Euthanasié "par erreur"...

Un magistrat se fait « euthanasier » par erreur en Suisse
Paru le 12 juillet 2013
.

Se croyant à tort atteint d’une maladie incurable, un magistrat italien de 62 ans s’est fait supprimer par erreur en Suisse, dans un centre d’euthanasie de Bâle… Mais l’autopsie de son cadavre a révélé qu’il n’était absolument pas malade, révèle l’agence d’information Zenit.

Sa famille a demandé depuis lors – un peu tard – une enquête forcément posthume pour établir les responsabilités de ce diagnostic erroné établi à deux reprises, d’abord en Italie puis en Suisse.

Ce magistrat qui vivait en Calabre s’était rendu discrètement dans cette clinique suisse d’euthanasie : sa famille le croyait parti simplement en voyage. Seulement en proie à une tendance dépressive après des ennuis de type professionnel, ce juriste italien, auteur d’ouvrages universitaires de philosophie du droit et de droit romain, n’avait pas fait l’objet d’examens médicaux appropriés, déclare aujourd’hui l’avocat de la famille.

Ce drame absurde et révoltant, qui aurait intéressé Kafka ou Pirandello, illustre parfaitement le caractère extrêmement dangereux de l’euthanasie, que des groupes de pression cherchent à faire légaliser en France même, au nom de conceptions bizarres d’une liberté souvent altérée, voire aliénée. Liberté, que d’erreurs on commet en ton nom ! surtout quand on t'appelle "euthanasie"...

Ou encore quand on t'appelle "Mourir dans la dignité"...

c'est l'idée même, de se faire " euthanasié "... qui est une erreur .

vive la science .  

Bein c'est juste un suicide assisté, il n'y a pas d'erreur, le monsieur était dépressif et voulait mourir, voila tout.

Ça peut se guérir, la dépression.

Cécile a écrit:

Un magistrat se fait « euthanasier » par erreur en Suisse
Paru le 12 juillet 2013
.

Se croyant à tort atteint d’une maladie incurable, un magistrat italien de 62 ans s’est fait supprimer par erreur en Suisse, dans un centre d’euthanasie de Bâle… Mais l’autopsie de son cadavre a révélé qu’il n’était absolument pas malade, révèle l’agence d’information Zenit.

Sa famille a demandé depuis lors – un peu tard – une enquête forcément posthume pour établir les responsabilités de ce diagnostic erroné établi à deux reprises, d’abord en Italie puis en Suisse.

Ce magistrat qui vivait en Calabre s’était rendu discrètement dans cette clinique suisse d’euthanasie : sa famille le croyait parti simplement en voyage. Seulement en proie à une tendance dépressive après des ennuis de type professionnel, ce juriste italien, auteur d’ouvrages universitaires de philosophie du droit et de droit romain, n’avait pas fait l’objet d’examens médicaux appropriés, déclare aujourd’hui l’avocat de la famille.

Ce drame absurde et révoltant, qui aurait intéressé Kafka ou Pirandello, illustre parfaitement le caractère extrêmement dangereux de l’euthanasie, que des groupes de pression cherchent à faire légaliser en France même, au nom de conceptions bizarres d’une liberté souvent altérée, voire aliénée. Liberté, que d’erreurs on commet en ton nom ! surtout quand on t'appelle "euthanasie"...

tu sais du coté de la Calabre c'est plus que douteux  

voici ma version !  

en fait il était juge et s'occuper d'un dossier de la mafia , comme il allait gagner contre eux , ils ont financé les recherches médicales sur sa santé et ont réussie a lui filer des rapports d'autres malades fichus ;
le pauvre y a cru et hop la mafia est débarrassée de ce brave homme !
comme quoi l'euthanasie a des vertus insoupçonnée ??  

de toute façon la mafia l'aurait euthanasié avec une carabine a lunette ?  

Bonjour,

Je dirais plutot que le diagnostique était erroné, par contre l'acte a été réfléchi. Le Monsieur ne se promenait pas je pense dans un couloir de l’hôpital puis trébuchant se serait étalé au sol où se trouvait une seringue contenant le produit létal destiné à un autre malade.

Simon1976 a écrit:

Ça peut se guérir, la dépression.

surtout que quand tu es juges toi en reçois des-pressions et puis parfois là, des-primes c'est bien venu qu'en même !