corporelle dans le Lévitique. L’approche de Mary Douglas et sa réception par Jacob Milgrom », Religiologiques 17, printemps 1998, dossier « Nourriture et sacré », p. 19‑35 et de nombreux autres travaux.

Madalina Vârtejanu‑Joubert, « Claude Lévi-Strauss : le judaïsme, le texte, l’ethnographie », Yod
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty7/7/2013, 20:37



http://jssnews.com/2013/07/05/rencontre-avec-julien-clerc-lartiste-serait-venu-en-israel-de-toutes-facons/

source jss news

Rencontre avec Julien Clerc : « l’artiste serait venu en Israël de toutes façons ! »
C’est dans le salon business d’un grand hôtel de Tel-Aviv que la société de production Lollyprod m’a donné rendez-vous, jeudi soir, pour partager quelques minutes en compagnie de Julien Clerc.

L’artiste, accompagné de 23 membres de son équipe, est arrivé trois heures plus tôt à l’aéroport David Ben Gourion de Tel-Aviv. C’est sa première fois ici. C’est leur première fois ici. Et ils le savent : le concert symphonique qui se jouera dimanche à l’Opéra National, avec l’accompagnement d’un orchestre israélien, se jouera à guichets fermés.

J’ai dix minutes à passer avec l’artiste et les sujets ne manquent pas : la musique en elle-même, sa présence ici et le fameux boycott raciste que des militants anti-israéliens ont voulu lui imposer. Mais les premiers mots tournent autour de la récente campagne pour les législatives partielles de la circonscription. On échange brièvement sur ma candidature. On évoque Madame Véronique Genest. Puis la victoire de Frédéric Lefébvre aux Etats-Unis. J’allume alors le micro…

Jonathan-Simon Sellem: puisque nous parlons de politique, êtes vous un observateur averti de la situation politique en France ?
Julien Clerc. Oui. Je suis ça. Je regarde. Mais bon…

JSS: Le rôle d’un artiste…
JC: Le rôle d’un artiste c’est de faire son métier. D’être engagé dans la musique, la poésie… Vous savez, on m’a approché à une certaine époque pour la Légion d’Honneur. Mais c’est pour tout le monde sauf pour les artistes.

JSS: Oui, à la limite la médaille des Arts et des Lettres…
JC: Oui, ça je l’ai eue.

JULIEN CLERC: « JE SUIS TRES IMPATIENT ET TRES HEUREUX. JE VAIS FAIRE DU MIEUX POSSIBLE POUR REPONDRE A L’ATTENTE EMOTIONNELLE DU PUBLIC ISRAELIEN… »

JSS : Donc quand certaines personnes ont voulu instrumentaliser votre venue ici, je crois que vous vous êtes d’abord renseigné…
JC: Oui, j’ai demandé, car ils interpelaient aussi bien le représentant du Haut Comité aux Réfugié que l’artiste que je suis. Donc évidemment j’ai tout de suite appelé le HCR. Ils m’ont expliqué avoir un bureau en Israël, qu’ils sont libres de travailler, que ce n’est pas toujours facile mais qu’ils n’ont aucune contre-indication morale à ce qu’un représentant du HCR vienne en Israël. Je les ai appelé pour être honnête, par acquis de conscience. Mais l’artiste… L’artiste serait venu de toutes façons !

De même que si on me demandait d’aller me produire ailleurs, de l’autre côté par exemple, j’irais ! Je suis extrêmement admiratif du chef d’orchestre israélien Daniel Barenboim. C’est pour ça que sont fait les artistes. C’est ça l’engagement des artistes, c’est d’être consensuels. Ce sont des messages d’amour que les artistes envoient et, j’ajoute, partout où la francophonie existe, c’est notre rôle de venir. Malheureusement la francophonie rétrécie comme une peau de chagrin.

JSS: Absolument. Il y a 15% de francophones sur les 8 millions d’Israéliens, la salle est pleine à craquer, vous allez jouer à guichet fermé… Sentez-vous cet engouement pour votre présence ici ?
JC: Oui, je suis très impatient et très heureux. Je vais faire du mieux possible pour répondre à l’attente émotionnelle du public.

JSS: Vous n’habitez pas en Israël et à ma connaissance, vous n’avez pas encore pu rencontrer l’orchestre symphonique qui vous accompagnera dimanche. N’est-ce pas trop compliqué pour un artiste de préparer ce genre de concert ? D’autant que vous êtes habitué à votre tournée « pianistique » et non plus « symphonique. »
JC: C’est David Stern, le patron de Lollyprod, qui a voulu absolument un concert symphonique pour le public israélien.
Pour vous dire la vérité, au début, lorsque nous avons créé le concert symphonique, nous avons voulu nous produire dans chaque ville en France. Puis on s’est rendu compte que ce serait difficile. Il y a plein d’orchestres en France, mais plusieurs n’étaient pas intéressés, et des fois ceux qui l’étaient n’étaient pas forcément ce qu’il y avait de mieux. Alors, on a transformé le concept et on s’est dit qu’on allait voyager avec nos propres musiciens, ce qui fait monter le budget en flèche. Mais je me suis dit, même si cette fois-ci on travaille pour moins d’argent que d’habitude, ce concert me tient à coeur alors on va le faire ainsi !

Quand on est parti au Canada, on a fait comme ici. On a fait deux répétitions et cela suffit tout à fait parce que le reste est tenu par le Chef d’orchestre et par moi-même.

JSS: Mais vous ne vouliez pas faire de la musique classique…
JC: Non, je voulais faire de la musique pop. Ca repose sur une chose fondamentale : le pied qui bat la caisse de la batterie, la rythmique si vous voulez, et les basses. Si on a ça, avec n’importe quel orchestre, dans n’importe quelle salle, tout le reste prend sa place. On demande donc aux orchestre qu’ils jouent à l’archet et qu’ils reproduisent, d’une certaine façon, la base de la musique pop. Ils ne jouent jamais à la main, c’est pour ça que ce n’est pas de la musique classique. Le but est de faire danser les gens avec un orchestre symphonique.

JSS: Mais vous jouez aussi sur scène avec vos titres des années 1980, avec de la musique synthétique…
JC: Oui, il n’y avait que des synthétiseurs et des rythmiques quand je jouais dans ces années là. Mais on a pris un tel métier qu’aujourd’hui on arrive à le retransmettre en symphonique. Aujourd’hui, on peut tout mettre en symphonique. Mais on respecte la règle de ce type de concert : il n’y a que des instruments en bois et rien d’électrique.

JSS: Vous avez donc fait une tournée entière en symphonique, dont déjà 3 fois avec des orchestres différents du votre…
JC: Oui, nous avons joué avec d’autres orchestres au Canada, à Metz où l’orchestre local a vraiment voulu jouer, et au Liban.

JSS: On connaît le ressenti du public: tout le monde est ébahi, surtout que vous faites ça dans des belles salles, des opéras… Mais quel est votre ressenti à vous ?
JC: Quand Madame Charlon me donnait des cours de chant, elle est partie maintenant depuis des années mais elle est toujours dans ma tête – j’ai commencé à prendre des cours de chant très tard. J’ai pris ces leçons de chant une quinzaine d’années après avoir commencé à chanter et ces leçons ont changé ma vie. Donc, quand Madame Charlon me donnait ces cours, elle me disait : « vous, quand vous aurez un orchestre derrière vous, vous n’aurez aucun problème car les cordes sont comme un tapis magique : elles portent votre voix ». En fait, il faut que je sois beaucoup plus concentré quand je chante en petite formation, car la technique n’est pas la même.

Le ressenti, c’est du bonheur chaque soir. Et puis, il y a un pont entre les deux univers. Tous les musiciens qui étaient avec moi sur scène, ils venaient du classique. Je dois dire que l’idée de faire le pont, et je pèse mes mots, c’est excellent. Et ce n’est pas toujours facile ! L’orchestre du Liban, il y en a qui traînaient vraiment les pieds.

JSS: Avez-vous prévu de visiter Israël ?
JC: Oui, je dois aller samedi à Jérusalem, au Mur des Lamentations… Faire un petit tour !

--

Les chansons récentes, signées Gérard Duguet-Grasser, Alex Beaupain ou Gérard Manset, cohabitent avec les paroles taillées sur mesure par Maxime Le Forestier ou Jean-Loup Dabadie. Très impressionnant sur le plan vocal, l’interprète retrouvera dans ce concert de Tel-Aviv le lyrisme échevelé de ses productions des années 1970. De ce que les spectateurs ont pu voir lors de sa tournée en France, la superbe version du Patineur rappelle à quel point Julien Clerc a été un chanteur original et innovant et un musicien exigeant, qui vaut bien mieux que l’image de chanteur pour dames qu’il incarne parfois. La faute à Femmes, je vous aime, qui semble mièvre aux côtés de morceaux comme Utile, Ma préférence ou Fais-moi une place. La presse française dit d’ailleurs que « l’on a rarement vu Julien Clerc aussi épanoui sur scène » qu’au côté d’un orchestre symphonique . À chaque instant, selon le Figaro, « l’homme paraît habité par le plaisir de chanter, comme s’il ne réalisait pas lui-même la chance qu’il a. »

Avec ses fans israéliens et franco-israéliens, Julien Clerc revisitera ses 45 ans de carrière, de « Ce n’est rien », en passant par « Si on chantait », « Ma préférence », « Fais moi une place », ou encore « Femme je vous aime », et tant d’autres tubes, Julien promet aux spectateurs de les emmener dans un voyage plein d’émotion, de souvenirs et de magie !

---


Sur les sites ou les spectateurs peuvent commenter les spectacles de divers artistes, on retrouve une excitation certaine des fans. C’est le cas de « Ugo » qui écrit: « Je pense avoir vu chaque concert donné par Julien Clerc. Et je crois que celui-ci est mon préféré. L’accompagnement par un orchestre de cette qualité est un « plus ». Et le choix des chansons, beaucoup d’anciennes, très judicieux. Superbe moment. » Monette ajoute: « Génial, quelle soirée ! Nous étions debout à chanter et danser (je précise que j’ai 72 ans !) ».

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:16

Le hamas aurait voulu attaquer le peuple egyptien et remettre Morsi au pouvoir ?

L’Egypte déjoue une tentative d’infiltration de 10 militants du Hamas dans le Sinaï
Les gardes-frontières égyptiens ont déjoué dimanche matin une tentative d’infiltration de dix djihadistes, vraisemblablement des militants du Hamas de la bande de Gaza, dans le Sinaï-Nord, a révélé à Xinhua un responsable de la sécurité.
Ils ont laissé derrière eux sept boîtes de bombes, des munitions et des balles réelles.


source: french-china.org.cn

http://french.china.org.cn/foreign/txt/2013-07/07/content_29349259.htm
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:20

source désinfos:

Espionnage mondial: comme en 1940
Le Hezbollah impliqué sur la recherche d'informations sur les juifs partout dans le monde dévoile un de ses membres


Il y a un an à Chypre : une attaque terroriste du Hezbollah a été déjouée
Le 7 juillet 2012, il y a exactement un an, Hossam Yaakoub a été arrêté à Chypre. Il planifiait une attaque terroriste de grande envergure et a admis plus tard être un membre de l’organisation terroriste basée au Liban, le Hezbollah. Entraîné et financé par le Hezbollah, Yaakoub collectait des informations : “Je devais récolter des informations sur des Juifs. C’est ce que mon organisation fait partout dans le monde”, a-t-il déclaré après son arrestation.

Voilà qui est édifiant. si ils hackent partout dans le monde, et font des listes d'Ip, il faut sécuriser les forum dans le monde (https)
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:41

http://jssnews.com/2013/07/08/tsahal-et-le-cagt-se-preparent-pour-le-mois-du-ramadan/
source jss news
Le Coordinateur des Activités Gouvernementales dans les Territoires, le général de division Eitan Dangot, a informé les représentants de l’Autorité Palestinienne des mesures d’assouplissement qui vont être mises en place pendant le Ramadan. Par ailleurs, les représentants de l’Administration Civile ont informé la population palestinienne de ces mesures. Le coordinateur a aussi tenu à mieux faire connaître cette fête religieuse et ses traditions aux soldats de Tsahal présents dans la région et a distribué de nombreuses brochures éducatives à cet effet. Les soldats israéliens ont reçu l’ordre de porter une attention particulière à la population palestinienne en Judée-Samarie, en conseillant dans la mesure du possible de s’abstenir de manger, boire, et fumer en public, notamment aux différents points de passage terrestres, afin de montrer un haut niveau de respect et de compréhension.

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:44

http://jssnews.com/2013/07/07/allemagne-une-jeune-musulmane-dechire-les-travaux-pacifiques-dune-artiste-juive-israelienne/#comment-337751
source jss news:

En Allemagne, une jeune musulmane déchire les travaux pacifiques d’une artiste juive israélienne
Une étudiante musulmane de l’Université de Duisburg-Essen a déchiré des oeuvres d’une exposition graphique de l’artiste israélienne mondialement connue Rutu Modan.

L’étudiante musulmane, avec un ciseau, a découpé les photographies mises en place dans un collage de l’artiste. Ironie de l’histoire, le collage en question montrait une manifestation pour la paix, en Israël, avec le mot Shalom écrit dessus.

Modan, qui vit à Tel Aviv, a gagnée une renommée internationale avec ses illustrations. Son  roman graphique Exit Wounds l’a propulsé sur la scène internationale en 2007.
Exit Wounds raconte l’histoire de Koby Franco. Il travaille comme chauffeur de taxi à Tel-Aviv et croise une femme soldat qui l’informe qu’un kamikaze a tué son père, avec qui il avait perdu le contact. Franco et le soldat commencent à voyager et à enquêter sur la disparition du père.



Le Time parle d’elle comme l’une des 10 plus grandes artistes de 2007.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:46

"Mode du sujet non spécifié" c'est ce qui s'affiche une fois sur deux quand on poste un message, bizarre.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 14:50


http://jssnews.com/2013/07/07/videol-un-anti-morsi-suicide-du-haut-dun-immeuble-tellement-arabe/

Ni voyez rien de raciste. Mais depuis que des Juifs ont été lynchés à Ramallah, depuis les nombreuses tueries dont j’ai été témoin, depuis les renversements de Tunisie, d’Egypte et d’ailleurs, depuis le lynchage de Kadhafi, depuis le viol (et le lynchage) de l’Ambassadeur américain en Libye, depuis les décapitations des nombreux otages en Irak…
C’est triste et malheureux de dire cela. Mais en même temps, je n’ai vu ça ailleurs que dans le monde arabe.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Capture-d’écran-2013-07-07-à-08.27.43
Une vidéo diffusée lundi par des Egyptiens montre des islamistes liés au président Morsi jeter un homme depuis le toit d’un immeuble. La vidéo a été tournée à Alexandrie.

Et comme si cela ne suffisait pas : après que la première victime soit morte, tombée la tête la première, et se retrouve immobile au sol, un arabe attrape un bâton et commence à le frapper à la tête…


La victime avait 19 ans. Elle fêtait le renversement de Morsi.

Mais ce jeune n’était pas innocent pour autant : il jetait des pierres sur les partisans de Morsi depuis le haut de l’immeuble. Tout ceci n’était donc qu’une vengeance.

A quand un peu d’humanité ?!

source jss news
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 22:20

Double langage : Mahmoud Abbas se dit « attaché à la paix avec ses voisins » juifs que sa télévision qualifie de singes barbares assoiffés de sang....

En fait, abbas , est attaché tout court.
il sait que si un jour il est président d'un pays palestinien, il sera tué, éliminé par les islamistes, pour creer une république islamique. et beaucoup de gens le savent trés bien. son seul espoir est de pouvoir berner au mieux les israéliens, pour avoir une espérance de vie plus longue.
il sait que sa vie ne tiend qu'a un fil, de la bonne volonté de l'iran et du hamas, tant qu'il leur sert, jusqu'a ce qu'il soit jeté aux lions.
Tout comme Arafat, israel a interet a le garder, et à proteger sa vie, car, à sa place, il peux y avoir pire.

Mais son double language ne porte aucune illusion: il ment, et laisse injurier les juifs dans les émissions de télé qu'il adoube et ne critique pas, ou l'antisémitisme perdure.
Abbas ne modifie, et ne modifiera en rien la société palestinienne moyen-ageuse et d'apartheid islamique, pour la rendre moins radicale et moins islamiste .
pourquoi ?
Parcequ'il a été à bonne école. il a été formé par le KGB, officiellement (lisez des livres et articles a ce sujet). et il a peur aussi.
, il posséde l'art de la casquette.
il avait aussi réalisé une thése universitaire antisémite négationniste.

David Bedin, directeur d'un centre indépendant de journalistes, réclame que la thèse de doctorat de Mahmoud Abbas soit retirée des universités palestiniennes, celle-ci étant clairement négationniste. et en plus, Abbas avance que l'Agence juive a collaboré avec les nazis de nombreuses années.

''L’envers du décor : les relations secrètes entre le nazisme et le sionisme'', voici le nom de la thèse que Mahmoud Abbas a écrite en 1984.

Dans ses recherches, il émet des doutes sur l'utilisation des chambres à gaz pour l'extermination des Juifs.

Sa thèse antisémite n'est toujours pas retirée des manuels scolaires palestiniens.

il a rejetté mainte fois des propositions de paix israéliennes équitables et recevables.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty8/7/2013, 23:43

http://www.europe-israel.org/2013/07/egypte-la-video-des-pro-morsi-nous-allons-bruler-les-chretiens/

source: europe-israel

Egypte: la vidéo des pro-Morsi: Chrétiens nous vous jetterons au feu !



Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Frere-Musulman-egypte-pro-morsi-300x178

Primate un jour primate toujours.
Les monstres issus du corps fétide de l’islam politique s’expriment. Les Frères Musulmans? Les voilà en parole libre, sans frein ni limite.  C’est le grand déballage de paranoia complotiste, de menaces terroristes culpabilisantes et surtout un appel au meurtre abominable !



Traduction:

"Monsieur à barbe:

Je veux dire à Al-Sisi, « prenez-garde ! Apprenez que vous allez créer de nouveaux Talibans et un nouvel Al-Qaida en Egypte ! »

La foule ici présente va muter en groupes constitués de bombes humaines. Ils vous détruiront et détruiront l’Egypte. Vous avez détruit l’Egypte !

Vous venez juste de fabriquer de nouveaux moudjahidins et de nouvelles bombes humaines martyrs.

Sachez que si 1 personne sur 10 présente ici se fait sauter dans un groupe de gens, vous serez la cause de son geste.

Vous avez créer le terrorisme, vous l’avez déclenché, je vous avertis. Posez-vous les bonnes questions ou vous verrez des masses de gens sauter en Egypte.

Vous êtes le créateur de l’affrontement entre les musulmans et les non-musulmans.

Vous êtes le créateur de l’affrontement entre les musulmans et les laïcs.

Vous êtes le créateur de l’affrontement entre les musulmans et les chiites.

Vous êtes celui qui a provoqué l’explosion et a écrit le certificat de décès du parti « Gabhat al-Inqaz » (Front de secours) et de leurs membres.

Vous êtes celui qui a écrit le certificat de décès de tous les membres de Tamarod.

Vous êtes celui qui a écrit le certificat de décès de quiconque s’oppose au président Morsi et s’oppose à sa légitimité par le vote dans les urnes.



Madame en Niqab:

Je veux dire à Abdul Fattah al-Sissi (le général de l’armée): « Qui t’ a acheté? Qui t’a payé toi sale chien ! Qui t’a payé ? »

Morsi est le seul qui devrait pouvoir te payer. Je ne suis ni membre des Frères Musulmans ou quoique ce soit d’autre.

Je suis une égyptienne et une dame pieuse et j’ai un mot à dire aux chrétiens:

Vous vivez à nos cotés. Nous vous jetterons au feu ! Nous vous jetterons au feu ! "

What the fuck ?!?
vindiou les teignes

Le Hamas, qui avait beaucoup investi dans Morsi, et avait commis des attentats contre des anti-morsi et des militaires égyptiens, ne décolére pas de son éviction.
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty9/7/2013, 23:42

http://unwatchenfrancais.blogspot.fr/2013/07/le-parti-pris-des-institutions-des.html
source: unwatchen francais - Les droits del'homme mieux respectés  des nations unies plus justes


Le parti pris des institutions des Nations Unies contre Israël

Genève, le 8 juillet 2013 − Ce n’est pas seulement le Conseil des droits de l’homme de l’ONU qui a une partialité institutionnelle contre Israël de par son infâme article 7. Presque tous les organes des Nations Unies disposent d’un ou de plusieurs points à l’ordre du jour ou de rapports spéciaux ciblant Israël.


Comme une forme de préjugé largement répandu, la flagrante et systématique isolation d’Israël porte atteinte à la crédibilité des Nations Unies et remet en question son engagement envers ses propres principes d'égalité, d'universalité et d'impartialité.

Voici plusieurs exemples d'organes des Nations Unies et de leurs ordres du jour, rapports spéciaux ou programmes destinés à isoler Israël uniquement pour un examen approfondi et un opprobre. Cela en dehors des dizaines de résolutions anti-israéliennes adoptées chaque année par de nombreux organes des Nations Unies, tandis que les violations flagrantes de la Chine, Cuba ou de l'Arabie Saoudite sont ignorées.

Assemblée générale

Sous paix et sécurité internationale
Article 17 - ''La situation au Moyen-Orient"
Article 18 - ''La question palestinienne''
Article 26 - ''L'agression armée israélienne contre les installations nucléaires irakiennes et ses graves conséquences pour le système international établi en ce qui concerne les utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire, la non-prolifération des armes nucléaires, la paix et la sécurité internationale''
Article 32 - ''L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient''
Article 33 - ''Rapport du Comité spécial chargé d'enquêter sur les pratiques israéliennes affectant les droits de l'homme du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés"
Article 41 - ''Souveraineté permanente du peuple palestinien dans le territoire palestinien occupé - incluant Jérusalem-Est - et de la population arabe dans le Golan syrien occupé sur leurs ressources naturelles''

Sous aide humanitaire et secours en cas de catastrophe
Article 71 (c) Renforcement de la coordination de l'aide humanitaire et des secours en cas de catastrophe des Nations Unies, y compris l'assistance économique spéciale: assistance au peuple palestinien

Sous désarmement
Article 94 - ''Création d'une zone exempte d'armes nucléaires dans la région du Moyen-Orient"
Article 101 - ''Le risque de prolifération nucléaire au Moyen-Orient"

Les organes subsidiaires de l'Assemblée générale
Comité pour l'exercice des droits inaliénables du peuple palestinien
Comité spécial chargé d'enquêter sur les pratiques israéliennes affectant les droits de l'homme du peuple palestinien et des autres Arabes des territoires occupés

Secrétariat de l'ONU
Division des droits des Palestiniens, Département des affaires politiques

Conseil des droits de l'homme
Article 7 - ''La situation des droits de l'homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés"

Conseil économique et social (ECOSOC)
Article 11 - ''Répercussions économiques et sociales de l'occupation israélienne sur les conditions de vie du peuple palestinien dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et de la population arabe dans le Golan syrien occupé"

Assemblée mondiale de la santé (OMS)
Article 20 - "Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et dans le Golan syrien occupé"

Organisation internationale du Travail (OIT)
"La situation des travailleurs dans les territoires arabes occupés"

Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

Conférence générale
5.2 "Jérusalem et la mise en œuvre de la résolution 35 C / 49"
5.3 ''Mise en œuvre de la résolution 35 C / 75 concernant les institutions éducatives et culturelles dans les territoires arabes occupés"

Conseil d'administration
5.I - ''Mise en œuvre de la résolution 36 C / 43 et de la décision 190 EX / 5 (II) relatives à la Rampe des Maghrébins dans la Vieille Ville de Jérusalem"
9 - "Jérusalem et la mise en œuvre de la résolution 36 C / 43 et de la décision 190 EX / 13"
10 - ''Mise en œuvre de la décision 190 EX / 14 sur « les deux sites palestiniens d’Haram Ibrahim (Tombeau des Patriarches) dans la vieille ville d’Hébron, et la mosquée de Bilal Bin Rabah (Tombeau de Rachel) à Bethléem »''
34 - ''Mise en œuvre de la résolution 36 C / 81 et de la décision 190 EX / 38 concernant les institutions éducatives et culturelles dans les territoires arabes occupés"
35 - ''Rapport du Directeur général sur la reconstruction et le développement de Gaza"

Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
Programme d'assistance au peuple palestinien (PAPP)

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED)
Article 11b: ''Rapport sur l'assistance de la CNUCED au peuple palestinien"


Shocked
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty10/7/2013, 19:51

Plusieurs événements récents font système et demandent interprétation. Qu’est-ce qui relie, dans un court laps temporel, l’affaire du « mur des _ons », l’exposition du Musée du Jeu de paume sur les hommes-bombes palestiniens, le scandale de la pièce de théatre antisémite de  certains etudiants a l’Université de La Rochelle et pour finir la décision le refus de donner de la parole mediatique a Karsenty sinon le fait que la société française – et pas seulement les immigrés ou les musulmans - ne veut pas entendre le témoignage en forme d’appel des Juifs de France .. qui disent au secours.

Pourquoi est ce qu'une grande majorité des attentats terroristes dans le monde se découvrent avoir des racines idéologiques présentées comme palestinistes par leurs auteurs ?

Le Conseil de sécurité exhorte les Libanais à ne pas se laisser entraîner dans le conflit syrien
Combien de temps avant que les soldats américains et multinationaux soient attaqués dans le Sinaï ?

Les palestiniens « respectent le football » en tirant des missiles depuis leurs terrains comme en novembre 2012.

Le Président de la FIFA Sepp Blatter s'était plaint qu'Israel ne respectait pas le football en allant détruire les bases de lancement de missiles que les palestiniens avaient disposés sur des terrains de foot ! (et aussi depuis des hopitaux, des écoles, des habitations civiles et HLM, etc)ce sont les palestiniens qui ne respectent pas ces lieux et ces civils en les mettant en danger volontairement. et ils ne respectent pas non plus les civils .. que leurs missiles visent !
Mais chaque problème à ses raisons. Par exemple, Mahmoud Sarsak, joueur de l’équipe nationale palestinienne, a été emprisonné pendant 3 ans par Israël pour son appartenance (et son activisme) au Jihad Islamique. Il a finalement été libéré par « pression extérieur » suite à une grève de la faim.
Un capitaine d'une grande équipe de football israélienne est arabe, comme beaucoup, démontrant une société israélienne égalitaire.
combien de juifs ou chrétiens sont capitaines d'équipe de foot à gaza ou en Iran, etc ?
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty11/7/2013, 14:06

http://jssnews.com/2013/07/09/israel-aurait-detruit-des-missiles-russes-dans-une-base-navale-syrienne/
source jss
Des forces étrangères auraient détruit des missiles sophistiqués de fabrication russe: des missiles anti-navires. Mais une autre source affirme qu’Israël aurait détruit les fameux missiles S-300 que la Russie à juré ne jamais livrer aux syriens… Cette « destruction » aurait été menée il y a une semaine et, selon les rebelles syriens qui ont dévoilé l’information: c’est Israël qui a touché le mille !

Qassem Saadeddine, porte-parole du Conseil militaire suprême de l’Armée syrienne libre, a déclaré qu’une frappe avant l’aube, vendredi dernier, a détruit une patie de la caserne marine syrienne de Safira, près de Lattaquié. Le réseau de renseignement aurait identifié des missiles Yakhont, fournis récemment par la Russie.

« Cette attaque était soit par un raid aérien israélien, soit des missiles longues portée tirés depuis des navires en pleine méditerranée » a explique le syrien.

Les rebelles décrivent l’attaque comme d’énormes explosions – féroces comme les attaques d’Israël disent-ils. Pour l’heure, il reste impossible de savoir si ce sont des S300 qui ont été détruits ou des Yakhont.

Israël n’a pas confirmé ou infirmé les informations et le gouvernement syrien n’a pas pipé mot non plus.

Interrogé sur les explosions Lattaquié, le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon a déclaré: « Nous avons fixé des lignes rouges en ce qui concerne nos propres intérêts, et nous nous y maintenons. »

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty11/7/2013, 14:11

http://jssnews.com/2013/07/10/la-bonne-etoile-de-louis-armstrong/
source : jss

La bonne étoile (juive) de Louis Armstrong
Louis Armstrong… Certainement le meilleur Jazzman au monde ! Et pourtant, ce n’était pas chose aisée. Son histoire le prouve.

Né dans une famille très pauvre de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis), Louis Armstrong vit son enfance marquée par l’absence de son père : William Armstrong, qui abandonna son fils ainsi que sa famille alors que le futur grand trompettiste était encore tout jeune.
Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Capture-d’écran-2013-07-10-à-00.35.46

En grandissant dans un quartier difficile, il fut plusieurs fois envoyé, en raison d’actes de délinquance, dans un foyer pour enfants noirs abandonnés : le Home for Colored Waifs. Il y fit notamment un long séjour suite, selon les fichiers de la police, à un coup de feu tiré en l’air avec un pistolet, tout simplement pour fêter la nouvelle année.

A cette époque, il apprit à jouer du cornet à pistons dans l’orchestre de ce centre, grâce à son premier instrument offert par les Karnofsky.

Les Karnofsky ?

Une famille juive d’origine russe qui s’était prise d’affection pour ce jeune enfant.

Dès qu’ils firent sa connaissance et malgré le racisme anti-noir régnant à cette époque aux États-Unis, cette famille juive invita l’enfant à partager ses diners, à venir jouer à la maison. Cette famille qui n’avait pourtant pas beaucoup d’argent, lui en donna même toutes les semaines.

Dans ses mémoires, Armstrong reconnaitra que «cette famille juive fut le déclencheur de ma réussite».

Voilà peut-être pourquoi, toute sa vie durant, il porta autour de son cou une étoile de David en signe de reconnaissance pour les valeurs juives qui lui ont permis de devenir l’un des meilleurs musicien au monde !


Dernière édition par prinu le 12/7/2013, 13:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty11/7/2013, 14:16

Lignes rouges de Yaalon ? C' est quasiment un aveu . J'aimerais autant de franchise pour ce qui concerne l'arme nucléaire , dont Israël dénie toujours la possession , contre toute évidence et contre toute légalité .
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty12/7/2013, 13:08

en avril 2013, Yaalon a déclaré qu’Israël ne permettrait pas que « des armes sophistiquées » tombent aux mains du Hezbollah ou d’autres éléments incontrôlés ». c'était la ligne rouge.
en avril il y avait eu une action: la cible n’était pas uniquement un convoi d’armes, mais également un complexe militaire adjacent soupçonné d’abriter des armes chimiques.





c'est quoi l'illégalité de défendre une démocratie et la vie contre des fous ?
je déni ce droit aux dictatures, je donne ce droit aux démocraties comme israel ou la france.
force doit rester aux libertés.
sinon, donnez l'eau lourde et la bombe a l'allemagne hitlérienne, comme un droit de se défendre de l'amérique.
nous n'avons pas les memes valeurs: je ne donne aussi auxun droit a creer une nouvelle république islamique palestinienne.  je me battrais pour une démocratie palestinienne, dans mille ans qui sait ?
l'ONu n'étant pas neutre, l'ONU pourrait beugler comme un fou si c'était le cas.

on ne sait toujours pas, si ce ne sont pas les usa qui manipuleraient des armes atomiques pour israel, avec peut etre d'autres pays ? il peut y avoir dees accord secrets ?
en fait, personne n'en sait rien: c'est ce doute qui fait la défense éfficace.
je n'en sait rien du tout non plus.
Mais je souhaite - et j'en donne le droit sans le donner aux islamistes, je n'admet aucune égalité de droit sur celà - qu'israel ait bien la bombe atomique. Et que les islamistes tremblent et ramassent la monnaie de leur piéce s'ils continuent comme ils le font. On s'en lavera les mains, les islamistes seront responsables de ce qu'ils font subir au monde.


Dernière édition par prinu le 12/7/2013, 13:40, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty12/7/2013, 13:36

http://www.jforum.fr/forum/international/article/accuses-d-avoir-degage-morsi-les

Accusés de la Chute de Morsi, les Chrétiens victimes de pogroms

source: J Forum


Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Monimage1373557282-434ab

Les adeptes de l’Ancien Président lancent une série d’agressions violentes contre les non-musulmans qui se sont opposés à la dictature des Frères Musulmans.

Un chrétien copte a été décapité.


Le CAIRE (AP) —Poursuivis par une meute d’extrémistes musulmans sur leurs talons, l’homme d’affaires chrétien et son neveu sont montés sur le toit et ont couru pour sauver leurs vies, sautant d’un bâtiment à l’autre, dans leur village du sud de l’Egypte. Finalement, ils en ont été réduits à descendre du sommet des toits.


Forcés de revenir dans la rue, plusieurs dizaines d’hommes les ont rapidement submergés. Les agresseurs les ont lacérés de coups de hachoirs et battus à coups de barres de fer et de bâtons, tuant Emile Naseem, 41 ans. Son neveu a survécu à ses blessures aux épaules et à la tête et a raconté cette chasse à l’homme à Associated Press.

Le déchaînement d’émeutes à travers tout le village de Nagaa Hassan, incendiant des dizaines de maisons chrétiennes, trois autres Chrétiens étant poignardés à mort, est survenu deux jours après l’éviction du Président islamiste Mohamed Morsi par l’armée. La focalisation des assaillants contre Naseem et sa famille n’a rien ‘une coïncidence. C’était l’homme le plus en vue du village, dans la campagne appelant au départ de Morsi. Certains Chrétiens sont en train de payer le prix fort, pour leur militantisme contre Morsi et ses alliés islamistes, au cours des représailles contre ceux qui l’ont sorti, la semaine dernière.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Victime_copte-1405e
victime chrétienne   source : J forum

Depuis lors, on a assisté à un enchaînement d’agressions contre les Chrétiens, dans les provinces devenues les places fortes des éléments islamistes les plus durs. Dans la Péninsule du Sinaï, où sévissent des groupes terroristes, un gang d’hommes armés a tué un prêtre à bout portant, en roulant en voiture, alors qu’il déambulait sur un marché public. La minorité chrétienne d’Egypte, qui constitue environ 10% de la population, a longtemps fui toute participation politique, par crainte des représailles, en déléguant à leur Eglise de soutenir leurs revendications en direction de ceux qui tiennent les rênes du pouvoir. Cela a changé, dans la ferveur révolutionnaire, quand l’autocrate Hosni Moubarak a été renversé, en 2011, alors que les Chrétiens ont commencé à exiger d’avoir leur mot à dire dans les grandes orientations de leur pays.

Mais, ils ont arraché ce droit à un niveau plus élevé, durant l’année du mandat de Morsi et qu’il renforçait le pouvoir de ses alliés islamistes. Le nouveau pope Copte chrétien, Tawadros II, intronisé en novembre, a ouvertement critiqué le Président. Il a encouragé les Chrétiens en leur disant qu’ils étaient libre de participer activement aux orientations politiques et que l’Eglise ne les en dissuaderait pas.

« Les Chrétiens sont sortis de dessous les robes du Clergé et n’y retourneront jamais ! » déclarait Ezzat Ibrahim, un militant de Minya, une province du sud, peuplée d’une vaste communauté chrétienne.

C’était un jeu risqué, pour une minorité qui s’est longtemps sentie vulnérable, puisque ses plus grandes concentrations de communautés vivent souvent dans les mêmes zones rurales que les Islamistes les plus véhéments et les plus bruyants maintiennent leur emprise.

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Egypte: Magasins chrétiens marqués, avant d'etre brulés..
ca rapelle ce qu'on vécu les "sionistes"

Durant l’année de Présidence Morsi, certains de ces alliés les plus radicaux ont, de plus en plus, dénoncé les Chrétiens comme des ennemis de l’Islam et leur ont sévèrement rappels qu’ils ne constituent qu’une minorité. Quand la vague de protestations contre Morsi a débuté, peu avant le 30 juin, les médias des Frères Musulmans l’ont pastiché comme largement dominée et entraînée par les Chrétiens – et pour les radicaux, cela résonnait comme une mutinerie des Chrétiens contre un dirigeant musulman.

Le pire retour de boomerang anti-chrétien, depuis le renversement de Morsi, le 3 juillet a été ce pogrom de Nagaa Hassan, un village crasseux de la rive occidentale du Nil, non loin du plus majestueux des sites archéologiques de l’antique Egypte, dans la ville de Luxor.

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je ne fait du rattrapage politique de propagande en disant, une vérité simple: ceux qui ont fait celà, mettez vous bien ca dans le crane, pensent aussi "Palestine vaincra" ! Et vous le savez.
Car c'est le meme apartheid islamique radical, la meme pensée idéologique de tout refuser aux non-musulmans: c'est l'islamopalestinisme.

Ce sont les memes personnes, qui soutiennent le Hamas et le Hezbollah, et qui veulent prendre Jérusalem, la capitale d'Israel, et tout Israel s'ils le peuvent, en diffamant continuellement Israel et les "sionistes".
Les memes.
D'ailleurs, pour eux; sionistes égal chrétiens.  c'est leurs ennemis, Kif-Kif.

Et je l'ai répété; qu'Israel tombe, et l'occident chrétien tout entier tombe.

Le corps d’un villageois musulman a été découvert à l’aube du 5 juillet. La rumeur a commencé à enfler, tout autour du village, que c’étaient les Chrétiens qui l’avaient tué. Une émeute de plusieurs centaines d’hommes, menés par des hommes portant le signe distinctif des longues barbes des Salafistes ultra-conservateurs, autant que d’autres mouvements extrémistes, ont continué à se déchaîner, selon des témoins et des responsables de la sécurité, qui se sont confiés à l’AP.

Ils ont pulvérisés les vitres des fenêtres et les portes des maisons chrétiennes, pillé les boutiques possédées par des Chrétiens et les ont incendiées – détruisant au moins 30 maisons et commerces, en tout. Des résidents musulmans qui ont tenté de s’interposer, ont été violemment écartés, parfois en subissant des menaces qu’on s’en prenne à eux-mêmes. Au moins une douzaine de familles chrétiennes ont trouvé refuge dans l’église locale de St Jean-Baptiste, selon le témoignage du Père Vassilios, le prêtre de cette communauté.

La foule à, en particulier, pris Naseem pour cible, en assiégeant le bâtiment où se trouve l’appartement de ses cousins, où il se cachait avec son épouse. Leurs trois enfants ont dû être emmenés, plus tôt, à la maison de leurs proches, pour leur sécurité. La foule a allumé des feux dans l’immeuble, où les familles, femmes et enfants, ont fui vers les étages supérieurs.

Les forces de sécurité se sont arrêtées devant l’immeuble, en faisant reculer une véhicule blindé de transport de troupes jusqu’à l’entrée, pour évacuer ceux présents à l’intérieur, selon des témoins et militants interrogés sur les évènements du jour. Mais la foule, dépassant largement la police en nombre, a refusé de laisser partir les hommes encore à l’intérieur – aussi la police a-t-elle dit aux familles qu’elle ne prendrait en charge que les femmes et les enfants.

Naseem et plusieurs autres homes avaient, à l’origine, revêtu des vêtements de femmes, pour échapper à leur identification par la foule les attendant autour de la police prête à prendre les hommes en charge, d’après el-Ameer, le neveu.

La police a, de nouveau, refusé de prendre les hommes, craignant que la foule à l’extérieur s’aperçoive de la ruse et attaquent le véhicule blindé de la police, venu pour évacuer les Chrétiens. Martha Zekry, la femme de Naseem, a supplié la police de prendre son mari, plaidant auprès d’elle qu’il n’y survivrait pas. L’officier responsable a déclaré qu’il reviendrait chercher Naseem. Il ne l’a jamais fait.

Dès que la police s’en est allée avec les femmes et les enfants, les assaillants ont mis le bâtiment à sac. Naseem a déchiré les vêtements féminins qu’il portait et s’est échappé vers le haut des toits, avec son neveu, a témoigné al-Ameer. Les cousins de Naseem, Romani et Muhareb Nosehi, et un voisin Rasem Tadros, n’ont jamais pu sortir de l’immeuble, et ont été poignardés et battus à mort, sur place.

Les amis et la famille de Naseem disent qu’il a été la cible, à cause de son militantisme contre Morsi. Dans les mois précédant l’éviction de Morsi, il a énergiquement collecté des signatures, dans le village, en faveur de Tamarod, ou de la « rébellion », la campagne menée par les militants de la jeunesse, qui ont recueilli des signatures à travers tout le pays, sur une pétition exigeant le départ de Morsi. Ce mouvement a organisé les manifestations du 30 juin qui ont attiré des millions de participants.

“Emile était le leader de facto de Tamarod dans le village et cela n’a pas échappé aux terroristes », raconte le meilleur ami et fidèle compagnon de militance de Naseem, Emile Nazeer.

“Presque tout le monde, à Nagaa Hassan, aimait mon oncle. Il parlait beaucoup de politique et les gens écoutaient ce qu’il avait à dire », rappelle el-Ameer, son neveu. « Il en a payé le prix fort ».

Shenouda el-Ameer, une proche parente, affirme que les Islamistes locaux ont tire parti du meurtre du Musulman pour en accuser les Chrétiens et faire payer à Naseem son activité politique.

Le chef de la sécurité de Luxor, Khaled Mamdouh, a déclaré que 17 villageois, don’t 8 Chrétiens, ont été interrogés sur ce meurtre et ls violences qui ont suivi. Certains d’entre eux ont été déférés aux procureurs pour être inculpés. Les forces de sécurité, pendant ce temps, ont été déployées dans le village, où on estime que 20% des 7000 résidents sont des Chrétiens.

Le Père Vassilios a dit qu’il n’avait jamais connu d’incidents liés à la violence sectaire, à Nagaa Hassan, auparavant, suggérant que la rhétorique anti-chrétienne des durs du régime Morsi et sa polarisation contre les Chrétiens n’étaient pas sans mortelles conséquences.

“Les relations entre les Musulmans et les Chrétiens étaient si bonnes que j’avais toujours tendance à penser qu’elle avait, ici, quelque chose de particulier”, dit-il à l’AP. « Emile était un véritable révolutionnaire politique qui a servi sa communauté du mieux qu’il le pouvait ».

Dans la semaine qui a suivi le renversement de Morsi, les extrémistes ont perpétré des agressions contre les Chrétiens dans, au moins, 6 des 27 provinces du pays. Le meurtre à l’arme à feu du prêtre dans le Sinaï a été la seule autre perte à déplorer.

Dans les incidents les plus graves, une meute de partisans de Morsi ont attaqué des maisons et des boutiques chrétiennes à Dalaga, un village de la province de Minya, au Sud, où les Chrétiens représentent environ 35% de la population, plus de trois fois la moyenne nationale. Durantce déchaîneent de violence, la foule criait : « Il n’y a pas d’autre D.ieu qu’Allah et les Chrétiens sont les ennmis de D.ieu », selon la police et le villageois Bushrah Iskharon, qui a raconté le déroulement des évènements, dans une interview téléphonique à l’AP.

Les églises, à travers la majeure partie du pays, ont annulé la messe du soir et les activités sociales, par précaution en cas d’attaques. Mais les militants chrétiens jurent de poursuivre leurs activités politiques. “Mes parents ont toujours fait référence à l’immigration comme étant une solution. Moi pas ! », affirme Marina Zakaria, une jeune fille de 21 ans, vivant au Caire, qui a commencé à participer aux politiques de rue, après l’éviction de Moubarak.

“Les Chrétiens sont, pour la plupart, isolés dans leurs églises, parce qu’ils ont peur des gens qui ne sont pas comme eux. Avec une telle attitude, nous creusons la discrimination à laquelle nous faisons face, et finissons par n’avoir aucune place dans la vie politique », dit-elle, convaincue.

La militante chrétienne Nirvana Mamdouh, 22 ans, sur le même ton, dit que depuis bien trop longtemps, les Chrétiens sont demeurés silencieux, face aux injustices et qu’il est grand temps pour eux, de prendre la parole pour faire valoir leurs droits.

“Nous ne pourrons pas obtenir notre liberté, sans voir le sang couler. C’est le prix à payer, mais que pouvons-nous faire d’autre ? ».

HAMZA HENDAWI The Associated Press
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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty12/7/2013, 14:02

http://jssnews.com/2013/07/12/lantisemitisme-des-ong-palestiniennes-financees-par-leurope/
source: jss news
Ora Shapiro

L’antisémitisme des ONG palestiniennes financées par l’Europe…
Sommes-nous revenus dans ces temps où la propagande nazie, celle qui dépeignait les juifs comme des monstres et des animaux ? Une caricature publiée récemment par le journal allemand Süddeutsche Zeitung dépeint Israël comme un monstre « Moloch, » est juste une autre confirmation que l’antisémitisme est toujours en vogue, mais avec une nouvelle tournure plus dangereuse encore.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Capture-d’écran-2013-07-12-à-12.55.24

Avant la création de l’Etat d’Israël, les attaques antisémites, y compris l’utilisation des tropes fanatiques tels que les diffamations sanglantes, des accusations théologiques, et les représentations racistes, ont été adressées au peuple juif. Le « Nouvel antisémitisme », un phénomène récent, substituts la haine du Juif avec la diabolisation d’Israël.

Cette nouvelle expression de l’antisémitisme moderne est parfaitement illustré par un dessin qui est récemment apparu dans l’un des plus grands quotidiens allemand. Il dépeint Israël comme un sauvage, affamé, un monstre servi par une femme avec un texte sous le dessin qui dit: « L’Allemagne sert. IsraËl a reçu des armes pendant plusieurs décennies, la plupart gratuitement. Les ennemis d’Israël pensent que c’est un Moloch affamé. » Malheureusement, ce n’est pas la première fois qu’un pareil article ou qu’une pareille image est publiée en Allemagne.



Les ONG palestiniennes, également financées par l’argent du contribuable allemand, prétendent promouvoir la démocratie et les droits humains, tout en utilisant simultanément ce «nouvel antisémitisme», ainsi que l’antisémitisme classique.

Selon un rapport intitulé «BDS & accusation de crime», publié récemment par NGO Monitor à Jérusalem, un réseau d’ONG qui prétend promouvoir les droits humains et les programmes humanitaires dans le contexte du conflit israélo-arabe, ont souvent recours à l’utilisation d’image antisémites pour parler d’Israël. Ces organisations emploient l’antisémitisme classique et théologique.

Par exemple Miftah, une organisation non gouvernementale palestinienne (ONG), a récemment publié un article écrit par Nawaf al-Zaru qui a fait renaître l’ancienne diffamation de sang contre les Juifs. Il écrit: «Est-ce que Obama, en fait, connaît-il la relation, par exemple, entre «la Pâque» et le «sang chrétien» ?

Miftah est financé directement par l’Allemagne (via la Fondation Konrad-Adenauer dans les Territoires autonomes palestiniens) ainsi que par d’autres gouvernements européens. Parce que ces fondations n’ont pas d’évaluation ou de suivi des mécanismes en place pour contrôler la mise en œuvre des projets et s’assurer que les fonds ne soient pas détournés, les gouvernements sont souvent mal informés de la façon dont l’argent des contribuables est utilisé.

Dans une correspondance privée avec la Fondation Konrad-Adenauer, ils ont expliqué que leur « coopération se limite à la mise en œuvre d’ateliers conjoints dans le domaine de la promotion de la bonne gouvernance» et qu’ils n’accordent pas de « financement institutionnel. » Ces justifications sont insuffisantes et permettent aux bailleurs de fonds de se distancier des activités antisémites d’organisations radicales comme Miftah.

Les caricatures antisémites, les articles et les brochures, si publiés en Allemagne ou soutenus par l’argent allemand, mettent en danger les Juifs et sapent les relations germano-israéliennes. Promouvoir des idéologies haineuses, diaboliser les juifs, nier le droit d’Israël à exister, va à l’encontre des missions énoncées par Miftah qui prétend favoriser la paix et promouvoir la résolution des conflits.

En dépit des nombreuses preuves de l’antisémitisme de ces ONG, les gouvernements continuent néanmoins de financer ces groupes. Les fonctionnaires justifient le financement sous prétexte qu’il est destiné aux «projets» distincts sans lien avec l’ordre du jour et les expressions d’antisémitisme. Cependant, les bailleurs de fonds sont des catalyseurs, et partagent l’entière responsabilité des activités de leurs bénéficiaires – y compris la promotion de la haine et de l’intolérance.

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Définition de "tropes" : en rhétorique, une figure de style, ou chant (musique), en philosophie, tropes signifie des propriétés particulières qui, en métaphysique analytique, sont considérées comme les constituants des objets du monde. Le monde est peuplé de particuliers et de propriétés particulières, et ses "modes" correspondent au concept de trope.La littérature plus contemporaine a elle-même utilisé plusieurs termes. P. F. Strawson parlait de "qualités particulières". Simons, Smith et Mulligan nomment "moments" ce type d'entités, en reprenant un terme de Husserl, et les qualifient comme des particuliers dépendants. Le terme "particuliers abstraits" a été utilisé par K. Campbell, et s'il demeure en usage, c'est bien "trope" qui s'est le plus largement imposé à partir de l'article de D.C. Williams, Les éléments de l'être, du débat qu'il a suscité et des développements en cours.
source wikipedia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trope_(philosophie)

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty13/7/2013, 01:21

http://lecoran.over-blog.com/
source : lecoran

L’islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au 7ème siècle après Jésus-Christ par Mahomet, qui se déclare être le dernier prophète et donc LE prophète à qui Allah aurait transmis ses préceptes par l’entremise de l’ange Gabriel.

Ces préceptes sont compilés dans le Coran. Le Coran, fixe, immuable, non interprétable est formé de 114 chapitres appelés sourates et chaque sourate est formée d’un nombre variable de phrases appelées versets. Les sourates et les versets sont numérotés de manière standard depuis 1923, par exemple [4:34] désigne le verset 34 de la sourate 4.

Il est à noter que Mahomet entendait les paroles de l’ange Gabriel pendant des crises : « Les témoins disent qu’il (Mahomet) avait des syncopes au cours desquelles il avait de l’écume aux lèvres et des rugissements analogues à ceux d’un jeune chameau » (Mizanu’l Haqq, p. 345).

En plus du Coran, livre saint, l'islam prend aussi pour modèle Mahomet en s’inspirant de ses actes et paroles rapportés entre le 8ème et le 10ème siècle par les traditionnistes Bukhari, Muslim, Daoud et d’autres encore dans les hadiths (les dires), qui forment la sunna (tradition).

En parcourant les hadiths et le Coran (ici traduit en français par Hamidullah, version largement acceptée), nous constatons que l’islam est violent dès ses origines, qu’il est inégalitaire et discriminatoire envers les femmes, les non-mahométans, les homosexuels... et qu’en fait, l’islam rejette et combat tout ce qui n’est pas lui-même.


C’est une idéologie qui instrumentalise une religion dans le but de soumettre par la persuasion ou la violence tous les non-mahométans du monde. D’ailleurs "islam" signifie "soumission" en arabe et "musulman" signifie "soumis".


La taqqya, qui s’écrit aussi takia (dissimulation), est un devoir pour les mahométans en situation d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse, alors les mahométans peuvent envisager l’agression :


Coran 47:35
"Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais du mérite de vos oeuvres."


Quand on s’oppose à un propagandiste de l'islam qui affirme que l’islam est une religion de tolérance, de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes ou antijuives et qu’il est à court d’arguments, il finit toujours par dire au bout du compte "Oui, mais le Coran, pour le comprendre, il faut le lire en arabe."


Si tel est le cas, alors tous les convertis et tous les mahométans qui ne lisent pas l'arabe, sont des personnes qui ont adopté unereligion sans comprendre le Coran !

Il existe des traductions du Coran acceptables, ne serait-ce que celles utilisées dans les pays non arabophones par les propagandistes de l'islam, traductions qu’on ne peut pas soupçonner d’être islamophobes.


A la longue liste de versets du Coran appelant clairement au meurtre des mécréants, les propagandistes de l'islam rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer, que se défendre face aux attaques des "méchants" polythéistes. On reconnaît déjà à cette époque la posture victimaire des mahométans. Il faudrait donc croire que les mahométans ont conquis d’immenses territoires au nom d’Allah, uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient.

Pour se convaincre au contraire de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre Mahomet, il suffit de lire certaines lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents chefs ou rois, pour les "inviter" à embrasser l’islam : aux chefs des tribus d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie... Voici la "lettre d’invitation" au peuple d’Oman :

"Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l'islam. Acceptez mon appel, et vous serez indemne. Je suis le messager de Dieu envoyé l'humanité, et l'annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l'islam, j'accorderai la puissance sur vous. Mais si vous refusez d'accepter l'islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l'étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume. Signé : Mahomet, messager de Dieu."


2 versets peuvent se contredire, mais Allah, étant omniscient et infaillible, a tout prévu. Dans un tel cas, il a développé la doctrine des versets abrogeants (nasikh) et des versets abrogés (mansukh) qui consiste à décider que le verset le plus récent annule le plus ancien et donc qu’un verset médinois ou post-Hégire peut annuler, en cas de contradiction, un verset mecquois ou pré-Hégire.

L’Hégire désigne la période où Mahomet a été chassé de la Mecque pour aller se réfugier à Médine. Pour preuve de ce qui précède, on peut citer les deux versets :

Coran 2:106
"Si nous abrogeons un verset quelconque ou que nous le faisons oublier, nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est omnipotent ?"

Coran 16:101
"Quand Nous remplaçons un verset par un autre – et Allah sait mieux ce qu'Il fait descendre – ils disent : "Tu n'es qu'un menteur". Mais la plupart d'entre eux ne savent pas."

Donc ne vous laissez pas désaçonner quand un propagandiste de l'islam vous cite un verset tolérant car il est vraisemblablement abrogé par un verset médinois.

Dans ce qui suit, quand les mots "les" ou "ils" ne seront pas précisés, ils désigneront tous ceux qui ne sont pas soumis à Allah : les juifs, les chrétiens, les hérétiques, les infidèles, les associateurs, les polythéistes et les mécréants.



a) Appels au meurtre



Coran 2:191
"Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d'où ils vous ont chassé : l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants."

Coran 4:89
"Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur."



Coran 4:91
"Vous en trouverez d'autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu'on les pousse vers l'association (l'idolâtrie) ils y retombent en masse. Par conséquent, s'ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné une autorité manifeste."




Coran 5:33
"La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment."



Coran 8:12
"Et ton Seigneur révéla aux anges : "Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous (décapitation) et frappez-les sur tous les bouts des doigts."



Coran 8:17
"Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n'est pas toi qui lançais : mais c'est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d'une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient."

Autrement dit c’est l’absolution par avance pour un meurtrier pour peu qu’il tue un infidèle au nom d’Allah.

Coran 9:5
"Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat (prière) et acquittent la Zakat (aumône), alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Coran 17:33
"Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu'Allah a rendu sacrée. Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche parent. Que celui-ci ne commette pas d'excès dans le meurtre, car il est déjà assisté par la loi."

Selon le Coran, il existe des raisons tout à fait valables, conformes à la loi islamique (charia), de tuer.



Coran 33:61
"Ce sont des maudits. Où qu'on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement."




Coran 47:4
"Lorsque vous rencontrez au combat ceux qui ont mécru, frappez-en les cous (décapitation). Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions."



b) Haine contre les juifs, les chrétiens et les infidèles



Coran 5:51
"O les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d'entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes."


Coran 9:30
"Les Juifs disent : "Uzayr est fils d'Allah" et les Chrétiens disent : "Le Christ est fils d'Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu'Allah les anéantisse ! Comment s'écartent-ils de la vérité ?"

Coran 5:14
"Et de ceux qui disent : "Nous sommes Chrétiens", Nous avons pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Nous avons donc suscité entre eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour de la Résurrection. Et Allah les informera de ce qu'ils faisaient."



Dans les hadiths, on peut facilement faire une moisson de propos antijuifs et antichrétiens parfois très violents comme : "Un groupe des Banu Israel (fils d’Israël) était perdu. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé, mais je pense qu’ils se sont transformés en rats." Récit d’Abu Huraira, Muslim XLII 7135 et Bukhari LIV 524


c) Les inégalités fondamentales de l’islam

Le mahométan est supérieur au non-mahométan

Coran 3:110
"Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre (chrétiens et juifs) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d'entre eux sont des pervers."


L’homme est supérieur à la femme

Coran 4:34
"Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes à leurs maris, et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est
certes, Haut et Grand !"


Le maître est supérieur à l’esclave

L’islam n’a pas encore abrogé l’esclavage, encore pratiqué en Arabie saoudite et au Soudan où la traite des noirs est encore d’actualité, comme l’atteste le témoignage poignant d’un Soudanais noir et chrétien, nommé Simon Deng, réduit en esclavage par le régime arabe islamiste de Khartoum, témoignage recueilli par la journaliste Caroline Fourest, que l’on peut trouver sur le site Internet : http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2738.

Si l’islam n’a pas aboli l’esclavage (le peut-il ?) c’est tout simplement que son objectif est d’établir le califat mondial où les non-mahométans auraient le choix entre la conversion, la mort ou, dans le meilleur des cas, la dhimmitude pour les Gens du Livre (juifs et chrétiens), qui est un statut de sous-homme.



d) Peine de mort pour celui qui quitte l’islam


"Mais sans aucun doute je les aurais tués puisque le Prophète a dit : si quelqu’un (un mahométan) s’écarte de sa religion, tuez-le." Récit d’Ikrima, Bukhari LII 260

Connaissez-vous beaucoup de religions qui appellent à tuer celui qui désire les quitter ?



5. MAHOMET, LE "BEAU MODELE"

On ne peut pas terminer sans parler de Mahomet. Quelques traits du caractère de celui que tout mahométan doit imiter, trouvé dans les hadiths ou le Coran :

Mahomet et torture
"Quand l’apôtre d’Allah eut coupé les pieds et les mains de ceux qui avaient volé ses chameaux et qu’ils leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés au feu, Allah le gronda et il révéla : la punition de ceux qui font la guerre à Allah et à son apôtre et qui les affrontent avec toutes leurs forces pour semer la discorde sur la terre sera l’exécution (par décapitation) ou la crucifixion." Récit d’Abu Zinad, Dawud XXXVIII 4357



Mahomet et meurtre


"L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam, un Juif et sa femme." Récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216

Mahomet et pédophilie
"Khadija (première femme de Mahomet) est morte 3 ans avant que le Prophète parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aïcha qui était une fillette de 6 ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage." Récit du père de Hisham, Bukhari LVIII 236



Mahomet et pillage

"Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage, (ghazw ou ghazwa en arabe, ce que l’on traduit en français par razzia – dans le cas du Prophète, un tel pillage constituait un aspect du jihad) il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction." Récit de Ka’b ibn Malik, Bukhari LII 197


Coran 8:1
"Au nom d'Allah le Très Miséricordieux. Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis : "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants."



Tel est l’islam depuis quatorze siècles.


Ce document a été visé par un spécialiste de l’islam.

Cette étude est extraite d'un argumentaire à télécharger sur http://coranix.org/action/presentation_islam.htm

--
ps: j'ai censuré quelques parties de ce texte, parties de commentaires, que j'ai jugé blessantes, afin de ne pas blesser nos amis musulmans. on sait bien que l'islam n'est pas l'islamisme radical. seuls les radicaux pensent tel que c'est écrit.


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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty13/7/2013, 01:33

je souligne ce passage:
Coran 5:51
"O les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens "

"Mais si vous refusez d'accepter l'islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l'étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume."..

Zut alors. vous etes d'accord, on se converti ?
C'est pour notre bien.


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prinu

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MessageSujet: Re: Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama   Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Empty13/7/2013, 23:23

Un hélicoptère égyptien a survolé illégalement Gaza pendant 10 minutes.
L’hélicoptère a survolé Gaza peu de temps après le meurtre d’un policier égyptien. Cela pourrait montrer l’agacement du nouveau gouvernement égyptien à l’égard des terroristes du Hamas.


« La France pourrait faire davantage pour promouvoir les liens entre Israël et les pays d’Afrique du Nord avec lesquels l’Etat hébreu n’a pas de relations diplomatiques, » a expliqué un diplomate israélien de haut rang au Times of Israel.

L’Arabie Saoudite pointerait peut etre des missiles vers l’Iran et Israël.

---


http://jssnews.com/2013/07/11/les-palestiniens-comptent-parmi-les-musulmans-les-plus-radicaux/

source: jss news et l'institut de sondage Pew et blog mireille valette ainsi que lesObservateurs.ch


On savait les Palestiniens sous l’emprise de la religion, mais le type d’islam qu’ils souhaitent est proprement effarant. Un sondage en témoigne.Les Palestiniens comptent parmi les musulmans les plus radicaux.
Les Palestiniens des Territoires (Gaza et Cisjordanie) soutiennent la version la plus fanatique de l’islam. Leur conception des châtiments physiques, du statut des femmes ou du rôle politique de l’islam est comparable à celle des Afghans, des Irakiens ou des Nigérians.
81% des Palestiniens sont favorables à la lapidation pour adultère.

72% à des châtiments tels que le fouet ou la mutilation pour les vols

66%  à la peine de mort pour ceux qui quittent l’islam.

33% pensent que les crimes d’honneur (qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) sont souvent ou quelquefois justifiés. Le pourcentage augmente de 4% si la coupable est une femme.

Peu de populations sont autant que ces Palestiniens en relation avec l’Occident, son humanisme et ses libertés : des milliers d’ONG, autant ou plus de bénévoles, l’UNWRA (dépendant de l’ONU) qui les entretient, tant de femmes qui montrent de quoi elles sont capables… Rien n’y fait: l’islam du fond des âges règne dans les âmes. Les mains, elles, manient sans complexe la technologie occidentale: 81% possèdent  un téléphone portable, la moitié utilisent internet et parmi ceux-ci plus de 4 sur 5 voguent sur les réseaux sociaux.

Pew est un institut américain qui cherche à savoir ce que pensent les citoyens à propos de multiples sujets. Celui-ci, «Les musulmans du monde: religion, politique et société» a été réalisé dans 39 pays qui comprennent chacun plus de dix millions de musulmans. Quelque 38’000 interviews ont été menées en face à face. Dans les Territoires palestiniens (nous nous limiterons à eux), le sondage a eu lieu entre décembre 2011 et 2012.

Israël : Retour aux frontières de 1967 selon Obama - Page 2 Capture-d’écran-2013-07-11-à-21.51.20

Religion et politique

On ne s’étonnera donc pas que 89% des Palestiniens souhaitent que la charia soit la loi officielle de leurs territoires, que le même pourcentage estime que seul l’islam peut conduire à la vie éternelle et que 82% sont complètement ou le plus souvent d’accord que les musulmans doivent tenter de convertir les autres. Parmi ceux qui sont favorables à la charia, 39% considèrent que cette loi doit s’appliquer tant aux musulmans qu’aux autres citoyens et les trois quarts que des juges religieux sont les plus à même de trancher les problèmes familiaux et les conflits de propriété.

Descartes n’étant pas un prérequis parmi les sondés, 85% des Palestiniens sont satisfaits que les membres d’autres religions puissent la pratiquer chez eux et plus de la moitié préféreraient la démocratie à un leader à poigne.

Les partis islamiques sont-ils pires, meilleurs ou pareils que les autres? Une partie importante des Palestiniens ne semblent pas avoir en haute estime leurs représentants. Pour 29%, ils sont pires que les partis non-islamiques, le plus haut score des 19 pays soumis à cette question (semblables 44%, meilleurs 21%).

Les bombes humaines contre des civils ou d’autres violences sont-elles souvent ou parfois justifiées pour défendre l’islam ? Les Palestiniens arrivent en tête des sondés avec 49%.



Statut des femmes

89% sont d’accord qu’une femme doit toujours ou le plus souvent obéir à son mari.

81% sont opposés au mariage d’une musulmane avec un non-musulman.

51% estiment qu’il faut favoriser les fils dans l’héritage (40% d’hommes sont pour l’égalité et 47% de femmes).

Les femmes ne doivent pas avoir le droit de divorcer, affirme une bonne majorité : 57%.

Une minorité d’hommes, 44%, estiment que ce sont aux femmes de décider si elles veulent porter le foulard, 61% de femmes veulent décider elles-mêmes (total général : 53%).



Religion et morale

Est-il nécessaire de croire en Dieu pour être moral? Oui: 86%. Les athées sont donc par essence immoraux… Où l’on comprend pourquoi l’Occident est tellement détesté (entre autres, voir la liste suivante) pour son «immoralité».

EST IMMORAL:*

Le sexe hors mariage (93%), l’alcool (92%), le suicide 90% (0% de moralement acceptable, sauf, rappelons-le, pour les bombes humaines: 49%).

L’homosexualité (89%), l’avortement (77%).

La polygamie est acceptable pour 48%, condamnable pour 20%. Les hommes la souhaitent avec plus d’ardeur que les femmes (18% de plus).

Le divorce est moralement acceptable pour 32%, condamnable pour 26%.

Limiter le nombre d’enfants est moralement acceptable pour 33%, condamnable pour 30%. Les Palestiniens sont parmi les moins ouverts à cette option.

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Un état palestinien sera bien, une république islamique radicale, quoi qu'on y fasse..
sauf si .. on détruit le Hamas et le Hezbollah avant toute décision politique.
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