| | Tentation de Jésus | |
| | Auteur | Message |
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roll
Messages : 533 Inscription : 18/11/2009
| Sujet: Tentation de Jésus 22/11/2010, 20:45 | |
| Bonjour, Pourquoi le Diable tente t-il Jésus au désert ? Il devait quand même bien se douter que c'était inutile et que Jésus ne céderait pas, non ? | |
| | | Enlui
Messages : 8020 Inscription : 04/10/2008
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 22/11/2010, 20:51 | |
| Le Diable n'avait jamais rencontré un tel homme.Il le croyait comme Adam.
Il avait prévu de revenir à la charge plus tard,cependant,au temps de sa passion,soit par les paroles de Pierre auxquelles Jésus répond:"arrière de moi Satan",soit à Gethsemani,soit à la croix,soit toutes les trois fois. | |
| | | roll
Messages : 533 Inscription : 18/11/2009
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 22/11/2010, 20:59 | |
| Il savait pourtant que Jésus était le fils de Dieu, non? | |
| | | Enlui
Messages : 8020 Inscription : 04/10/2008
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 22/11/2010, 21:03 | |
| Oui,mais homme,tout homme.Il est donc allé essayer de le blesser au talon.....et de mettre en miette sa mission. | |
| | | Abenader
Messages : 5899 Inscription : 12/11/2010
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 22/11/2010, 21:47 | |
| Il faut noter aussi que le démon n'a qu'un pouvoir limité, même s'il est énorme. par exemple, il ne peut voir les pensées des hommes, contrairement à Dieu. Alors, il va le tenter, et comprendre par des indices extérieurs si sa victime va succomber à la tentation, pour, le cas échéant, redoubler ses attaques. Voici un extrait fort intéressant au sujet des rapports entre Jésus et Satan, par l'Abbé Augustin Lémann, Satan contre Jésus: - Citation :
- Un Rédempteur fut donc promis aux pauvres exilés de l’Éden et à leur race, un Rédempteur qui ne sera autre que le Fils même de Dieu, Son Fils consubstantiel et éternel.
Satan sait que ce sera Lui, qu’Il s’incarnera, qu’Il prendra place dans la famille humaine, pour la nsauver, pour la lui ravir. Mais il ne sait que ça. Sa connaissance est limitée, incomplète, inachevée. (...)
Tiraillé de la sorte en sens contraire, parce qu’il ignore le mystère accompli de l’Incarnation, c’est-à-dire du Verbe de Dieu subsistant en deux natures, dont l’une, la nature humaine, porte actuellement le fardeau de nos péchés , Satan n’y tient plus. Son intelligence est bouleversée, d’autant qu’à cette heure il rapproche de ce qu’il vient de voir et d’entendre, tous les contrastes, toutes les oppositions qui, depuis trente ans, s’étaient produites dans la vie de Jésus. Il a vu Sa naissance annoncée par les anges, suivie du miracle de l’étoile et de l’adoration des mages. Il a été témoin que Simon, dans le temple, l’a appelé le Salut de Dieu et que les Docteurs de la Loi sont restes muets d’admiration devant Sa sagesse. Il a entendu Jean-Baptiste L’appeler Celui qui enlève les péchés du monde, et, maintenant, voici qu’une voix majestueuse, celle de Dieu même, L’a proclamé Son Fils bien-aimé. Tout cela incline Satan à croire que Jésus est le Fils naturel de Dieu. Mais, d’un autre côté, il L’a vu naître dans la pauvreté, présenté au Temple comme pécheur, fuir en Égypte, obéir à une femme ; il L’a vu, il n’y a qu’un instant, solliciter et recevoir le baptême de la pénitence ; demain il l’apercevra dans un désert sujet à la faim, à la soif, à toutes les misères de l’humanité. Or Satan, dans son orgueil, ne peut se résoudre à regarder comme Dieu Celui qui, portant une nature tirée d’une masse soumise au péché, a été vu si souvent réduit au misérable état du dernier des hommes. Le voilà donc incertain, indécis, inquiet, concernant l’idée qu’il doit se former de Jésus. Incapable de concilier des contradictions manifestes que la seule science de Dieu avait su concevoir et que Sa seule puissance avait pu exécuter, il faut cependant qu’il se tire d’embarras, qu’il fasse cesser ses angoisses. Jusqu’à ce jour il n’a été qu’observateur, s’embusquant depuis trente ans, pour surprendre, pour saisir, pour deviner. Désormais c’est d’une manière plus directe, plus efficace, qu’il va s’assurer si Jésus ne serait pas le Fils naturel de Dieu.
Ce qu’il voudrait savoir, c’est de quelle manière le Fils de Dieu pourra être à la fois Dieu et homme, de quelle manière Sa divinité se manifestera. Mais tout cela demeure caché à ses regards, à ses investigations. Absolument ignorant de l’union personnelle et secrète qui existera entre le Verbe de Dieu et la nature humaine qu’Il prendra, ce qui constitue le mystère de l’union hypostatique, impénétrable à toute intelligence créée, soit angélique soit humaine, sans une lumière surnaturelle de la grâce ; exclus aussi de la connaissance des circonstances spéciales dans lesquelles s’accompliront l’Incarnation et la Rédemption, Satan ne sait avec certitude qu’une seule chose, c’est que le Christ, qui doit le vaincre, sera le Fils consubstantiel de Dieu. Cette annonce surnaturelle, il l’a entendue, une première fois, dans les régions célestes, alors qu’invité par Dieu avec tous les anges à adorer d’avance le Verbe incarné dans la nature humaine comme Médiateur de Religion pour toute la création, il répondit par cette parole d’orgueil : Non serviam, Je ne servirai pas. – Cette annonce surnaturelle, il l’a entendue une seconde fois, sous les berceaux émus de l’Éden, quand, après la chute d’Adam qu’il avait provoquée, Dieu annonça que Son Verbe éternel S’incarnerait non seulement comme Médiateur de Religion, mais encore comme Médiateur de Rédemption, et qu’à ce titre Il écraserait par le pied d’une Femme, Sa Mère, la tête du Serpent. Satan sait tout cela, mais rien de plus, par rapport aux mystères de l’Incarnation et de la Rédemption. Après cette petite introduction, voilà ce qui nous intéresse notre sujet, et qui apporte une réponse à Roll: - Citation :
- Quel moyen Satan emploiera-t-il ?
Un seul, mais redoutable, et dont il usera successivement comme Serpent et comme Lion, double dénomination qui lui est affectée par l’Écriture, conformément à sa manière d’agir, Satan emploiera la question. Qu’est-ce donc que la question ? Questionner quelqu’un, c’est d’abord l’interroger à l’aide de la parole, pour apprendre de lui ce que l’on a intérêt ou ce qu’on est curieux de savoir. De tous les voiles d’ici-bas, aucun n’était plus apte que la parole, avec ses inflexions, ses grâces, ses contours, à dissimuler les artifices du serpent, son adresse à insinuer, son venin caché et d’un si terrible effet. C’est par la parole, en lui posant des questions, que le Serpent, dans l’Éden, avait prévalu contre Adam. Ce moyen lui ayant réussi, il va le reprendre contre Jésus-Christ : - Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent pains. Jésus est au désert, affaibli par un jeûne de quarante jours. Le moment est donc bien choisi : un homme qui a faim n’est-il pas à demi vaincu ? Si tu es le Fils de Dieu ! Pourquoi cette manière de s’exprimer dans la bouche du Serpent, sinon parce qu’il sait que le Fils de Dieu doit venir ? Mais il ne pense pas qu’Il soit venu, qu’Il soit là, devant lui, à cause des signes de faiblesse, de défaillance, d’infirmité corporelle que présente Jésus à cette heure. Et cependant le Serpent n’est pas rassuré, car après avoir dit : Si tu es le Fils de Dieu, il ajoute : Dis que ces pierres deviennent pains. Ô perfide habileté du Serpent ! Il n’a pas dit à Jésus : Change ces pierres en pains, mais dis que ces pierres deviennent pains. Ah ! C’est qu’il sait que le Fils de Dieu n’a pas besoin de faire, mais simplement de dire pour opérer des prodiges. Il sait que la création entière est l’oeuvre non de l’action, mais d’un simple commandement de Dieu. Et c’est pourquoi si Jésus, cédant à cette perfide tentation, avait d’un seul mot, d’un seul fiat, changé les pierres en pains, le Serpent eût pris la fuite, certain qu’il eût été de se trouver en présence du Fils de Dieu, de Celui qui, d’une parole, avait créé le monde. Mais Jésus a répondu : Il est écrit que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Réponse simple, tirée de l’Écriture, elle vient percer le Serpent comme d’une flèche. En même temps qu’elle rappelait la dignité de la personne humaine, elle restait muette sur la divinité de Jésus. Le Serpent n’a rien découvert. Mais il ne se tient pas pour battu, et, dans des circonstances particulièrement dramatiques, il va poser à Jésus une seconde question. Alors, dit l’évangile, le démon saisissant Jésus entre ses bras le transporta à la ville sainte et le déposa sur le pinacle du Temple. Grand Dieu, est-ce possible ? Jésus, Lui que les anges adorent, Lui qui est la sainteté par essence et que la plus pure des vierges n’est pas même digne de toucher, Jésus serré entre les bras immondes de Satan, porté sur les ailes de l’ange déchu, est-ce possible ? Oui, oui, tout est possible à Son amour pour nous. Mais quelle était donc, en ce moment la pensée de Satan ? Il se disait : Si cet homme est le Saint des saints, le Fils de Dieu, il repoussera mon attouchement avec horreur et Se découvrira. Une fois de plus l’humilité et la patience de Jésus le rendirent impénétrable. Le souffle empesté de Satan passa sur Son visage : d’une manière rapide, invisible, Il se trouva transporté, à travers les airs, sur le point le plus élevé du Temple. Satan L’y déposait pour le provoquer, Jésus Se laissait faire pour le vaincre. « Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas, lui dit alors le Serpent, car il est écrit que Dieu a confié aux anges la garde de tes voies. » Mais, Serpent, puisque tu te fatigues à découvrir si cet homme est le Fils de Dieu, pourquoi ne l’invites-tu pas plutôt à monter au ciel ? Monter, n’est-ce pas le propre de Dieu ? Si tu es le Fils de Dieu, monte au ciel ! Ah ! il s’en garderait bien, répond un Père de l’Église. Devenu l’ennemi du ciel depuis qu’il en a été précipité, il n’ose pas, même en tentant les hommes, leur insinuer de monter au ciel. Son oeuvre à lui est de les entraîner en bas, de les précipiter, de les faire tomber comme il est tombé lui-même le premier de tous : Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas ! C’est encore par un texte de l’Écriture que Jésus répondit : Il est aussi écrit : « Tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu ». C’était à Satan : Oui, Dieu a ordonné à Ses anges de conduire le juste dans ses voies, mais non vers les abîmes où il s’exposerait volontairement à tomber. Si tu appelles voie le précipice, c’est le chemin que tu as suivi ; ce n’est point celui que je dois prendre. Pour la seconde fois, le Serpent n’a rien découvert. Non seulement il n’a rien découvert, mais parce que Jésus avait refusé de faire les deux miracles qu’il Lui avait demandés et qu’il s’était laissé transporter sans opposer la moindre résistante, il attribue à la faiblesse de l’homme et à l’impuissance d’un inférieur ce qui n’était toujours qu’un miracle de la patience et de l’humilité de l’Homme-Dieu. Il se persuade donc que Jésus n’est rien qu’un simple homme, et le prenant de nouveau entre ses bras, il le transporte sur la cime d’une haute montagne, d’où Lui indiquant tous les royaumes de la terre avec leur gloire , il Lui dit : « Eh bien ! Je te donnerai cette immense variété de royaumes si, te prosternant devant moi, tu m’adores ». Par cette proposition qui fait frémir, son dessein était de pousser le Sauveur à une telle extrémité qu’il ne lui fut plus possible de se cacher. S’il est le Fils de Dieu, se disait-il, Il entendra ma proposition avec une telle horreur qu’Il se découvrira, exigeant que je L’adore luimême comme mon Créateur et mon Seigneur. Vade Satana, Retire-toi Satan, car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu ne serviras que Lui seul. La voix du Sauveur a changé de ton. Lorsque le diable lui avait dit : Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent pains ! Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas, c’est avec une majesté pleine de calme que Jésus avait supporté l’injure de cette double tentation,s’abstenant de gourmander le tentateur ; mais lorsque celui-ci ose revendiquer les honneurs divins, Jésus S’indigne et c’est avec un ton de mépris et d’horreur qu’Il le repousse : Vade Satana, Retire-toi Satan ! enseignant, cette fois, que lorsqu’il s’agit des injures faites à Dieu, il ne faut pas même vouloir les entendre. Et le Serpent a disparu : C’était pour questionner Jésus par la parole, afin de découvrir s’Il était le Fils naturel de Dieu qu’Il était venu ; mais Jésus a répondu avec une telle prudence et une telle sagesse que le Serpent n’a rien découvert. Le voilà aussi embarrassé, plus embarrassé qu’auparavant. Désolé pour la longueur, mais le texte en valait la peine. _________________ "Vous serez appelés Papistes, cléricaux, rétrogrades, intransigeants. VANTEZ-VOUS EN !" (Saint Pie X)
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| | | Arnaud Dumouch
Messages : 93426 Inscription : 19/05/2005
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 23/11/2010, 05:41 | |
| - roll a écrit:
- Bonjour,
Pourquoi le Diable tente t-il Jésus au désert ? Il devait quand même bien se douter que c'était inutile et que Jésus ne céderait pas, non ? Il savait bien que c'était le Messie annoncé mais JAMAIS il ne se douta qu'il était Dieu fait homme. Il demanda et obtint de Dieu le droit de le tenter (ce qui est normal car nul ne saurait se contenter d'une voie, celle de Dieu, mais chacun doit choisir). Si le Messie péchait ou reniait Dieu, c'était une prise de choix dans son escarcelle et Satan aurait pu dire à Dieu : "Tu vois PERSONNE, JAMAIS (sauf pour le moment Marie ), ne t'a été fidèle. N'arrivant pas à faire tomber Jésus, il décida de le faire tuer. Il espérait que Dieu craquerait alors et ferait appliquer cette loi que des interlocuteurs de Jésus lui-même avaient annoncé : - Citation :
Matthieu 21, 40 Lors donc que viendra le maître de la vigne, que fera-t-il à ces vignerons-là?" Matthieu 21, 41 Ils lui disent : "Il fera misérablement périr ces misérables, et il louera la vigne à d'autres vignerons, qui lui en livreront les fruits en leur temps." Lucifer avait un défaut : son orgueil. Il se fit piéger car JAMAIS IL N'IMAGINA que dieu était si humble qu'il sauverait le monde par cette mort ! Il se fit donc avoir >>> il n'était pas assez intelligent au sens du coeur. Il était trop intelligent au sens rationnel. _________________ Arnaud
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| | | fredsinam
Messages : 3914 Inscription : 30/11/2008
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 23/11/2010, 10:00 | |
| - roll a écrit:
- Il savait pourtant que Jésus était le fils de Dieu, non?
Si tu te pose cette question c'est que tu crois que jesus dans son humanité ne pouvait pas pécher et pourtant oui , il était vraiment un homme .Sa divinité ne lui donne aucun privilège au dessus des hommes .Il n'était donc pas dispenser de pécher ,c'est pour cette raison que satan l'a tenté | |
| | | En Christ
Messages : 3438 Inscription : 09/03/2006
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 23/11/2010, 10:14 | |
| Moi je ne pense pas que Jésus pouvait péché mais je ne dis pas que j'ai raison, sa nature humaine et divine ne font qu'un par contre Marie peut-être... _________________ L'homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.
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| | | Dame Puce
Messages : 21 Inscription : 22/11/2010
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 23/11/2010, 13:04 | |
| Anne-Catherine Emmerich dit que le Diable, sot comme il l'est dans sa présomption, n'imagina pas qu'il venait parler à Dieu.
Jésus avait toute liberté, toute volonté, toute capacité. Mais St Paul ne dit-il pas qu'il est un moment où le vieil homme est mort, et où seules les actions bonnes sont possibles ? Oui, je sais qu'un saint pêche 77 fois par jour, mais est-ce le même "péché" ?
Il y a quiproquo. Car il y a deux niveaux de "pécher"
Péché -stricto sensu- c'est péché qui tue la grâce = péché mortel. C'est celui-là qui est obligatoire à dire pour être absous.
Péché -large- c'est manque de réponse au désir de perfection que Dieu a, par l'inspiration de Dieu. Le saint qui oublie ou qui n'entend pas, ou qui se trompe sur l'écoute de l'inspiration intime de Dieu en son âme est dans ce cas. Cette faute là est remise par contrition et aveu intime : c'est le sens du signe de croix du confiteor avant de communier. St Thomas, ST François de Sales les nomment imperfection et non péché. C'est non correspondance à la perfection demandée.
On sait ce que les modernes ont fait dans l'embrouille entre les notions : ils en ont profité pour précher (presque) contre la confession pendant 40 ans. Je passe.
Jésus pouvait avoir cette terreur à l'agonie. Cette peur au tréfonds de son âme. Sa demande au Père d'éloigner (si c'est possible) le supplice à avaler.
Le livre "le courage d'avoir peur" éclaire bien ce drame. Aussi un autre titre du père Molinié "Coupable de tout pour tous".
Donc imposer un carcan "impossibilité de pécher" à Jésus est faux. Dieu pourrait aussi nous détester... Il est libre. Il est même libre de ne pas nous créer. Mais l'Amour est diffusant. Mais Dame Miséricorde gagne le procès contre Dame Justice. Car c'est elle que Dieu écoute, en son Fils, fils de sa douce Mère, épouse et fille de Dieu, écoutée de Lui. Notre-Dame du bon Conseil.
Peut-être est-ce une Parole spécialement destinée à marie que ce "Demandez et vous recevrez"; Pas de peut-être là-dedans. Dieu peut, Dieu fait. Même de s'incarner.
Dame Puce
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| | | Arnaud Dumouch
Messages : 93426 Inscription : 19/05/2005
| Sujet: Re: Tentation de Jésus 23/11/2010, 13:09 | |
| Votre distinction entre péché véniel (imperfection) et péché mortel est excellente. et réaliste. _________________ Arnaud
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| Sujet: Re: Tentation de Jésus | |
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